la force de l’âme russe : Сильные духом

la force de l’âme russe : Сильные духом

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Сильные духом, la force de l’âme russe

Heureux sont les hommes libres et libres sont les hommes courageux

D’après un article publié sur le site ZAPOÏ le 17 novembre 2024

Savez-vous ce que signifie Сильные духом ? Ce n’est pas une simple tournure de phrase. Cela évoque la force de caractère, une résilience spirituelle et morale typiquement russes. Ce n’est pas un concept. C’est une réalité inscrite dans chaque coup de cloche d’église orthodoxe, chaque murmure d’encens, chaque regard de sainte icône sur la corruption du monde.


Bien sûr, dans notre Wokistan européen, une telle attitude devant la vie vaut un ticket pour la lapidation sociale.
L’Occident a oublié ce que résister signifie et la France, autrefois un phare de civilisation, incarne la vacuité de l’âme aux niveaux les mieux accrédités : la preuve par Jean-Noël Barrot au Mont des Oliviers…

En Russie, front spirituel et front militaire, c’est tout un art de vivre et c’est d’abord affaire d’âme collective.


Voyons.

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Сильные духом, la force de l’âme russe – l’ouest, symbole de l’obscurité spirituelle 

Dans chaque église orthodoxe, les cloches jouent une symphonie de fer et de foi.
L’occident y a droit à une attention particulière :
Ce n’est pas par déférence que les cloches sont orientées vers l’ouest, mais pour proclamer la victoire du Christ sur les ténèbres. L’ouest, symbole de l’obscurité spirituelle, lieu où le soleil se couche, où l’ombre s’étend. Les cloches appellent les âmes damnées et sonnent pour leur dire : « Repentez-vous. Revenez à l’est, à la lumière, à la résurrection. »
Dans chaque église orthodoxe, les autels sont, en conséquence, orientés vers l’est, la lumière, la résurrection, le Christ. C’est bien cette lumière que l’Occident a troquée contre des néons colorés et des slogans creux.

Сильные духом, la force de l’âme russe ou le refus de plier

Les stratèges de Washington feraient bien d’oublier la « solution » d’un gel du conflit ukrainien.
Ce piège à ours inspiré du 38e parallèle coréen, cette cage de barbelés qui achèvera l’Europe, ne parviendra pas à broyer l’âme russe.

Vladimir Poutine n’a pas défié l’Occident pour se satisfaire d’un champ de patates ukrainien. Encore moins d’un champ de bataille figé, d’un permafrost stratégique qui entraînerait une saignée économique et militaire lente et certaine, mais, avant tout, une déroute spirituelle.


À ce propos, lire cet excellent article de Michel Onfray en cliquant le lien ci-contre 

Invasions mongoles, guerres napoléoniennes, révolution bolchévique, Adolf Hitler, effondrement soviétique : la résilience russe ne vient pas de la géographie ou de l’Histoire, mais de cette foi profonde que Staline lui-même a dû reconnaître. Elle ne pliera ni sous le poids de l’histoire, ni sous la pression d’un monde obsédé par le confort.

Les vives tensions qui ont opposé la Russie devenue bolchevique et le monde occidental dit « libre » se sont cristallisées pendant la période de la guerre froide qui a suivi la fin de la WWII. Cet épisode a été particulièrement caractérisé aux USA par le rejet de la doctrine communiste, des valeurs slaves et par la chasse aux sorcières idéologique pendant la tristement célèbre politique américaine de délation et de persécution du maccarthysme. La peur du communisme totalitaire a littéralement terrorisé les États démocratiques au point de nier tous les points positifs de ce que pouvait comporter ce régime de l’URSS et même de les dissimuler aux yeux de leur population = pour être efficace, la propagande a besoin de n’exposer que des horreurs sous peine de ne pas provoquer suffisamment de rejet, voire même de risquer de créer intérêt ou sympathie a son égard.

La Sainte Russie peut accueillir, aimer, compatir ou sauver, mais elle ne sait pas plier. La guerre qu’elle mène aux tempêtes idéologiques de l’Occident est d’abord la défense de ses fondations spirituelles.

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Сильные духом, la force de l’âme russe

La Russie ne gèle jamais vraiment. Dans le froid, elle s’adapte. Dans l’obscurité, elle prie. Et quand le moment arrive, elle avance à nouveau, portée par cette flamme intérieure que rien, ni le gel, ni les pièges de l’Occident, ne peuvent éteindre.

La guerre teste sa foi en même temps qu’elle la purifie.


Сильные духом. Souvenez-vous de ces mots. L’Occident pourrait un jour avoir besoin de les apprendre.

Impressions de la légendaire cérémonie des J.O. # 33

Impressions de la légendaire cérémonie des J.O. # 33

Mes impressions de la cérémonie des J.O.

Comme des millions de personnes j’ai assisté en fin de semaine au spectacle retransmis à la télévision publique de la cérémonie d’ouverture des trente-troisièmes Jeux olympique modernes de Paris 2024.

J.O. Paris 2024, cérémonie ouverture : quels souvenirs subsisteront de ces 33° olympiades ?

Je dois avouer que je suis passé par des émotions diverses au fil des tableaux qui nous ont été présentés au cours de cette soirée mémorable de la cérémonie des J.O. à plus d’un titre.
Je ne sais pas encore quels souvenirs sportifs nous retiendrons de cette dernière olympiade, nous le saurons en faisant le bilan final mais il semble que certaines compétitions se révèlent enthousiasmantes. Je tiens toutefois à m’exprimer sur l’impact de la cérémonie des J.O. en elle-même et des impressions durables que cet événement m’a laissé.
Cela fait maintenant une semaine que cette exhibition a eu lieu et un certain nombre de réflexions persistent dans mon esprit.

Présentation de l’article

Dans cet article j’évoquerai d’abord ma position par rapport à la gouvernance du Comité international olympique en général, globalement à son éthique, l’organisation des jeux, comment il gère ses relations avec les pays, ses dirigeants, les athlètes, les bénévoles et le public et avec ses détracteurs éventuellement et plus spécifiquement concernant l’organisation de cette cérémonie des J.O. de Paris 2024.
Dans un second plan, je mentionnerai mes impressions ressenties lors de cette cérémonie des J.O. concernant le contenu des prestations qui, comme dans toutes cérémonies d’ouverture a été riche de symbolismes, de représentations et de suggestions dont le but est de faire la promotion de la philosophie de la nation-hôte des Jeux et dont le but est de livrer un portrait avantageux et fidèle de la communauté nationale.

Certains tableaux m’ont particulièrement interpellé, d’entrée celui des trois enfants évoluant dans les égouts parisiens, menés par un personnage me rappellant Charon « le passeur d’âmes» aidant les morts à traverser le Styx dans sa barque, ce même personnage revenant en fil rouge tout au long de la cérémonie pour transmettre la Flamme jusqu’à la fin.

Je conclurai mon article par des considérations générales sur les valeurs traditionnellement véhiculées par les cérémonie des J.O, Paix, harmonie entre les peuples, inclusion le tout dans un environnement de neutralité ce qui ne veut pas non plus dire de non-implication politique, mais à condition que cette neutralité se rapproche le plus possible de notions universelles, non clivantes et c’est là, à mon avis où, cette cérémonie d’ouverture à péché à plusieurs niveaux.

L’idée de base de faire la promotion du sport et des valeurs olympiques est tout à fait louable, fantastique et indiscutable, malheureusement, d’avoir confié cette noble tâche de piloter la cérémonie des J.O. à un organisme qui cumule les critiques à de nombreux niveaux devient de plus en plus problématique ; il convient ici de relever un premier point :

« Les jeux payent les jeux » = c’est une légende totalement fausse sans aucune exception !

Cette maxime souvent avancée par le CIO et de multiples comités organisateurs n’a jamais été vraie, au contraire, chaque bilan financier des olympiades modernes a toujours été déficitaire et a donc été renfloué par les impôts des contribuables, sans exception aucune !
En effet, que ce soit le Japon, les USA, la Russie, la Chine, Corée du Sud, Angleterre, Brésil, Grèce, Italie, …, tous ont dû éponger les pertes ; en France pour les JO d’hiver d’Albertville, la ville de Grenoble a payé pendant 27 ans ce qui pourtant ne correspondait qu’à 20% du déficit de ces jeux et à donc augmenté les impôts locaux des résidents de 240 % !!!….

Je vois venir les questions : mais qui a donc payé la plus grosse part, les 80 % restants ?
Et bien c’est l’État, donc les Français par leurs impôts qui ont soldé le reliquat.

Organiser les J.O. n’a jamais constitué un bénéfice financier mais plutôt un gouffre comblé par nos impôts. Ceux de Paris 2024 ne feront pas exception à la tradition

Mais certains me rétorqueront que la promotion de la France par cette magnifique vitrine que représente un événement planétaire organisé sur le sol national au moyen d’une cérémonie des J.O. éclatante mérite un tel effort collectif, soit… Mais qu’on n’utilise pas l’argument de la rentabilité économique, c’est faux, ça l’a toujours été malgré les promesses faites à chaque nouvelle tentative d’olympiade, le résultat à toujours été un déficit colossal qui a dû être au final financé par les populations.

De plus, le ruissellement promis par l’organisation n’est jamais à la hauteur ou très difficilement quantifiable avec précision. L’investissement des J.O. Paris 2024 s’avère déjà abyssal avec une estimation provisoire officielle atteignant 9 milliards d’€ et qui va continuer d’augmenter comme à chaque événement.

Sur le site officiel des J.O. de Paris 2024, il nous est annoncé que cet événement se chiffrera à 4,38 milliards d’€ pour le budget du CIO et que cette somme sera assumée en  » quasi-intégralité – 96 % — par des recettes privées et que 4 % restants pour le financement de l’organisation des jeux paralympiques seront assumés par du financement public. » SOURCES = https://olympics.com/fr/paris-2024/comite/nos-responsabilites/financement-des-jeux

Le gros problème de cette estimation de 4,38 M€ c’est que ne sont pas inclus un grand nombre de dépenses, de coûts, par exemple les efforts colossaux qui ont été entrepris par la ville de Paris pour tenter de rendre la Seine potable ne sont pas comptabilisés, la facture s’élevant à 1,4 milliard d’€ pour le résultat que l’on connaît. Des estimations raisonnables avancent la somme de 16 ou 17 milliards d’euros comme bilan final de ces jeux, c’est à dire que les contribuables auront à financer une douzaine de milliards d’€, comme ce fut déjà le cas par le passé, on comprend mieux pourquoi les villes candidates à accueillir les JO deviennent de plus en plus rares : Paris n’a eu aucune concurrente pour cette organisation des Jeux de 2024, ce qui n’a pas empêché d’organiser des réunions somptueuses et des dépenses fastueuses pour ratifier cette attribution…

Être employé du CIO est très lucratif ! 

On ne peut cacher que le CIO et les Comités Organisateurs vivent grand-train : salaires faramineux, primes généreuses, avantages conséquents indécents, parallèlement les athlètes qui font le spectacle ne touchent rien du tout pour leur participation = ce sont les fédérations et les États qui assument les primes que se méritent les athlètes vainqueurs, par exemple les sportifs français gagnent 80.000€ pour une médaille d’or, 40.000 pour l’argent et 20.000 pour le bronze, mais l’essentiel c’est de participer n’est-ce pas ?

De la fierté d’être bénévole aux JO.

« On est fiers d’accueillir les 45 000 volontaires dans la grande équipe de Paris 2024 ! « 

Tony Estanguet, Président de Paris 2024.

https://presse.paris2024.org/actualites/paris-2024-mobilisera-45-000-volontaires-pour-les-jeux-olympiques-et-paralympiques-de-2024-tout-ce-quil-faut-savoir-pour-faire-partie-de-laventure-6df0-e0190.html


Le COJO de Paris a reçu plus de 300.000 demandes de bénévolat pour retenir 45.000 candidats qui se sont consacrés à toutes les tâches de soutien logistique en ne comptant pas leurs heures ni leur énergie pour que ces jeux gardent un souvenir impérissable, il faut leur lever respectueusement nos chapeaux…
La plupart des manifestations ne peuvent pas se passer de cette précieuse participation citoyenne que représentent les bénévoles, tous se sont engagés à signer et à respecter la « CHARTE DU VOLONTARIAT OLYMPIQUE ET PARALYMPIQUE »
(https://medias.paris2024.org/uploads/2021/09/Paris2024-210507-VOL-Projet-de-Charte-du-VOP-VF-4.pdf) qui a été décrété par la Loi du 29 mars 2018, certains bénévoles étant soumis à des horaires « athlétiques » les employant parfois 12 à 14 heures par jour, mais il faut dire que la durée est limitée, malgré tout on ne peut s’empêcher de comparer les traitements opposés de ces bénévoles et des athlètes aux traitements des employés CIO et des vedettes qui sont engagées pour animer les shows.

Pour preuve, il suffit de constater avec quelle désinvolture certains bénévoles ont été évincés abruptement, avec suppressions de leurs accréditations et des quelques privilèges qui leur avaient été promis pour la raison d’une « baisse d’activité » alors que la plupart avaient fait de grandes concessions pour vivre ces moments uniques !


Mes premières réserves concernent donc cette disparité que je constate entre ces dépenses colossales pour faire fonctionner un organisme pléthorique qui au fil des années s’est installé dans un confort douillet en bénéficiant de nombreux privilèges dans le but d’organiser des jeux qui vantent les bienfaits du sport, de la compétition dans le respect de ses adversaires, de la promotion des grandes et belles valeurs morales de l’olympisme, de l’inclusivité, de l’honneur et de la paix universelle entre les humains.
Il y a bien sûr une immensité entre ce qui est la théorie de ce que doit être la pratique, ces jeux de Paris 2024 se sont voulu également représenter l’égalité Homme-Femme, la tolérance entre les êtres et le non-jugement, j’avoue que la vision du discours du Président de Paris 2024 T
ony Estanguet et de cette bénévole qui tendait servilement un parapluie afin qu’il ne mouille pas son joli costard m’a laissé totalement perplexe…
Certains se sont félicités de cette image d’inclusion (?) j’aurais aimé que Monsieur Estanguet demande à la jeune femme de venir le rejoindre sous le parapluie afin qu’elle aussi soit protégée, il me semble que ça, ça serait de l’inclusion… 

Cérémonie des JO : impression-ceremonie-jo-mon-carre-de-sable

Le CIO défenseur de l’égalité sociétale en général et HOMME – FEMME en particulier ?

Cela dit, mon but n’est pas de dérouler inutilement tous les irritants qui sont légions concernant le Comité organisateur des JO, financement occulte, soupçons avérés de trafic d’influence, malversations, exploitation humaine, etc, pour s’en persuader je conseille le visionnage de cette excellente vidéo très édifiante :


Enquête sur le Côté Obscur des JO de Paris | Idriss Aberkane reçoit Romain Molina : 

cérémonie des J.O., des sentiments très partagés sur le message transmis

Certaines scènes de l’ouverture de cette cérémonie des JO de Paris 2024 m’ont particulièrement interpellées, une bonne partie m’ont semblé réussies, très esthétiques, il faut avouer que le cadre de la capitale française est magique et a été exploité de manière fabuleuse, bravo !

Évocations mythologiques, historiques, Assasins creed, apologie du wokisme…


D’autres par contre m’ont dérangé, certaines m’ont même choqué et laissé perplexe.
Tout a commencé par ce tableau des trois jeunes personnes qui évoluent dans les catacombes et égouts parisiens avec la flamme olympique, si je comprends la référence originelle telle n’a pas été ma surprise teintée d’effroi de voir ces jeunes qui, pour traverser le fleuve, sont pris en charge par un énigmatique personnage cagoulé et masqué qui va les prendre en charge sur sa barque.
Cette scène m’a fait immédiatement penser à Charon le « passeur d’âmes » dont le rôle dans la mythologie était de faire traverser le Styx aux morts dans sa barque en échange d’une obole. Visiblement, cette obole fut la flamme olympique puisque nous n’avons plus jamais revu ces enfants qui ont en définitive totalement disparu dans le néant, alors que la flamme a continué son chemin jusqu’au final par les soins de ce mystérieux relayeur masqué …
Tout le monde se pose des questions : que sont devenus ces enfants ?

Des questions lancinantes plombent cette cérémonie des J.O.

Quelle symbolique ce tableau voulait-il transmettre ? Que représentait ce personnage ? : certains y ont vu une référence à « Assassin’s Creed » (traduction française = le credo de l’assassin (!)), un jeu vidéo développé par Ubisoft en 2007 qui met en exergue une histoire passionnante, avec deux organisations secrètes qui se livrent une lutte sanguinaire pour imposer leur vision du bien commun.
Tout cela me laisse un sentiment de malaise persistant.

Viennent ensuite des images d’hommage à des femmes françaises qui se sont illustrées dans notre histoire, jusqu’à Marie Antoinette qui a poussé la chansonnette révolutionnaire avec sa tête sous le bras le tout se terminant dans une explosion rouge-sang sur la façade de la conciergerie, le lieu mythique où la reine a été emprisonnée jusqu’à sa décapitation.

D’ailleurs, la séquence du spectacle se déroulant à la Conciergerie est intitulée «Liberté». Sauf que Patrick Boucheron a inscrit ce mot, sans doute le plus beau de la langue française, en lettres de sang. La nuance est de taille et nous sommes en mesure de rappeler en écho la phrase que Manon Roland prononça au moment de monter, elle aussi, sur l’échafaud : «Liberté ! que de crimes on commet en ton nom !» Phrase célèbre, si profonde, que Patrick Boucheron et ses contempteurs ont travestie aux yeux de milliards de personnes à travers le monde, faisant accroire l’idée que la Révolution se résumait à la Terreur et s’incarnait dans elle.

Par Loris Chavanette

Publié le 29/07/2024 : https://www.lefigaro.fr/vox/histoire/avec-l-image-de-marie-antoinette-decapitee-la-ceremonie-d-ouverture-des-jo-a-reduit-la-revolution-a-la-terreur-20240729

Exposition de l’idéologie woke dans de nombreux plans de cette cérémonie des J.O. tels que les scènes de défilés qui, certes, pour être avant-gardistes n’en ont pas moins déstabilisé beaucoup de personnes Cette surexposition du wokisme omniprésent ne reflète absolument pas une représentation fidèle de la conscience populaire ni même encore moins des valeurs de la population. Une telle dissonance n’a pas manqué de provoquer un profond émoi de la part des spectateurs et même un sentiment de désaccord parfois violent chez les plus « classiques » d’entre nous. Ceci a entraîné un sentiment de rejet vis-à-vis de ce spectacle par une part importante de la population, exhibition qui a plutôt été ressentie comme une caricature burlesque totalement non représentative de la société française, cette représentation nullement fidèle de nos valeurs reflète plutôt un fantasme irréaliste de certaines élites minoritaires que les concepteurs du spectacle ont souhaité mettre en lumière.

Ça n’a pas été mon cas, mais beaucoup ont été également choqué par la référence explicite au trouple et à la fantaisie de liberté sexuelle (débridée?) évoquée dans ce tableau avec un clin-d’oeil complice à la littérature, au cinéma et au libertinage dont la France n’a pas manqué d’être très souvent la représentation et la porte-parole de cet anti-conformisme en combattant l’hypocrisie un peu bourgeoise et réactionnaire.

Le pastiche de la « Cène », le cœur de la polémique et des critiques acerbes à l’égard de la cérémonie des J.O.

 Par contre, mon sang n’a fait qu’un tour en contemplant le spectacle monstrueux — je n’ai pas d’autre mot – de ce pastiche de la Cène, non seulement pour l’affront qu’ont pu ressentir de fervents croyants et de se sentir ainsi blessés profondément par ces images inutiles et offensantes, mais avant tout, mon sentiment d’horreur s’est exprimé par la présence inattendue de cette jeune fille au milieu de toute cette masse d’adultes et le summum, le geste très clair de cet homme qui a fait le geste très limpide d’égorgement à l’attention de cette enfant m’a totalement révulsé !

J’ai vu beaucoup de vulgarité s’exprimer dans ces spectacles, beaucoup de comportements qui m’ont semblé irrespectueux, blessants, méprisants inutilement…

Mais autant préoccupant, il me reste un profond sentiment de malaise quant aux objectifs poursuivis par ce spectacle qui a su pourtant nous offrir des moments féeriques autant que profondément navrant parfois bien pires.

Que dire également de cette chevauchée qui a duré si longtemps et m’a fait furieusement penser à un des cavaliers de l’Apocalypse, toujours le même énigmatique personnage que l’on a bien voulu nous mentionner qu’il s’agissait de Jeanne D’Arc ou autre, que la Cène n’était pas la Cène mais le festin des dieux grecs, le fait est qu’il y a eu tellement de volte-faces et de revirements dans les explications données concernant les justifications qui n’ont fait au final que s’enfoncer encore plus les communicants pourtant très compétents et fort bien payés. Tout cela a donné un fort relent d’amateurisme à cet événement.

Que penser de l’impact de cette cérémonie des J.O. ?

En conclusion, cette cérémonie des J.O. m’a laissé un profond sentiment de déception, doublé d’une colère sourde concernant les contenus des tableaux qui se sont avérés si déstabilisants pour la population moyenne, qu’ils ont été ressentis comme portant atteinte à leur sensibilité, certains portant même outrage à leur morale et leurs valeurs avec d’autant plus de violence que ces attaques ont été ressenties comme gratuites, jusqu’à Jean Luc Mélanchon, qu’on ne peut nullement taxer de « croyants – friendly » qui a mentionné que ces scènes étaient inutilement blessantes pour l’ensemble des Chrétiens…

La défense des opprimés d’avant-hier se ferait-elle en harcelant des innocents ?

Ce qui m’interpelle le plus, c’est que cette idéologie qui est portée comme un étendard de la défense des opprimés, des minorités visibles et ostracisées, nécessite de mettre un terme à ces injustices en combattant violemment une partie de la population, en l’occurrence les mâles blancs occidentaux de plus de 50 ans qui selon cette doctrine portent la quasi intégrale responsabilité de toute la misère du monde.

Le wokisme dont il est question a émergé à la suite d’événements survenus dans une université américaine qui ont fortement marqué les esprits : Evergreen State College, une université d’arts libéraux située à Olympia dans l’État de Washington. Depuis, cette doctrine a muté inégalement dans le monde, principalement dans les pays occidentaux au point que l’on y associe maintenant la « Cancel culture » ou « culture de l’annulation »
Tout nouvellement, il s’ensuit, dans la foulée de l’effacement un nouveau métier qui est celui de « sensitivity reader »

« Plusieurs appellations sont utilisées dans la presse: des expressions politiquement correctes comme «conseillers culturels», «correcteurs de sensibilité», mais aussi plus radicales comme «censeurs littéraires». Littéralement «lecteurs sensibles», c’est-à-dire qui ressentent vivement certains phénomènes et peuvent en être affectés – selon la définition que donne l’Académie française au terme «sensible» -, comment appeler ces personnes recrutées en fonction de leur appartenance à une communauté ou de leur connaissance des «minorités»? »

Source : https://www.lefigaro.fr/langue-francaise/actu-des-mots/qu-est-ce-qu-un-sensitivity-reader-en-francais-20230328

Cérémonie des J.O., Last but not least

Enfin et surtout, je déplore que tout ce déballage de revendications jusqu’à la limite de l’outrance, de spectacles choquants et offensants dont certains malsains mettant en scène des enfants qui m’ont personnellement énormément révoltés se soient fait sous la férule du Comité International Olympique dont ce n’est absolument pas le mandat d’évoquer ces aspects, d’autant plus que cela se fasse avec pléthore d’argent public, donc payé avec les impôts de ces même personnes qu’on a décidé d’horrifier dans un spectacle qui aurait dû promouvoir l’esprit des jeux de la paix, de la tolérance et de la bienveillance entre tous les humains sans discrimination et surtout sans devenir un terreau de discorde ni de haine.

Rudolf Steiner et les démons de sang

Rudolf Steiner et les démons de sang

La race humaine est-elle attaquée spirituellement ?
Le philosophe ésotérique et clairvoyant Rudolf Steiner a-t-il mis en garde à ce sujet il y a plus d’un siècle lorsqu’il a déclaré qu’un «vaccin» serait le système de délivrance de la défaite de l’humanité?

Pour beaucoup, la réponse trop autoritaire des gouvernements du monde entier au COVID-19 a mis en évidence une force motrice plus profonde et plus sinistre. Mais ce ne sont pas seulement les gouvernements qui semblaient agir de manière étrange. Au cours des deux dernières années, nous avons vu des personnes d’un large éventail de la société se soumettre docilement à des attaques draconiennes contre leurs libertés, nombre d’entre elles défendant même farouchement l’agression. De la même manière, nous avons vu des politiciens et des partis qui se présentaient autrefois sur des plates-formes de liberté personnelle et d’autonomie économique presque du jour au lendemain se transformer en obsédés du contrôle autoritaires, déterminés à microgérer tous les aspects de nos vies. Comment est-ce arrivé?

Récemment, le terme « psychose de formation de masse » a été sur toutes les lèvres. Il est défini comme un phénomène psychologique par lequel une masse de personnes passe volontairement par un processus de désindividuation et une mentalité de troupeau se forme. En raison de leur nature contagieuse, les formes-pensées affectant ces personnes désindividualisées, catalysées par les boucles de rétroaction positives des programmes d’information, des médias sociaux et de l’interaction entre pairs, se sont propagées comme une traînée de poudre dans la population. Dans le passé, cela s’appelait la psychologie de la foule, ou plus simplement la folie des foules.

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Psychologie : de la science à l’occultisme

Quelqu’un pour qui les événements des deux dernières années n’auraient pas été aussi surprenants était le philosophe ésotérique et mystique autrichien Rudolf Steiner, décédé il y a près d’un siècle. Tout au long de sa vie, Steiner a écrit de nombreux livres et donné des milliers de conférences sur ses théories, contribuant grandement à divers domaines allant de l’architecture à l’éducation et de l’agriculture à l’apiculture. Ses idées et méthodes très uniques – et parfois controversées – ont conduit à la fondation du mouvement spirituel connu sous le nom d’Anthroposophie, qui met l’accent sur l’existence d’un potentiel illimité pour les êtres humains.

Contrairement à certains penseurs ésotériques, Steiner a vu la grande importance de la science matérialiste mais a soutenu qu’il était vital de la voir comme un seul aspect de la réalité qui devrait idéalement être combiné avec ce qu’il appelait la «science spirituelle» – acquise par l’expérience mystique – afin de présenter l’image complète. Après tout, des percées se produisent souvent lorsque les scientifiques reçoivent des informations au-delà du domaine matériel, comme dans le cas célèbre de James Watson, crédité de la découverte de la forme en double hélice de l’ADN qui lui est venue dans un rêve mettant en scène deux serpents entrelacés. De même, Dmitri Mendeleev a créé le tableau périodique après un rêve de « … un tableau où tous les éléments se mettaient en place selon les besoins ». Ces cas montrent que toutes les découvertes scientifiques ne sont pas le résultat d’une déduction logique et d’une expérimentation.

En fait, Steiner, qui avait reçu des idées mystiques depuis son enfance, a perfectionné ses compétences de clairvoyance à un point tel que les informations qu’il recevait de sources non conventionnelles devenaient plus qu’un éclair occasionnel de perspicacité. Sa quête est devenue l’établissement de méthodes pour obtenir une perception extrasensorielle objective – une tâche qu’il considérait comme d’une importance primordiale, car il croyait qu’une bataille épique se livrait dans le domaine spirituel qui aurait des conséquences désastreuses pour l’humanité si elle n’était pas abordée de front.

Esprits des ténèbres

Ses avertissements les plus clairs sur le sort futur de l’humanité sont venus dans une série de conférences prononcées vers la fin de sa vie à Dornach, en Suisse; ces conférences sont reproduites dans le livre La chute des esprits des ténèbres. Bien que les détracteurs de Steiner disent que sa prose peut être plombée, ses conférences sinueuses et ses concepts difficiles à saisir, il est remarquablement clair et direct en ce qui concerne le sort qui attend l’humanité si notre obsession pour le matérialisme scientifique est autorisée à régner librement sans être tirée. remise en équilibre par les forces de contrepoids de la spiritualité.

Ceci est le plus clairement illustré dans les deux dernières conférences de la série – 13 et 14 – qui sont respectivement intitulées The Fallen Spirits’ Influence in the World et Into the Future. Steiner postule qu’une bataille invisible a eu lieu au début du 19ème siècle que certains « esprits des ténèbres » ont perdu. Ces esprits ont été dûment éjectés de leurs royaumes célestes et jetés dans un plan d’existence plus matériel, c’est-à-dire ici. Il est remarquablement précis sur le moment où cela s’est produit : l’automne 1879.

Ces esprits nouvellement arrivés ont rejoint ceux qui étaient déjà là – ceux qui existent aux côtés de l’humanité et l’influencent depuis les temps mythologiques associés à la Chute. Étant donné qu’il faut du temps à ces esprits malins pour se frayer un chemin à travers les sociétés humaines, ce n’est qu’en 1914 que leur influence maligne s’est manifestée dans la société humaine sous la forme de la Première Guerre mondiale – un événement désastreux dont la cause intrigue encore les profanes. Historiens.

 

Ces conférences ont été faites par Rudolf Steiner en pleine guerre (1917) pour le tout petit cercle de celles et ceux qui travaillaient en Suisse à la construction du Goetheanum. Pendant que la civilisation occidentale plonge dans les ténèbres, il décrit ce qui se joue derrière le décor de l’Histoire, dans le monde spirituel qui jouxte la Terre, et annonce très concrètement ce qui, avec le matérialisme, menace notre monde moderne. Un siècle plus tard, ces paroles résonnent de façon frappante avec la situation sociale, sanitaire, culturelle et politique que nous traversons. Elles éclairent en effet les causes profondes de la crise de civilisation dans laquelle l’humanité s’est enfoncée tout au long du 20e siècle, et tracent en même temps un chemin qui pourrait permettre de surmonter ces ténèbres.

Lucifer et Ahriman – les chefs de meute

Les esprits Ahriman et Lucifer ont piraté l’humanité pendant des milliers d’années, dit Steiner, Lucifer étant le « porteur de lumière » déterminé à nous rendre plus spirituels et à nous accorder plus de libre arbitre, et Ahriman faisant le contraire et nous rendant plus matérialistes et plus faciles à contrôler. En termes simplistes, Lucifer est une influence ascendante, tandis qu’Ahriman est une influence descendante.

Pourquoi devraient-ils vouloir faire cela ? Eh bien, nous ne savons tout simplement pas – il est difficile pour notre esprit humain de comprendre ce qui fait vibrer les anges et les démons. Mais chaque fois qu’il y a une de ces batailles périodiques dans le monde des esprits, a déclaré Steiner, cela a tendance à entraîner l’envoi d’un nouveau lot de renforts dans le domaine matériel pour unir leurs forces à celles déjà présentes.

Steiner nous a dit qu’Ahriman – un démon identifié pour la première fois par les Zoroastriens dans l’ancienne Perse – a le dessus en ce moment. Il avait eu un différend personnel avec Ahriman et avait vu son visage en vision – en fait, il en sculptait encore une ressemblance dans du bois au moment de sa mort. L’objectif principal d’Ahriman semble être d’entraîner l’humanité dans un état purement matérialiste dépourvu de toute forme de spiritualité, supprimant même l’impulsion de se connecter avec nos âmes. La méthode d’attaque serait par la science et la technologie, et en prenant possession de l’esprit de personnes puissantes et influentes afin de faire avancer ce programme. Ces personnes contrôlées peuvent être des scientifiques, des politiciens, des chefs religieux ou toute personne influente. Ainsi, les forces démoniaques travailleraient à travers ces personnes, et les personnes elles-mêmes, aveuglées par des défauts trop humains tels que la cupidité ou la soif de pouvoir, n’auraient pas la conscience de base pour reconnaître ce qui se passait.

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Une nouvelle religion pour un nouvel âge

Le contexte de cette prise de pouvoir était la montée de l’athéisme et le culte de la science et du progrès. Maintenant, nous avons une situation dans laquelle une perspective purement matérialiste est présentée comme la seule explication de toute création. L’athéisme est devenu une religion de facto pour certains, tandis que les riches traditions de la spiritualité indigène ont été mises de côté et écrasées sous son talon. Les gens, les animaux et toute vie sont considérés de la même manière froide ; de simples réceptacles de protéines et de code génétique exploitables. La fin de partie de cette pièce est présentée comme un monde sombre et monochrome, dépourvu d’esprit et de lumière, où les humains – leurs esprits et leurs esprits sont brisés – sont rassemblés et surveillés comme des animaux de laboratoire.

Nous pouvons voir comment ce scénario est accéléré. Les PDG des entreprises technologiques sont presque considérés comme des saints ou des bodhisattvas, brandissant la carotte de la vie éternelle sous la forme du téléchargement des « données » contenues dans notre cerveau sur des micropuces. Dans le même temps, les politiciens, les scientifiques d’entreprise, les fonctionnaires et les économistes sont considérés comme des ingénieurs technocratiques chargés d’assurer le bon fonctionnement du mastodonte de l’économie matérielle. Libre arbitre? L’hypothèse implicite est que cela ne sera plus nécessaire une fois que les algorithmes alimentés par l’IA – qui nous connaissent mieux que nous – atteindront la vitesse de fuite. À ce stade, la vie humaine n’aurait aucune valeur intrinsèque, et les coquilles de nous-mêmes seraient occupées par l’armée démoniaque dont Steiner nous a averti qu’elle attendait son heure.

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Certaines personnes disent que Rudolf Steiner a prédit l’apparition d’un vaccin qui serait le système d’administration de la défaite finale de l’humanité. À la lumière des efforts clandestins déployés au cours des deux dernières années pour injecter à presque tout le monde sur la planète un traitement de modification génétique, sa prescience semble remarquable – mais dans quelle mesure est-elle vraie ?

Étonnamment, Steiner était remarquablement clair (selon ses propres critères) sur le processus physique par lequel cette prise de contrôle se produirait. Dans sa conférence finale dans La chute des esprits des ténèbres, il déclare que le monde spirituel où habitent des entités telles que les anges, les démons et les archanges se trouve dans le sang humain. Il voulait dire cela littéralement, en disant :

« Les Archanges et les Anges avaient leur demeure dans le sang, pour ainsi dire. Vraiment, le sang n’est pas seulement quelque chose que les chimistes doivent analyser ; c’est aussi le lieu d’habitation des entités des mondes supérieurs.

À cette fin, il a émis l’hypothèse que le mécanisme d’administration serait sous la forme d’un vaccin injecté directement dans notre corps.

« Aujourd’hui [en 1917] les corps sont vaccinés contre une chose et une autre ; à l’avenir, les enfants seront vaccinés avec une substance qu’il sera certainement possible de produire, ce qui les immunisera pour qu’ils ne développent pas des inclinations insensées liées à la vie spirituelle – « insensées » ici, bien sûr, aux yeux des matérialistes.

Ce « vaccin », poursuit-il, bloquerait toute communication avec le monde des esprits, ce qui signifie qu’aucun message ou impulsion ne pourrait passer des « esprits de lumière » dont le but est toujours d’aider l’humanité à progresser et à accomplir sa mission. Le vaccin bloquerait de façon permanente les impulsions positives qui nous étaient autrefois transmises, et à la place les malheureuses victimes ne pourraient recevoir que les impulsions leur venant de sources perturbatrices, ce que nous pouvons imaginer aujourd’hui pourrait inclure les médias, le système éducatif et même les religions établies. Il dit qu’il y aurait une grande confusion et que les forces ahrimaniques bouleverseraient les pensées des gens. Tout ce qui était autrefois bon et sensé apparaîtra mauvais et fou, tandis que tout ce qui était autrefois considéré comme insensé et mauvais sera présenté comme sensé et bon.

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CI-DESSUS : Le graphique promotionnel représente le robot ressemblant à un calmar qui apparaît dans le film de 2003 The Matrix Revolutions.
En haut : La série à succès de Netflix de 2021, Squid Game, est un thriller de survie sombre et violent qui pose la nature humaine comme intrinsèquement barbare.

Squid Games : du Wetiko à la matrice

Cela semble-t-il invraisemblable, les divagations d’un mystique mort depuis longtemps ? Beaucoup diront sans doute que c’est le cas et qu’il existe des explications plus terrestres et plausibles à l’épidémie psychique qui s’est emparée du monde. Peut-être que Steiner parlait métaphoriquement, après tout, certains pourraient raisonner. Néanmoins, le phénomène auquel Steiner fait allusion présente des similitudes frappantes avec le concept amérindien de wétiko.

L’auteur Paul Levy a beaucoup écrit à ce sujet, le définissant comme « une maladie psychospirituelle contagieuse de l’âme, un parasite de l’esprit qui se manifeste actuellement en masse sur la scène mondiale via une psychose collective aux proportions titanesques ».

En écoutant un récent podcast Legalize Freedom intitulé « COVID-19 : War on Humanity », Emma Farrell, une guérisseuse qui utilise des techniques chamaniques pour accéder aux royaumes intérieurs, a observé qu’elle et d’autres dans le même domaine avaient vu une véritable horde de parasites spirituels. entités attachées aux gens au cours des deux dernières années – comme si une écluse avait été ouverte et qu’ils l’avaient traversée.

Ces entités, dit-elle, sont de toutes formes et tailles, mais il y en a deux très communes et reconnaissables, dont l’une ressemble à un calmar. Ces êtres ressemblant à des calmars, dit-elle, s’attachent à des personnes non protégées et récoltent leur énergie spirituelle en provoquant la division et la discorde entre nous.

Cela m’a semblé aussi intéressant que nous avons vu cet archétype de calmar entrer dans la conscience humaine au cours des dernières années, notamment en devenant apparent à travers la culture populaire. De nombreuses personnes ont rapporté avoir rêvé de créatures ressemblant à des pieuvres ou des calmars, et des artistes tels que Peter Yankowski ont peint des images de ces visions. En effet, les machines méchantes qui contrôlent les humains et récoltent leurs énergies dans les films Matrix ressemblent à des calmars robotiques, tandis que l’une des meilleures séries Netflix de 2021 était Squid Game, un thriller de survie sombre et violent qui pose la nature humaine comme intrinsèquement barbare. De plus, le regain de popularité de H.P. Les histoires surnaturelles d’horreurs des profondeurs de Lovecraft ajoutent une autre couche de tentacules à ce gâteau rugueux.

Et n’oublions pas que Goldman Sachs, l’une des plus grandes banques d’investissement au monde, a été décrite de façon mémorable par le journaliste de Rolling Stone, Matt Taibbi, comme un « grand calmar vampire enroulé autour du visage de l’humanité, enfonçant sans relâche son entonnoir sanguin dans tout ce qui sent l’argent ». ” La description est appropriée; après tout, quel est le but d’une banque d’investissement autre que de transformer chaque aspect du monde sacré en un actif monétisé qui peut être échangé, exploité et mis à profit ?

Le chemin du retour à la raison

Cette manifestation d’un archétype calmar/pieuvre dans la conscience humaine pourrait-elle être ce contre quoi Steiner nous a mis en garde ? Y a-t-il vraiment des entités spirituelles dans notre sang qui pourraient expliquer l’obsession des technocrates milliardaires de nous injecter des substances censées contenir des nanoparticules dont nous savons très peu de choses ? Et comment cela cadre-t-il avec la maladie psychospirituelle du wétiko décrite par Paul Levy et le concept de « psychose de formation de masse » discuté dans les médias alternatifs ?

Peut-être que la vérité réside quelque part dans le lien entre ces concepts, avec la suggestion implicite que nous ne devrions pas nous reposer dans notre enquête approfondie sur la manière dont l’affliction est actuellement si répandue à travers le monde. Ce n’est qu’ainsi que nous pourrons espérer trouver les outils et les armes nécessaires pour lutter contre elle.

Ou peut-être que les démons ahrimaniques contre lesquels Steiner nous a mis en garde, les parasites de l’esprit wétiko dont parle Paul Levy et les entités tentaculaires qui se sont infiltrées dans notre conscience collective via la culture populaire, jouent tous dans la même équipe. Si oui, à quoi ressemble notre équipe ? Et comment gagne-t-on ce jeu ? Peut-être que le combat est nécessaire à ce stade du développement humain, et qu’en battant ces « esprits des ténèbres », nous pouvons passer à un niveau supérieur.

Quoi qu’il en soit, en se référant au vieil adage auquel il a été fait allusion plus tôt… les gens, dit-on, pourraient devenir fous dans la foule, mais le chemin du retour vers la raison se fait une personne à la fois.

Oeuvre originale « Blood Demons » par Michael Cox. Voir son art sur Instagram, www.instagram.com/michaelcoxart.

Comment meurent les empires

Comment meurent les empires

Les États et les empires échouent lorsqu’ils ne sont plus la solution

Lorsque l’État/empire perd la capacité de reconnaître et de résoudre les problèmes fondamentaux de sécurité et d’équité, il sera remplacé par un autre dispositif plus adaptable et plus apte à résoudre les problèmes.

D’un point de vue systémique, les États-nations et les empires naissent lorsqu’ils constituent des solutions supérieures en matière de sécurité par rapport aux arrangements qu’ils remplacent : féodalisme, seigneurs de la guerre, confédérations tribales, etc.

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Les États et les empires échouent lorsqu’ils ne sont plus la solution, ils sont le problème. Comme l’explique le livre The Upside of Down : Catastrophe, Creativity, and the Renewal of Civilization, lorsque la dissolution de l’État ou de l’empire devient la solution pour réduire la douleur, les habitants retirent leur soutien et l’empire perd son emprise et expire.

Comme je l’explique dans mon nouveau livre, Global Crisis, National Renewal, les États et les marchés sont des structures de résolution de problèmes. Ces structures résolvent les problèmes en optimisant l’adaptabilité et les synergies bénéfiques qui se renforcent mutuellement au fil de l’évolution.

L’essor de la classe moyenne est un exemple de synergies bénéfiques : à mesure que cette nouvelle classe accède au crédit, à l’expertise, au commerce, à l’entreprise et au pouvoir de fixation des prix pour son travail, elle a les moyens de transformer son travail en capital en épargnant les gains et en investissant le capital dans des actifs, de nouvelles entreprises, etc. qui génèrent ensuite des revenus du capital qui alimentent des augmentations synergiques du crédit, de l’expertise, des actifs et des revenus des investissements.

Les États / empires échouent et expirent lorsqu’ils élèvent les synergies fatales créées par des élites intéressées. Plutôt que d’encourager les dynamiques d’adaptation – concurrence, transparence, responsabilité, expérimentation et dissidence – les élites suppriment ces forces comme des menaces pour leurs monopoles, cartels et richesses.

LÉtat/empire n’est plus capable de résoudre les problèmes.

comment-meurent-les-empires-auteur2-mon-carre-de-sableDépourvu d’adaptabilité et de synergies bénéfiques, l’État/empire n’est plus capable de résoudre les problèmes. Il devient le problème qui ne peut être résolu.

L’une des principales dynamiques qui alimente les synergies fatales est la confiance démesurée dans le fait que l’abondance à bas prix est un droit de naissance conféré par l’État / l’empire, de sorte que les ressources peuvent être dilapidées sans fin dans l’excès et les extrêmes de consommation et de gaspillage. L’État/empire ne se concentre plus sur la sécurisation des sources matérielles de sécurité (nourriture, énergie, etc.) ou sur la responsabilité, la concurrence, la dissidence et la transparence nécessaires pour résoudre les problèmes systémiques.

Au lieu de cela, l’État / l’empire se dissout en camps divisés qui cherchent à protéger leurs petits fiefs et à accroître leur richesse aux dépens de la population. Les super-riches construisent des yachts et des palais à 500 millions de dollars, les politiciens profitent de leur position pour accumuler des fortunes et la corruption remplace la gouvernance.

Les marchés s’enlisent dans des synergies fatales : produits et services de mauvaise qualité, excès spéculatifs, consommation grotesque et divertissements sanglants deviennent des « industries de croissance », tandis que les pannes de courant assombrissent les réseaux électriques et que les rayons des magasins se vident des produits de première nécessité.

La solution du marché au fait que tout le monde possède déjà tout est d’incorporer l’obsolescence programmée dans chaque produit et de former des cartels du secteur des services qui dépouillent ensuite les services jusqu’à l’os pour augmenter les profits, ce qui revient à dire que tous les biens et services sont pourris.

L’État/empire ne parvient pas non plus à maintenir la sécurité

L’État/empire ne parvient pas non plus à maintenir la sécurité et les fonctions de base telles que la collecte des impôts et une application équitable. Les petits délits sont exploités par ceux qui sont au pouvoir (confiscation civile) tandis que la résistance à l’État est sévèrement punie. Il existe deux systèmes juridiques, un pour les roturiers et un autre pour l’élite.comment-meurent-les-empires-dessin-mon-carre-de-sable

L’État / l’empire protège ceux qui profitent du statu quo et appelle ensuite ce profit une « solution ». Mais ce profit ne résout aucun problème ; il est le problème, car le profit égoïste protège ses privilèges en corrompant l’État, la finance et l’économie.

De son côté, le marché cherche à maximiser les profits dans les excès de consommation, les prêts prédateurs (prêts étudiants), la destruction en bloc de la qualité par les monopoles et les cartels et les extrêmes de la spéculation. La maximisation des profits par tous les moyens disponibles n’a aucun fondement moral ; les prêts étudiants prédateurs sont rentables, la facturation médicale obscure est rentable, la vente de produits conçus pour échouer est rentable, déclarer un logiciel obsolète est rentable, tromper les consommateurs est rentable, et ainsi de suite, dans un éventail sans fin de produits de mauvaise qualité et malsains, de services rapaces, de surfacturations frauduleuses, etc.

Comme les problèmes ne sont pas résolus, les choses s’effondrent et les masses se tournent vers des extrêmes de dérangement et de pensée magique : le fanatisme se substitue à l’amitié, les cultes abondent, les terrains d’entente disparaissent et tous les échecs du système sont masqués par le pain et les jeux, l’argent gratuit, les divertissements criards et les étalages sans vie de consommation ostentatoire qui révèlent la décadence et la dégradation.

L’État/empire est le problème, pas la solution

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Protéger les quelques personnes qui dépouillent le système aux dépens du plus grand nombre ne résout pas les problèmes. Cela ajoute une couche de problèmes que l’État/empire est incapable de résoudre. Ossifié, sclérosé, égoïste, corrompu, axé sur la vertu et l’apparence de s’attaquer aux problèmes plutôt que de les résoudre réellement parce qu’une vache sacrée perdrait ses privilèges et son flux de revenus, l’État/empire est le problème, pas la solution.

Lorsque l’État/empire perd la capacité de reconnaître et de résoudre les problèmes fondamentaux de sécurité et d’équité, il est remplacé par un autre dispositif plus adaptable et plus apte à résoudre les problèmes. Les artifices, la fantaisie, la pensée magique, les excuses et les histoires de couverture absurdes ne font pas partie de la résolution des problèmes. Les problèmes ne peuvent être résolus que si l’on affronte directement la réalité.

Lorsque la réalité est inacceptable parce qu’elle a un impact négatif sur ceux qui dépouillent le système pour des gains privés, l’État/empire est déjà engagé dans la spirale fatale de l’effondrement.

 

Texte originel d’un texte de Charles Hugh Smith du 07 février 2022 sur son blog « OfTwoMinds »

Traduction assurée par Aube Digitale

 

 

pourquoi les poètes du XIXe étaient-ils si tristes ?

pourquoi les poètes du XIXe étaient-ils si tristes ?

XIX°, Le siècle du « Spleen et de l’Idéal »

On dit souvent que l’alternance des siècles dans notre Histoire suit un certain rythme avec des récurrences assez régulière.

Il en est ainsi des siècles pairs (XVI et XVIII° par ex.) qui ont été généralement plus libertins et légers que les siècles impairs, le XIX° est un exemple assez particulier puisqu’il a vu l’émergence des écrivains « romantiques » illustrée par « Le Spleen et l’Idéal » colonne vertébrale du roman « Les fleurs du mal » de Charles Baudelaire, des réflexions fortement teintées d’un quasi désir de souffrance expiatoire influencée du dogme chrétien du Péché originel et de sa balance : une profonde aspiration de sens, d’ordre et de beauté vers où tend l’aspiration de l’auteur.

La mélancolie, une émanation caractéristiques du XIX°

La mélancolie est un affect qu’on définit généralement comme une absence du goût de vivre, un sentiment de tristesse mêlée à de la nostalgie. En littérature, et plus particulièrement en poésie, cet affect est souvent attribué aux Romantiques. C’est ce que Musset et Chateaubriand nommaient le Mal du Siècle et qui en s’intensifiant, est devenu chez Baudelaire, le Spleen.

Tentons de comprendre les mutations sociales profondes qui ont pu engendrer cet état d’âme caractéristique de la poésie du XIXe siècle…pourquoi les poètes du XIXe étaient-ils si tristes-baudelaire-mon-carre-de-sable

Le XIXe, en gros, c’est la révolution industrielle. Les villes se transforment et le capitalisme inscrit peu à peu le soucis du quantitatif et de la richesse dans les mentalités, au détriment de l’individu. Du coup, l’espoir d’une vie meilleure et d’un travail poussent les populations rurales à aller s’entasser dans les villes. Les modes de vie vont commencer à s’uniformiser.

Dans le même temps, le rationalisme des Lumières et l’empire de la science ont désenchanté le monde, pour reprendre l’expression inventée par Max Weber.

Tout devient objectivité.

Les symboles disparaissent.

Le religieux recule et ne détermine plus les conduites ni la conception du monde.

Le rapport à Dieu, quand il ne disparaît tout simplement pas, se fait plus discret.

Bien souvent, ce sont finalement le sens de la vie et les valeurs anciennes qui se perdent.

Les poètes et artistes des exclus de la société du XIX° ?

Le poète romantique se place en désaccord fondamental avec la société moderne. Il devient un pariât, un maudit, cherchant dans l’art et la poésie un remède à ces désenchantements successifs. On voit éclore un culte de la subjectivité, du Moi profond qui se traduit par des vers marqués par un lyrisme exacerbé, qu’on considère aujourd’hui comme terriblement cliché, comme le célèbre:

Un seul être vous manque et tout est dépeuplé.

de Lamartine

pourquoi les poetes du XIXe etaient ils si tristes2 mon carre de sable

La Nature est également un motif récurent de la poésie romantique. Elle est considérée par ces derniers comme le sanctuaire du souffle divin que seul le poète peut encore sentir. Et Baudelaire de clamer dans le poème Correspondances:

La nature est un temple où de vivants piliers laissent parfois sortir de confuses paroles.

Elle protège aussi l’artiste de la mauvaise influence de la civilisation. Rousseau déjà au XVIIIe s’y était isolé et s’était en même temps couvert de ridicule…

La poésie romantique est donc l’expression d’une quête pour retrouver une spiritualité perdue. Elle se fait alors reliquat de croyances païennes ancestrales comme le pythagorisme, du « tout est sensible! » chez Nerval, pour réintroduire les idéaux passés dans le présent.

Et l’art, par le rêve, le mystère, le voyage, jusqu’à parfois la folie, franchira toutes les limites pour produire grâce à l’imagination une poésie sacrée et sensible, débarrassée des carcans où les contraires, loin de s’opposer, s’enrichissent en se réunissant.

Les Fleurs du Mal de Baudelaire reste un exemple éclatant qui résume assez bien les aspirations d’une génération de poètes plongés dans une période d’incertitude où l’art, par leur biais, se fait sacré à la place du sacré. D’où le nom de la première partie du recueil: Spleen et Idéal.pourquoi les poètes du XIXe étaient-ils si tristes-nerval-mon-carre-de-sable

Cet article est inspiré à la base de celui écrit par Djinnzz sur le blog « EtaleTaCulture » (#ETC pour les intimes)

PAR L. · PUBLICATION 20 NOVEMBRE 2016 · MIS À JOUR 20 NOVEMBRE 2016

Le XIX° une répétition générale du XXI° qui se découvre ?

Or, je ne peux m’empêcher de constater une certaine similitude entre ce siècle qui a consacré l’ère industrielle avec toutes les promesses qui ont émergées de travail pour tous et de modernité triomphante, des balbutiements du capitalisme, des mouvements de masse des populations qui sont devenues à majorité citadines en deux ou trois générations.
Le XX° siècle a célébré ces lendemains qui chantent jusqu’à connaître les « trente glorieuses », je me rappelle que la jeunesse de cette époque était insouciante, heureuse et totalement confiante en son avenir radieux…

Ce vingt-et-unième siècle n’est entamé que de vingt ans mais les mentalité ont été bouleversées suite à des profondes modifications des valeurs, nous sommes devenus plus individualistes et la recherche de la sécurité et du bien collectif (paradoxalement) ont supplanté celui de vivre sans entraves et de favoriser la liberté avant tout.

Bien sûr, le covid est passé par là, beaucoup pensent également que le capitalisme naissant deux siècles auparavant a évolué et a dorénavant engendré une société rude, orientée sur la recherche de profits bien avant celle de la recherche du bonheur qui était chère à nos philosophes du XVIII°

Le consumérisme, l’ultra libéralisme sauvage, l’obsolescence programmée, toutes ces notions amènent à se poser la question : « Quelle sera la place de l’Homme dans la société de demain ?
Toutes les utopie post révolution industrielle sont tombées les unes après les autres, celles qui promettaient cet avenir radieux qui n’a jamais été au rendez-vous mais à qui s’est substitué une imposture néo-esclavagiste tant les individus sont littéralement pieds et poings liés par des obligations financières entre autres.
Que sont devenus les artistes et les rêveurs dans cette société laborieuse, qui produit des richesses comme jamais auparavant mais, sans doute à cause d’une redistribution déséquilibrée de ces richesses, il règne une misère sociale et une pauvreté culturelle qu’avaient anticipé des auteurs comme Orwell ou Huxley
Les enfants du XX°, devenus parents de ceux du XXI° ont-ils failli dans leur tâche d’éducation ? Avons-nous fauté en n’ayant pas soupçonné la société profondément liberticide qui est en train de se mettre en place ?
Où, tout simplement, l’évolution de notre société suit un schéma que nous ne comprenons pas mais que tous ces jeunes appellent de leurs vœux, ou du moins ne sont pas particulièrement opposés à cette vie qui se positionne.

Les paris sont ouverts et l’Histoire s’écrit perpétuellement…

LE RÉSEAU SOLARIS

LE RÉSEAU SOLARIS

Une étoile est née !

Je suis très motivé à vous partager une information majeure que j’ai obtenue tout récemment, concernant une initiative extraordinaire appelée SOLARIS !

Il y a trois ou quatre jours une amie nous a parlé d’un mouvement émergent au sein de la population française mais qui a rapidement dépassé le cadre de notre pays depuis – appelé Solaris – qui répond aux préoccupations de plus en plus vives qui animent les populations et qui bénéficie d’un engouement et d’une mobilisation stupéfiants !
Sur la page du site de Solaris France que je vous communique plus bas, vous aurez toutes les adresses en France mais aussi celles des pays où ce réseau se développe également tels que la Suisse, Belgique, Espagne, Amérique du Sud, Québec, …) 

Le réseau SOLARIS répond à un besoin primordial

Ces préoccupations sont convergentes et deviennent extrêmement précises vis-à-vis de certains irritants : la situation économique à l’échelle mondiale qui montre des signes d’essoufflement et de tensions internationales, des indicateurs sérieux soulignant des risques de pénuries diverses, alimentaire, technologique, sanitaire, d’énergie le tout dans un climat social qui se dégrade maintenant dangereusement entraîne une fébrilité générale qui atteint un niveau historique. Les aspects climatiques et géophysiques ne sont pas en reste, tous les indicatifs semblent indiquer un climax imminent.
L’effondrement du système de santé que l’on observe un peu partout n’est qu’un des éléments constitutif de cette dégradation qui s’accélère.

C’est ce constat qui a vu naître cet automne à Renne le Château un concept qui s’est répandu avec une vigueur hallucinante, preuve en est qu’il répondait tout à fait aux besoins d’un grand nombre d’individus : celui de se relier à ses semblables d’une manière beaucoup plus solide que jamais ; il est devenu en effet primordial de se préparer individuellement et de manière très concrète à ces temps qui viennent, mais personne n’ira bien loin seul, c’est devenu évident. La solidarité est donc devenu un facteur incontournable, le contact humain et le retour à une reliance au collectif un aspect évident pour que chacun puisse retrouver sa souveraineté individuelle et ce, même dans la perspective d’une défaillance majeure des services de l’État qui pourrait être totale, option qu’il est dorénavant prudent d’envisager…


Qu’est-ce que le réseau SOLARIS ?

Le réseau SOLARIS France est un «  Internet Humain », un réseau d’entraide et de solidarité qui commence dans notre voisinage direct. Ce n’est pas une association, une compagnie, c’est un rassemblement d’êtres humains mus par le désir d’aider leur prochain, ce système n’est nullement basé sur l’échange commercial, ni sur le troc direct ni même sur l’idée d’un échange de service. Il est basé sur la bienveillance envers chacun et le concept d’entraide bénévole que cette période va nous donner l’occasion de redécouvrir.

Voici une vidéo très complète et intéressante de l’émission webtélé de Eric Montana « A bâtons rompus » avec Frédéric Vidal du collectif SOLARIS : je vous conseille vivement son visionnement qui dit l’essentiel de ce que doit savoir toute personne éveillée… : 

https://vk.com/video430568862_456239785

Comment fonctionne le réseau SOLARIS ?

Chacun adhère à SOLARIS de manière volontaire et bénévole, son fonctionnement est totalement gratuit, il représente le rassemblement d’êtres humains qui chacun agit pour tous et qui ensemble agissent pour un quand cela est nécessaire.

Chaque réseau évolue de manière autonome, au sein d’un maillage physique de toutes les personnes qui s’y joignent spontanément, plus cette arborescence est étroite mieux elle fonctionne, la proximité des ressources d’entraide et de soutien constituant un atout majeur, ainsi personne ne se retrouve seule et chacun peut également aider selon ses compétences. Les réseaux, nommés métaphoriquement « Cellules » fonctionnent organiquement grâce à une bonne circulation de l’information, sans hiérarchie, sans chef, l’autonomie constituant le maître mot, la philosophie qui anime l’esprit du concept SOLARIS.

Ici un lien audio à suivre d’une entrevue qui présente le pourquoi et les comment du réseau SOLARIS

Comment rejoindre le réseau SOLARIS ?

Beaucoup d’informations se trouvent ici sur le site officiel du réseau SOLARIS

Vous y trouverez notamment les coordonnées des Cellules qui fonctionnent en fractales, pour rejoindre un groupe précis vous pouvez contacter par courriel votre réseau local, départemental ou régional, le mouvement s’agrandit tellement vite que chaque jour qui passe voit la naissance de nouvelles cellules, c’est significatif de l’urgence de la demande !
Pour raison d’efficacité et d’autonomie des moyens de communication, le réseau SOLARIS fonctionne beaucoup avec des applications de messagerie sécurisées telles que TELEGRAM ou PROTONMAIL

ci dessous les adresses de SOLARIS :

https://t.me/solaris_france

solaris.france@protonmail.com

Mes propres coordonnées alternatives :

Telegram

Moncarre2sable_Mishka

Protonmail

michel.mougenot@protonmail.com

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