Goethe : La psychologie des couleurs et des émotions

Goethe : La psychologie des couleurs et des émotions

Les couleurs déterminent en grande partie la manière dont nous expérimentons le monde.

Tant culturellement que biologiquement. Si les avis diffèrent quant à la manière dont les couleurs influencent nos vies, on s’accorde néanmoins à dire qu’elles ont une grande importance et nous influencent plus que nous le pensons.

J’ai découvert que le grand poète que fut Goethe que j’ai admiré à travers deux œuvres fondamentales, « Les souffrances du jeunes Werther qui a été sa première production et par ce que tout le monde considère comme son œuvre magistrale « Faust » et je suis resté quelques années sur ces impressions.

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Les Souffrances du jeune Werther de Goethe (Analyse de l’œuvre): Comprendre la littérature avec le Petit Littéraire Broché – 23 novembre 2017

 

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Faust de Goethe (fiche de lecture et analyse complète de l’oeuvre) Broché – 22 octobre 2019
de Goethe (Auteur)

Quelle ne fut pas ma surprise en découvrant il y a une vingtaine d’années à travers l’étude des travaux de Rudolf Steiner, qui fut un spécialiste de l’ensemble de l’œuvre de Goethe, que ce génie avait également été un observateur très attentif des mondes minéral et végétal, qu’il avait fait un traité phénoménal sur la métamorphose des plantes qui m’avait estomaqué, mais aussi et surtout son fameux « Traité des couleurs » qui m’a fait entrevoir l’optique et notre manière de voir le monde qui nous entoure d’un regard totalement nouveau et stupéfiant.

L’optique devenait à travers le regard de Goethe un univers vivant, sensible et spirituel, tout l’inverse de la présentation qui nous a été peinte par Newton un processus froid et désincarné de diffraction de la lumière.

(suite…)

Le Jumeau perdu : handicap pour l’affirmation de soi ?

Le Jumeau perdu : handicap pour l’affirmation de soi ?

Le jumeau perdu est-il vraiment un handicap dans le processus d’affirmation de soi?

Quand on ne parvient pas à prendre pleinement sa place et ainsi oser s’affirmer, il n’est pas rare que l’on retrouve dans la mémoire cellulaire la présence d’un jumeau disparu dans les premières semaines de gestation.

Celui qui lui survit ne s’autorise pas à profiter de la vie. On parle alors du syndrome du jumeau perdu.

Et si ce jumeau éphémère avait une raison d’être ?

Anecdote

« Je me sens seule et triste même si je vis en couple. C’est comme si au fond de moi, je n’avais pas le droit de vivre, de réussir ; comme si je n’avais pas de place sur la Terre. Je m’en veux d’exister, je culpabilise. Je me rends compte que je me sabote aussi, comme si je n’avais pas le droit de faire les choses jusqu’au bout… J’ai l’impression de n’être jamais entendue, de ne pas pouvoir m’exprimer, de ne pas avoir le droit de m’exprimer. Les autres savent et font mieux que moi… Tout cela fait que je n’arrive pas à être moi, à être joyeuse et même heureuse. » Clara, 34 ans, nous évoque ainsi sa situation.

Clé du jour – Accueillir son jumeau pour oser s’affirmer

Peut-être ressentez-vous aussi cela au fond de vous? peut-être le voyez-vous chez votre enfant ? =

Il a du mal à s’endormir seul, il cherche toujours la compagnie des autres, voire d’un autre enfant. En grandissant, il manque de confiance en lui, se sent en trop, a du mal à trouver sa place. Il est peut-être habité par une sorte de mélancolie, parfois même il n’a pas de désir de vivre. Les autres passent avant lui, il a tendance à s’effacer. Il s’accroche à un doudou au-delà de la petite enfance …

Cela peut-être l’expression de ce que Bettina Austermann appelle le Syndrome du jumeau perdu : « un embryon sur 10 aurait un jumeau qui souvent disparaît pendant la grossesse » . C’était sans compter l’amplification de ce phénomène en raison de l’augmentation considérable des FIV. Le bébé qui naît ou jumeau survivant, présente alors ce syndrome.

 

Que s’est-il passé ?

Au début de sa vie intra-utérine, l’embryon n’est que perceptions : tout son corps est comme une grande oreille extrêmement sensible dit Tomatis dans son livre La nuit utérine. Or, dans le cas des jumeaux, ils sont deux, dans une proximité phénoménale. Ils se construisent à deux, se touchent, communiquent, jouent… ET puis, pour une raison inconnue, l’un d’eux décline, s’affaiblit. L’autre veut le sauver, le porter. Rien n’y fait, l’autre meurt. Le jumeau survivant parfois le porte pendant un certain temps, refusant de s’en séparer… Jusqu’au moment où l’autre disparaît. Parfois il fond progressivement (il se lyse dans les membranes ou dans le corps de son jumeau) ou il est arraché brusquement par des saignements.

La femme ne sait pas toujours qu’elle attendait des jumeaux. Les échographies précoces permettent parfois de le savoir ; parfois ce Jumeau utérinsont des pertes de sang alors que la grossesse continue qui peuvent l’exprimer ; parfois il n’y a aucun symptôme.

Le jumeau survivant vit dans la solitude le plus grand deuil de sa vie et bien souvent il en porte la mémoire sous forme d’une question : « Pourquoi moi ? » Pourquoi est-ce lui qui vit et non pas l’autre ? Du coup, il se refuse le droit d’exister vraiment en souvenir de son jumeau.Il vit alors un syndrome du survivant.

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Contrat de performance énergétique : l’accord choisi par les jumeaux

Pourtant, il se passe bien autre chose. L’incarnation demande que nous quittions un monde de l’éther pour expérimenter le monde de la matière sur Terre au moyen d’un véhicule qui est notre corps. Or, beaucoup d’entre nous rechignent à quitter le monde de la lumière d’où ils viennent car c’est un monde léger, rapide, réactif… mais dépourvu de sensations. Intégrer un corps leur donne l’impression d’être enfermé dans quelque chose de très limité qui est lourd, lent à mobiliser. Et, de plus, ils oublient une bonne part des informations auxquelles ils ont accès dans leur monde originel.

En présence de jumeaux, il arrive qu’ils établissent un “contrat” : l’un reste dans le monde éthérique afin de rester en contact avec la connaissance universelle alors que l’autre s’incarne pour expérimenter la matière et avoir accès aux sensations et à la conscience. On pourrait alors parler d’un “contrat de performance énergétique” favorisant un maximum d’échange avec un minimum d’énergie dépensée.

Ainsi, en restant en lien, ils pourront échanger leurs informations. C’est après avoir conclu ce pacte, que l’un d’eux se désintègre. Le problème, c’est que l’autre, en naissant oublie ce pacte tout en restant relié à son jumeau comme par un fil. Son corps porte alors la mémoire du manque et le fil active cette mémoire.

Arrive ensuite le temps où le jumeau resté dans l’éther doit continuer sa trajectoire : le pacte arrive à sa fin. La distance entre les deux jumeaux augmente, la tension du fil est plus importante amenant celui qui est sur Terre à réagir. C’est souvent à ce moment qu’il consulte, ou qu’il “tombe” sur un arricle, un reportage ou que “comme par hasard” quelqu’un lui en parle. Exactement comme le fait Clara dans notre anecdote.

Même si la fin du pacte permet à chacun de vivre pleinement sa vie, il n’en demeure pas moins que cela est souvent vécu comme un deuil. Certes, cela est profitable aux deux, pour leur évolution respective et même si d’une autre manière, ils vont rester en lien , la transition est parfois douloureuse et délicate.

Outils pratiques pour vous libérer de ce lien afin d’oser vous affirmer dans la vie

En ce qui vous concerne :

Voici comment accueillir votre jumeau en plusieurs étapes.

Commencez par vous installer confortablement et mettez-vous au point zéro :

  1. Lorsque vous sentez ce mal-être : c’est où dans votre corps ? Cela vous indique l’espace par lequel vous êtes en lien avec votre jumeau
  2. En lien avec cette espace laisser venir l’image d’un fil (quelque soit sa matière) qui part vers l’immensément grand et ouvrez un espace disponible. Votre intention (et non votre volonté) est de rencontrer votre jumeau. Laissez se dessiner une image, une sensation, un son et observez ce que cela crée chez vous.
  3. Respirez ce que cela apporte. Si vous ressentez le manque, donc l’absence, faite comme si vous reculiez dans le temps pour arriver à la présence et oser savourer cette présence.
  4. Dialoguez avec lui : vous pouvez le faire sur le moment ou dans votre quotidien
  5. Quel est son nom ? a-t-il (elle) des choses à vous dire ? Avez-vous des choses à lui dire ou des questions à lui poser ?
  6. Expérimentez le fait de sentir sa présence dans votre quotidien : qu’est-ce que cela change dans votre manière d’être et de vous comporter ? Comment peut-être vous aide-t-il dans vos décisions, dans vos actions ?
  7. Vous libérez du pacte : vous pouvez, lorsque vous serez prêt(e) de faire une sorte de rituel au cours duquel vous dites au-revoir à l’énergie de votre jumeau et le laissez partir. Trouvez vos mots, vos gestes, vos chants, votre lieu même si cela peut se faire dans le métro ou dans votre lit. C’est votre présence à cela qui vous libère du pacte.
  8. Vivre votre vie : même si le pacte n’est plus, vous gardez dans vos cellules la mémoire de la présence de votre jumeau. Cette mémoire est une ressource qui vous aide et vous soutient dans votre réalisation à condition que vous fassiez appel à elle que lorsque c’est nécessaire. Petit à petit, au fil du temps, vous aurez de moins en moins recours à cela.

En ce qui concerne votre enfant :Tomatis dans son livre La nuit utérine.

Peut-être savez-vous que votre enfant a eu un jumeau qui a disparu ; peut-être vous en doutez-vous par son comportement … que faire ?

  1. Exprimez-le lui avec des mots simples : « tu sais, quand tu étais tout petit dans mon ventre, il y avait quelqu’un d’autre avec toi, comme un compagnon. Un jour il a disparu. Peut-être que tu le cherches sur Terre… alors qu’il est dans le monde des étoiles. Il veille sur toi et t’accompagne même s’il aimerait bien que tu lui parles parfois. Tu te souviens de lui ? ».
  2. Autorisez-le à dialoguer avec cette présence. Vous pouvez l’amener à choisir une étoile dans le ciel avec laquelle il est relié, comme si elle le guidait dans la vie.
  3. Laissez la porte ouverte à ses besoins : « si tu as besoin de m’en parler, dis-le moi ». Ainsi vous lui remettez les clés et je vous invite à ne plus aller plus avant dans cette relation s’il ne vous y invite pas : elle touche quelque chose de très intime en lui qui mérite d’être respecté. Cette relation ne vous concerne pas.
  4. Lorsque la relation avec son jumeau est libre, elle évolue avec justesse. Il n’y a donc pas forcément besoin d’un rituel de fin du pacte car cela se fera en son temps.
  5. Si votre enfant est adolescent, vous irez encore moins loin tout en parlant de vous , par exemple : « j’ai quelque chose à te dire qui est important pour moi : quand es-tu disposé à l’entendre ? » « Au tout début de ta gestation, j’attendais des jumeaux et l’un deux est parti, te laissant seul. Je ne sais pas comment tu l’as vécu, si tu es resté en lien avec lui ou pas dans tes rêves ou dans ton imaginaire d’enfant. Si tu as envie que nous en parlions davantage, dis-le moi. Pour moi il était important que je te le dise. Qu’est-ce que ça te fait d’entendre cela ? » Et quoi qu’il vous réponde vous accueillez sans chercher à argumenter sauf s’il vous le demande.
  6. Voyons au travers d’une fable comment aborder cette question, cela pourrait aussi être une manière simple d’aborder le sujet avec votre enfant.

 

Fable – La petite Ourse

Dame Ours contemplait, le cœur bien alangui

Son tout petit ourson jouer dans la clairière

Courant après les lièvres, loin de les menacer

Il espérait en eux trouver un compagnon

Les lièvres affolés partaient loin se cacher

Bien loin d’imaginer une telle intention

Ourson s’en revenait penaud près de sa mère

Qui l’accueillait contre elle, le cœur bien dépourvu

« Ce n’est rien mon bébé, tu es trop gros pour eux

Ils n’imaginent pas que tu es leur ami

Je suis bien seul maman, c’est triste dans mon cœur

J’ai besoin près de moi d’un peu de compagnie

A quoi sert une vie qu’on ne peut partager ? »

Mère Ours toute troublée d’entendre un tel discours

Se prit à raconter d’une voix mal assurée

« Un beau jour Cœur d’Amour, une ourse encore enfant

Au cœur si généreux qu’elle ne supportait plus

De ne pouvoir jouer avec tous à la fois

Décida de sauter bien haut dans les étoiles

Pour être disponible et veiller sur chacun.

On l’appelle Petite Ourse, c’est ta sœur dans le Ciel

Jamais elle ne t’oublie, de jour comme de nuit.

Elle attend simplement que tu te tournes vers elle. »

Enveloppé de nuit et des bras maternels

L’ourson leva les yeux et sourit aux étoiles

L’une d’elle, lui sembla-t-il, devint rouge puis verte

Il s’endormit confiant et rejoignit sa sœur

Et si, tous les enfants avaient dans les étoiles

Un jumeau qui l’espère ou peut-être son double

Pour lui parler du Ciel et de là d’où il vient ?

Morale

Quand il nous manque un être que l’on cherche sur Terre

Il suffit bien souvent d’ouvrir nos yeux du Ciel.

SOURCES :

Vivre avec le syndrome du jumeau perdu – DOCTISSIMO

Syndrome du jumeau disparu, mythe ou réalité ? – VERSION FEMMINA ou

Retrouver son jumeau disparu et s’incarner – MOTS POSITIFS

Un Article du Site « La Voie du Couple » – Astuces et accompagnement pour réussir sa vie de couple !

Catharsis

Catharsis

Catharsis

J’ai réalisé un vieux rêve que j’entretenais depuis plusieurs années !

J’ai eu un véritable coup de cœur pour Carl Gustav Jung il y a des années ; cela fait longtemps que je m’intéresse à la psychologie, très jeune je me suis documenté sur les début de la psychanalyse et l’incontournable apport de Sigmund Freud à cette discipline.
Malgré mon très jeune âge au début, des notions dans les théories freudiennes me dérangeaient toutefois profondément ; quand j’ai découvert les travaux de Jung, je me suis senti tout de suite très proche et totalement en phase avec le monde jungien.

Étant intimement persuadé que tous, nous les êtres humains, sommes profondément enracinés dans un univers onirique qui bien que son influence sur nos comportements soit très sensible et léger, n’en est pas moins déterminant quand à notre comportement sur la totalité de notre expérience qui va de notre naissance à notre mort.

Le climax de l’œuvre de Jung selon moi est son « journal intime » sur lequel il aura planché des années et qui n’avait pas encore été publié à sa mort. Il s’agit de son fameux « Livre rouge » qui, dans son édition de luxe est richement illustré de magnifique œuvres picturales que Jung a lui-même élaborées, on ressent ici toute l’influence sur ce psychiatre de la philosophie orientale !

Je ne peux pas m’empêcher de considérer Jung comme un précurseur qui n’aura pas hésité à voguer à contre-courant des tendances d’alors qui plaçaient les réalités tangibles dans le camps des vérités indiscutables.

Le Livre rouge de Carl Gustav Jung

Cet été, me trouvant dans des circonstances particulières, j’ai décidé de me faire ce cadeau inestimable de m’offrir ce fameux Livre rouge, objet de ma convoitise depuis si longtemps = tout cadeau n’en est que plus précieux à partir du moment où on a placé temps et patience avant de l’obtenir !

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Cette illustration représente Philémon, figure majeure pour Jung. Le texte en grec dans l’illustration se lit ainsi : « Père des prophètes, Philémon digne d’amour ».

Se confronter à notre conscient et à notre inconscient avec l’approche de Jung est une véritable expérience spirituelle, ça dépasse bien sûr largement

l’aspect de la simple analyse psychanalytique, malgré son impact pourtant majeur pour beaucoup de patients qui ont choisi cette thérapie, ici, nous approchons des frontières de la spiritualité, de l’expérimentation du contact divin, cette corde d’argent qui relie l’expérimentation tangible de la matière avec cette atmosphère éthérée que nous nous représentons des mondes dits subtils.

Pourquoi ce titre de « Catharsis » ?

De là à faire allusion à la catharsis il n’y a qu’un pas que je franchis allègrement tant cette expérience de lecture de Mon Livre rouge revêt une démarche quasi-sacrée, cela me fait comprendre la déférence dont peuvent faire preuve les croyants de tous bords, avec ce soupçon de nuance toutefois : à aucun moment je n’accepte ce qui écrit dans ce recueil comme étant une Vérité dont on ne peut remettre la véracité en cause. Je crois que c’est ce qui doit faire la différence entre recevoir ce que l’on peu lire dans quelque livre que ce soit comme étant une vérité incontestable, c’est placer ses convictions dans bien peu de choses que d’agir ainsi …

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Catharsis, le début du chemin ?


Quoi qu’il en soit, cet article, Catharsis, ne représente qu’un introduction à la démarche que j’ai entamée depuis maintenant quelques mois, qui se soldent maintenant par des périodes très troublées, aussi bien au niveau sanitaire, que dans les convictions religieuses des gens qui s’expriment au point d’atteindre des extrêmes qui n’ont plus rien à voir avec les profondes croyances qu’on puisse avoir en une religion et qui se soldent, au besoin, en exterminant sans aucun remord et même avec un esprit de haine qui n’a plus rien à voir avec la spiritualité qui, elle, se préoccupe de fraternité, d’amour et d’harmonie.

Le chemin de l’éveil et de la recherche de sagesse – si jamais elle existe dans ce bas monde – est un parcours vertueux, qui se fait dans le silence de notre âme et sans ostentation, sinon, cela indique que nous sommes envahi par l’orgueil, ce qui est incompatible avec cette quête…
Comme l’a fredonné Monsieur Jean Gabin, c’est tout ce que je sais, mais ça je le sais !

Pour conclure (provisoirement !)  cet article je veux attirer votre attention avec le lien qu’il possède avec celui que j’ai écrit la veille sur ce texte stupéfiant que vous pouvez aller rempli en ligne, totalement gratuit et dont les résultats sont totalement hallucinant pour la plupart des personnes qui se sont donné la peine de le faire ! Je vous engage à lire l’article dans un premier temps et ensuite de vous rendre sur le lien qui se trouve à la fin de cet article si je vous ai convaincu suffisamment que ça en valait vraiment la peine !!! cliquez sur ce lien et vous retrouverez l’article que j’ai consacré à ce test !

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test des 16 Personnalités : c’est totalement incroyable

test des 16 Personnalités : c’est totalement incroyable

test des 16 Personnalités : c’est totalement incroyable

Connaissez-vous ce test à faire en ligne qui s’appelle le « test des 16Personalities » ? 


si vous répondez par la négative je vous engage alors à aller sur ce site et à procéder immédiatement à votre évaluation en répondant au questionnaire en ligne, prévoyez de prendre votre temps car ce n’est pas un banal questionnaire test de magazine de loisirs, c’est au contraire une véritable étude de personnalité très élaborées et remarquablement précise, personnellement j’avoue avoir été totalement bluffé par la justesse des explications immédiatement consultable en ligne dès que vous avez terminé de répondre.


Tout est clair et net, pas le style du site qui vous propose de vous envoyer les résultats par courriel contre échange d’espèces sonnantes et trébuchantes.

« Nos lecteurs disent que le test de 16Personalities est si exact qu’ « il fait un peu peur ! »

Obtenez une description concrète et exacte de qui vous êtes et de la raison pour laquelle vous faites les choses de la façon dont vous les faites. »

Qui a élaboré cette technique ?

J’ai pris le temps de me renseigner sur ce site et sur l’origine de ce test, Wikipédia nous informe que « Le Myers Briggs Type Indicator (MBTI) est un outil d’évaluation psychologique déterminant le type psychologique d’un sujet suivant une méthode proposée en 1962 par Isabel Briggs Myers et Katherine Cook Briggs.

Il sert comme outil dans les identifications des dominantes psychologiques des personnes dans des cadres liés au management ou aux problèmes dans le cadre des relations interpersonnelles. »

Ce qui a éveillé mon attention à propos de ce test, c’est qu’il se fonde sur la théorie élaborée par Carl Gustav Jung, un psychologue, psychiatre et analyste suisse pour qui j’éprouve une grande admiration.

Dans le cadre de la Psychologie analytique, Carl Gustav Jung (1875-1961), a amené des éléments théoriques dont l’existence des « types psychologiques ». Cette invention a été publiée en 1921 en allemand, dans l’ouvrage du même nom.

À partir de son invention de ces types psychologiques, des chercheurs ont développé des approches théoriques, dont la socionique en Union soviétique et le MBTI aux États-Unis, développé par Isabel Briggs Myers (1897-1980) et sa mère, Katherine Cook Briggs. Pendant 40 ans elles ont travaillé sur ces aspects de la théorie pour aboutir à la création du MBTI2.

Sans attendre plus longuement, je vous donne le lien du site sur lequel vous pourrez faire votre test, en répondant au questionnaire et en consultant ensuite les résultats immédiatement après :

TEST DE PERSONNALITÉ « 16PERSONALITIES »

Le site est très bien fait, clair et ergonomique, en haut de page vous avez un sélecteur de langues, en cliquant sur l’icône de la terre il s’ouvre tout un choix de langues très complet. Je vous souhaite un bon exercice et vous allez voir, c’est stupéfiant de justesse.

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Reïki : retour critique sur 12 ans de pratique

Reïki : retour critique sur 12 ans de pratique

Reïki : retour critique sur 12 ans de pratique

Un bilan ponctuel de ma rencontre avec le Reïki

Je me décide à exposer l’expérience que j’ai vécue en rapport avec la découverte de la pratique du Reiki. Cela remonte à quelques années, tout d’abord par hasard, j’ai suivi un atelier de présentation puis des sessions d’initiation jusqu’à la maîtrise de la méthode Reiki Usui, du nom de son fondateur, un moine bouddhiste du nom de Mikao USUI (1865 – 1926) qui a fondé le « Reiki » en 1922.

J’ai eu l’occasion de faire de l’auto pratique, de tester la méthode sur des plantes, des animaux et j’ai également eu de très bons résultats auprès de connaissances proches et amis qui m’ont demandé de l’aide.
J’ai eu une première alerte au tout début de ma pratique, par manque d’expérience sans doute je ne me suis pas écouté, en y repensant maintenant, je me dis que j’avais déjà eu une excellente intuition.
C’est une connaissance qui m’a proposé ma toute première rencontre avec le Reiki au Québec,
il prenait des cours et m’a proposé de l’accompagner après que je lui eus fait part de mon intérêt pour cette technique.

Reiki image mon carre de sable

Le premier contact avec le Reiki Usui


Je découvre donc cette pratique de soin, nous sommes plusieurs participants, nous commençons par une séance de méditation puis des exercices suivent, nous expérimentons alternativement sur nos collègues de stage.
Mon tour vient de faire des passes sur plusieurs personnes, je sens très bien les mouvements d’énergie des participants que je « scanne » jusqu’à arriver à la personne qui m’a suggéré de venir et là, gros malaise !
Une sensation très désagréable s’empare de moi au point que j’arrête immédiatement le « traitement », trop malsain…
C’est une personne qui semblait très bien,
nous avions sympathisé avec lui et son épouse ma femme et moi, des gens fort agréables, mais depuis cette séance, une sensation de méfiance ne m ‘avait plus quitté.
Quelques mois plus tard, un scandale est intervenu, il a été confronté à des accusations d’inceste aggravée sur une de ses filles, il a dû quitter la maison familiale avec stricte interdiction de communiquer avec ses filles.

J’ai perdu ma naïveté ce jour-là de penser que les pratiquants de Reïki sont des personnes hors de tous soupçons.
J’ai malgré tout continué dans la voie de l’apprentissage de cette technique, en y découvrant de très bons résultats et des expériences sympas et gratifiantes.
J’ai développé et peaufiné une sensibilité intuitive et même quelques facultés stupéfiantes telle que réussir à voir clairement une entité = l’expérience la plus amusante s’est déroulée chez un couple d’amis dans les Laurentides où nous étions deux sur quatre à la voir …

Mes premiers soupçons à propos du Reïki

Mes réserves ont commencées à apparaître quand je me suis questionné sur le protocole et sur le mode de fonctionnement du Reiki ; en gros, on sait de manière approximative comment ça marche (ou pas), ce qui m’a inquiété a été le fait que le praticien fait appel à une énergie un peu vague qu’il canalise et redirige vers le patient, pour son bien…
Ce point est venu me travailler jusqu’à finir par tarauder mon esprit : comment utiliser une « force » qui a démontré des résultats, c’est vrai, sans toutefois connaître son origine ?

Ensuite, des expériences avec certaines personnes m’ont interpellées, normalement une séance de Reïki sert à nettoyer un corps de ses pépins physiques et psychiques, certaines étaient transparentes mais d’autres m’apparaissaient très lourdes, chargées, encombrées…

J’ai fini par me consacrer uniquement sur des soins physiques, telle qu’une cheville foulée par exemple sans avoir recours à une énergie « hiérarchique » que je canaliserais ensuite. Je me suis senti nettement mieux après ce virage, ce qui m’a convaincu que jouer avec des énergies subtiles et inconnues est hautement risqué autant pour une personne traitée que pour un praticien.

L’autre point qui me fait beaucoup me questionner est la stagnation quasi générale que je constate chez les praticiens Reïki alors que si cette technique était réellement aussi géniale, elle devrait contribuer à l’excellence de ces personnes, au minimum et mieux encore à l’évolution spirituelle de ceux qui l’utilisent régulièrement, or c’est souvent le contraire que je ressens, la plupart d’entre eux exhalent des vibrations souvent basses , des problèmes physiques généralement permanents ou difficiles à résorber et sont souvent engagés dans des situations conflictuelles avec leur entourage, tout un cocktail pas très incitatif à devenir praticien Reiki.
J’ai assisté récemment à un colloque et mes contacts m’ont fait prendre conscience d’une chose (la fréquence de ce que j’ai pu observer dépasse
la statistique, ce qui me fait penser que le problème est sérieux et fréquent) la plupart des praticiens Reiki semblent « aspergés » d’une couche étrange qui ne semble pas leur appartenir en propre, c’était mon ressenti.
J’ai donc fait des recherches et soudain je suis tombé sur des témoignages qui coïncidaient totalement avec ce que j’éprouvais : un intervenant à même identifié ce phénomène d’une bien meilleure manière que moi en le qualifiant d’occupation tel un goa’uld (célèbre dans la série Stargate-SG1) qui est très parlant comme exemple !

Le dernier clou dans le cercueil du Reiki

J’ai eu la chance de connaître une des personnes les plus spirituelle qu’il m’ait été donné de rencontrer dans ma vie, elle se reconnaîtra aisément, elle m’a fait découvrir un monde extraordinaire, au moyen de séance de relaxation et d’exploration – d’introspection au point que j’ai vécu des moments de prise de conscience fabuleux, elle m’a suggéré depuis longtemps que j’avais une voie à explorer dans ce domaine, mais l’ampleur de la tâche surhumaine (c’est le mot juste!) m’a jusqu’à présent foutu une trouille immense tellement cela me suggère de changer totalement de vie !
Et puis, me voilà à un moment précis de cette vie où de grands changements personnels se préparent, le contexte extérieur est également en pleine modification, des bouleversements sont même annoncés en l’espace de quelques mois, sans doute moins d’un an, le temps s’accélère de plus en plus frénétiquement, les hyper-sensibles le ressentent maintenant distinctement.
Ma décision s’est imposée tout naturellement, je ne souhaite vraiment plus faire appel à des techniques qui s’appuient sur des bases inconnues, qui jouent avec des énergies non identifiées d’autant plus que notre connaissance de tous ces mécanismes est très sommaire ; c’est jouer avec le feu, mes recherches m’ont même amené à des hypothèses que des entités « inamicales » pouvaient fort bien emprunter les canaux que nous leur ouvrons spontanément, sans intention de mal faire pour la plupart, mais souvent par ignorance totale ou partielle du phénomène.
Je considère que c’est une question de responsabilité raisonnable que d’abandonner cette pratique, pour ma part, l’enjeu n’en vaut vraiment pas la chandelle

Ou le cierge

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Parler avec amour

Parler avec amour

Parler avec amour

Quand parler avec amour fait en sorte que nos mots restructurent littéralement notre cerveau

 

Les mots que nous choisissons d’utiliser peuvent littéralement changer la configuration de notre cerveau !

 

Le Dr Andrew Newberg, neuroscientifique à l’Université Thomas Jefferson, et Mark Robert Waldman, un expert en communication, ont collaboré à l’ouvrage «Les mots peuvent changer votre cerveau» (malheureusement à ma connaissance pas traduit en français – j’ai donc mis un lien sur l’ouvrage originel en langue anglaise «Words Can Change Your Brain » plus bas dans le texte). Ils y écrivent: «un seul mot a le pouvoir d’influencer l’expression des gènes qui régulent le stress physique et émotionnel

 

Peace and Love !

Lorsque nous utilisons des mots remplis de positivité, comme «amour» et «paix», nous pouvons modifier le fonctionnement de notre cerveau en augmentant le raisonnement cognitif et en renforçant quelques zones spécifiques de nos lobes frontaux. Utiliser des mots positifs plus souvent que des mots négatifs peut relancer les centres de motivation du cerveau et les engager à l’action.

À l’opposé du spectre, lorsque nous utilisons des mots négatifs, nous empêchons la production de certaines substances neurochimiques salutaires qui contribuent à la gestion du stress. Chacun de nous est initialement programmé pour se préoccuper de sa survie avant tout ; c’est ainsi que notre cerveau primitif nous protège des situations dangereuses pour notre intégrité.

 

Les mots façonnent litéralement notre structure cérébrale !

 

Ainsi, lorsque nous nous autorisons à employer des mots et des concepts négatifs dans nos pensées (et nos intentions!), nous augmentons l’activité dans le centre de la peur de notre cerveau (l’amygdale), et provoquons des hormones productrices de stress qui se propagent dans notre système. Ces hormones et neurotransmetteurs interrompent les processus logiques et de raisonnement dans le cerveau et inhibent la fonctionnalité normale de notre corps.
Newberg et Waldman écrivent: «Les mots de colère et d’angoisse génèrent des messages d’alarme à travers le cerveau et ils ferment partiellement les centres de logique et de raisonnement situés dans nos lobes frontaux.»

Un extrait de leur livre nous explique comment l’utilisation des * bons * mots – d’un vocabulaire mieux adapté – peut littéralement changer notre réalité :

«En sélectionnant un mot positif et optimiste dans notre esprit, nous stimulons l’activité du lobe frontal. Cette zone comprend des centres de langues spécifiques qui se connectent directement au cortex moteur responsable de notre passage à l’action et comme nos recherches l’ont démontré, plus nous nous concentrons sur des mots positifs, plus nous contribuons facilement à affecter favorablement d’autres zones du cerveau.

Les fonctions du lobe pariétal commencent à changer, ce qui change notre perception de nous-même et des personnes avec lesquelles nous interagissons. Une vision positive de nous-même nous incitera à voir le bien chez les autres, tandis qu’une image de soi négative nous entraînera plutôt vers le doute et la suspicion. Au fil du temps, la structure de notre thalamus changera également en réponse miroir à nos paroles, pensées et sentiments conscients et nous pensons donc (les auteurs !) que les changements thalamiques affectent la façon dont nous percevons la réalité. »

Démontré par des études de psychologie

Une étude réalisée par Positive Psychology approfondit davantage les effets de l’utilisation de mots positifs. Un groupe d’adultes âgés de 35 à 54 ans a été chargé chaque soir d’écrire trois choses qui se sont bien passées pour eux ce jour-là, y compris de justifier pour quelle raison ils avaient cette opinion. Les trois mois suivants ont montré que leur degré de bonheur continuait d’augmenter et que leurs sentiments de dépression continuaient de décliner. En nous concentrant et en réfléchissant sur des idées et des émotions positives, nous pouvons améliorer notre bien-être général et augmenter la fonctionnalité de notre cerveau.

Sur quels mots choisissez-vous de concentrer votre énergie ? Si vous remarquez que votre vie n’est pas suffisamment pourvue de marge de progression quant à l’emploi de mots plus positifs, essayez d’emporter un journal avec vous pour savoir à quelle fréquence vous utilisez des mots négatifs. Vous pourriez être surpris de découvrir à quel point la solution pour accéder à une vie meilleure est simple : changez vos mots, changez votre vie.

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Les mots peuvent changer votre cerveau

Words Can Change Your Brain: 12 Conversation Strategies to Build Trust, Resolve Conflict, and Increase Intimacy (Anglais) Broché – 26 juin 2014

Une traduction de l’article paru sur le site Everyday Health, le 12 août 2013

« Words Can Change Your Brain » By Therese Borchard For Sanity Break August 12, 2013

https://www.everydayhealth.com/columns/therese-borchard-sanity-break/420/

Autres sources :

Sharp Brains :

https://sharpbrains.com/blog/2012/07/09/how-do-words-such-as-yes-and-no-change-our-brains-and-lives/

Autres sources (suite) : ATTENTION AUCUN DE CES SITES N’EST SÉCURISÉ HTTPS, je n’inclus donc pas les liens à cliquer directement

Le lien de Spirit science . Net =

« Speak With Love: How Your Words Literally Restructure Your Brain »

Les sites internet des deux auteurs en .com

andrewnewberg et markrobertwaldman