grandes femmes qui ont fait les grands hommes

par | J Fév, 2016 | INDIVIDU, La femme libre, Les Arts et Cultures, Mon Carré De Sable | 0 commentaires

Un exemple de grandes femmes ayant contribué à la célébrité d’un homme :

ANNA GRIGORIEVNA SNITKINA ET

FYODOR DOSTOÏEVSKI

Anna Dostoïevskaïa est décédée le 9 juin 1918. Elle est née à Saint-Pétersbourg, deuxième enfant d'une famille de petits fonctionnaires : la famille compte trois enfants (Maria, Anna et Ivan). Le père, Grigori Ivanovitch Snitkine (1799-1866), d'origine ukrainienne, est féru de littérature et de théâtre, grand lecteur de Dostoïevski. La mère est finlandaise1. L'enfance de la jeune Anna est bercée par les récits de Dostoïevski.

Une des grandes femmes : Anna Dostoïevskaïa

4 mois après avoir fait sa connaissance, une de ces grandes femmes épouse Dostoïevski : elle a 21 ans et l’écrivain 45.

Anna Dostoïevskya, une des plus grandes femmes, sur le secret d’un mariage heureux : Sagesse d’un des Amours le plus véritable et le plus beau de l’Histoire !

SOURCES : 
D’après traduction d’unecritique du livre « Reminiscences » de Anna Dostoïevskya (édition en russe ou en anglais exclusivement) par Maria Popova – pour ceux qui lisent l’anglais je vous conseille ce site référé par une amie lointaine mais proche… Je me comprend :

 

Le dernier roman de Dostoïevski, Les Frères Karamazov, lui est dédié. Après la mort de Dostoïevski en février 1881, Anna rassemble ses manuscrits, lettres, photos et documents divers, et publie à partir de 1906 plusieurs ouvrages relatifs à la vie de l'écrivain, sources importantes pour ses biographes.

Anna est la grande femme de Dostoïevski, elle lui a permis d’être le génie reconnu qu’il allait devenir,

La biographie de Dostoïevsky Par son épouse Anna, une des plus  grandes femmes
La descente aux enfers contient souvent le ferment du renouveau !
 Nous sommes à l’été de l’année 1865, juste après qu’il aitcommencé à écrire « Crime et châtiment », le plus grand romancier de tous les temps, Fédor Dostoïevsky, a touché le fond.
Récemment veuf et tourmenté par l’épilepsie, Fiodor Dostoïevsky (11 Novembre 1821 – 28 Janvier1881) se trouve dans une situation impossible : à la mort de son frère, Dostoïevsky, déjà profondément endetté en raison de sa dépendance au jeu, est contraint de prendre sur lui les dettes du magazine de son frère.
Les créanciers viennent rapidement frapper à sa porte, menaçant de l’envoyer en prison pour les dettes qui s’accumulent. Une décennie plus tôt, il avait échappé de justesse à la peine de mort pour la lecture de livres interdits, sa peine ayant été commuée en exil il a été condamné à quatre ans dans un camp de travail sibérien – de sorte que la perspective d’être emprisonné à nouveau était insupportablement terrifiante pour lui.

Dans un accès de désespoir, il acceptde vendre les droits de ses œuvres à son éditeur, un homme nommé Fyodor Stellowsky, pour le montant de sa dette – 3.000 roubles, soit environ 50.000 en argent actuel.
Dans le cadre de l’accord, il doit également produire un nouveau roman d’au moins 175 pages au plus tard le 13 Novembre de l’année suivante.

S’il n’a pas réussi à respecter le délai, il perdra alors tous ses droits à son travail, qui seraient transféré à l’éditeur Stellowsky à perpétuité…

Après la signature du contrat, mais trop tard, Dostoïevsky apprend que son éditeur est un exploiteur rusés qui a déjà souvent profité des artistes et qui a négocié la reprise de dette du frère de Dostoïevsky pour une somme dérisoire, réalisant ainsi une excellente affaire sur le dos de son écrivain !

Enragé, mais sans recours, Dostoïevsky doit remplir son contrat et doit écrire « Le Joueur » pour honorer le roman qu’il avait promis à Stellowsky.

Le temps passe et le mois d’octobre arrive, Dostoïevsky qui n’a pas encore débuté son manuscrit est contraint d’écrire un roman entier en quatre semaines.

Ses amis, soucieux lui proposent une idée, une sorte d’écriture collégiale auquel il n’aurait qu’à finaliser le produit final. Mais, Dostoïevsky profondément idéaliste même jusqu’au fond du puits, a refusé tout net cette option, trouvant déshonorant pour lui d’avoir recours à cette supercherie.
Il n’avait qu’une chose à faire – écrire le roman, et
l‘écrire vite !
Le 15 Octobre, il a
ppelleun ami qui enseignla sténographie, en ayant le dessein d’embaucher sa meilleure élève. Sans hésitation, le professeur lui recommande une jeune femme nommée Anna Grigorievna Snitkina. (la sténographie, à cette époque, était une innovation radicale et sa maîtrise était si techniquement exigeantque sur les 150 étudiants qui étaient inscrits dans le programme d’Anna, 125 avaient abandonné en un mois.)
Anna
est une jeune femme de vingt ans qui avait pris la sténographie peu après ses études secondaires dans l’espoir de devenir financièrement indépendantpar son propre travail, accepte ravie, l’offre de Dostoïevsky qui était l’auteur favori de son père tout récemment décédé. Elle avait grandi en lisant ses œuvres !La pensée de non seulement le rencontrer, mais aussi de l’aider dans son travail lremplit de joie.    

La première rencontre de Fedor et de sa grande femme, Anna

Le lendemain, elle se présenta à la maison de Dostoïevsky à 11H30 précises, comme Dostoïevski l’avait demandé. 

Fédor et Anna se sont mariés le 15 Février, 1867, et sont restés unis jusqu'à la mort de Dostoïevsky quatorze ans plus tard. Bien qu'ils aient rencontrés des difficultés financières et d'énorme tragédies, y compris la mort de deux de leurs enfants, ils sz soutenus obstinément l'un et l'autre avec amour et détermination. Anna a pris sur elle pour soutenir la famille et même éviter les dettes en faisant de son mari le premier auteur auto-édité en Russie.

Une des plus grandes femmes ayant amené son époux aux sommets

Anna et Fédor, un amour fou, intenses et respectueux pendant 14 années

 

Distrait et irritable, il lui a posé une série de questions sur sa formation. Elle répond à chacund’entre elles avec sérieux et presque sèchement, de manière à apparaître au maximum pragmatique, ce qui eut pour effet d’adoucir l’écrivain au cours de leur conversation. En début d’après midi, ils avaient commencé leur collaboration sur le roman, lui dictant, elle écrivant en sténographie puis transcrivant à la maison la nuit une fois rentrée chez elle.

Les vingt-cinq jours qui ont suivis, Anna est venue à la maison de Dostoïevsky à midi et est resté jusqu’à seize heures. Leurs sessions de travail ont été ponctuées par de courtes pauses pour le thé et la conversation. 

GOLUBCHIK 

Chaque jour, il est devenu plus doux et plus chaleureux envers elle, et a fini par la surnommer « Golubchik » – « . Petite colombe » (et non pas grande femme) en russe car il chérissait son sérieux. L’extrême sympathie d’Anna, sa bonne humeur et son esprit vif eurent même pour résultat d’effacer ses plus sombres humeurs et firent envoler ses pensées obsessionnelles.
Elle a été touchée par sa gentillesse, son respect pour elle, comment il a accordé un véritable intérêt à ses opinions et sa manière de la traiter comme une collaboratrice plutôt qu‘une employée.
Mais aucun d’eux n’était encore conscientque cette affectioprofonde et l’appréciation mutuelle qu’ils éprouvaient a été la semence d’un amour qui allait devenir légendaire.
Dans son livre, Anna raconte un échange prémonitoire qui a eu lieu au cours de l’une de leurs pauses thé:
« Chaque jour, il bavardait avec moi comme un ami, il tentait de mettre à nu une scène malheureuse de son passé et me confiait ses peines et ses démons. Fiodor Mikhaïlovitch m’a souvent parlé de ses difficultés financières avec une grande sincérité. Ses histoires, cependant, étaient si douloureuses qu’en une occasion, je ne pus pas me retenir de demander:
–Pourquoi, Fiodor Mikhaïlovitch, ne vous rappelez-vous que les malheurs ?
Racontez-moi plutôt quand et comment vous étiez heureux ! « 

Heureux ? Mais je nai jamais encore eu de bonheur. Du moins, pas le genre de bonheur auquel j‘ai toujours rêvé… Je suis toujours à sa recherche !« .

Ni l’un ni l’autre ne savaient qu’ils étaient en présence de ce bonheur à ce moment-là justement. En fait, Anna, dans son impulsion caractéristique pour dissiper les ténèbres en les baignant de sa lumière, lui a conseillé de se remarier et de chercher le bonheur dans la famille. Elle poursuit ainsi le récit de leur conversation :

— Donc, vous pensez que je devrais me marier à nouveau? » A-t-il demandé.

« Que quelqu’un pourrait consentir à devenir ma femme ? Quel genre de femme selon vous devrai-je choisir, intelligentou gentille ?[ndt : apparemment, les deux options n’étaient pas disponibles ensemble…]
Une femme intelligente, bien sûr. »
— Eh bien, non … si je dois
avoir le choix, je dois choisir une gentille, de sorte qu’elle va prendre pitié de moi et m’aimer sincèrement. »
Alors que nous étions sur le thème du mariage, il m’a demandé pourquoi je n‘étais pas mariée,Je lui ai répondu que j’avais deux prétendants, deux personnes splendides, que je les respectais beaucoup, mais ne les aimais pas et que ce que je voulais absolument c’était de me marier par amour !
Pour l’amour i
ntense car le respect seul ne suffit pas pour faire un mariage heureux! » »

Leur dernière dictée a eu lieu le 10 Novembre,
soit deux jours avant la date butoir. Avec l’aide inestimable d’Anna, Dostoïevsky avait accompli le miracle – il avait terminé un roman entier en vingt-six jours. Il lui serra la main, lui a payé les 50 roubles qu’ils avaient convenus – environ 1200 € en argent d’aujourd’hui – et la remercichaleureusement.
Le lendemain, c
‘était le quarante-cinquième anniversaire de Dostoïevsky, il a décidé de marquer la double occasion en invitant Anna au restaurant. Elle navait jamais dîné dans un restaurant et était si nerveuse qu’elle a failli ne pas y aller – mais s’est raisonnée et y est allée quand même, leur collaboration aurait dû s’arrêter là.
Mais, l’exaltation de l’accomplissement dissipée, il réalisa soudain qu’à la suite de cette collaboration étroite avec Anna, elle était devenue la lumière de sa vie et il a alors été dévasté par la perspective de ne plus jamais la revoir !
Anna aussi se trouva les jours suivants maussade et sans joie, sa légèreté légendaire soudain alourdipar la sensation d’une absence aiguë, un vide immense l’entourait tout à coup et la pénétrait, un manque incompréhensible s’est alors emparé d’eux, les laissant disloqués, sans réaction et sans espoir…
Elle raconte:
« Je m’étais tellement habituéà cette joyeuse course au travail, aux réunions heureuses et aux conversations animées avec Dostoïevsky, qu’elles étaient devenues une nécessité pour moi, un manque terrible s’est alors emparé de moi, créant un désespoir encore plus violent du fait qu’il était totalement inattendu, il est tombé sur moi, sur mon esprit et dans mon âme…

Toutes mes anciennes activités avaient perdu leur intérêt et semblaient vides et futiles. »

Du côté de Dostoïevsky, il lui fut rapidement impossible d’imaginer sa vie sans elle, alors, ne pouvant plus tenir, dans un sursaut désespéré, il demanda à Anna si elle voulait bien l’aider à terminer Crime et châtiment ! Je relève ici cette nostalgie tellement typique de la culture slave qui pousse le drame à un point tel qu’il en devient pathétique et magnifique, j’avoue avoir beaucoup d’admiration pour cette capacité à descendre dans les tréfonds du désespoir pour en ressortir tel un phœnix, purifié, glorieux et magnifique !

Le 20 Novembre, exactement dix jours après la fin de leur premier projet, il l’invita à sa maison et la salua dans un état anormalement excité.

Il marchait dans son cabinet, où il s’est mis en devoir de parler de mariage de la manière la plus merveilleuse et la plus touchante qui soit.

Dostoïevski a dit à Anna qu’il aimerait avoir son opinion sur un nouveau roman qu’il écrivait. Mais, dès qu’il a commencé à lui dire l’intrigue, il est apparu que son personnage principal était une version à peine voilée de lui-même, ou plutôt de lui comme il se voit lui-même :« un artiste troublé, du même âge que lui, qui a survécu à une enfance dure avec beaucoup de pertes et de frustrations, en proie à une maladie incurable, un homme sombre, soupçonneux ; doué d’un cœur tendre … mais incapable d’exprimer ses sentiments ! Un artiste bourré de talents divers, sans aucun doute, mais qui dissimule en lui un immense regret qui le tourmente sans cesse : pas une seule fois dans sa vie il n’a réussi à incarner ses idées dans les formes qu’il rêvait. Mais, le plus grand tourment de tous ceux qui étreignent mon personnage principal est qu’il est tombé éperdument amoureux d’une jeune femme – un personnage nommé Anya, (éloigné de la réalité par une seule lettre!)- dont il se sentait indigne; une jeune fille douce, gracieuse, sage, et vivace qu’il craignait qu’il n’ait rien de suffisant à lui offrir. »

Alors seulement, il
apparu à Anna que Dostoïevsky était tombé amoureux d’elle et qu’il était si terrifié par un rejet de sa part, qu’il avait choisi de présenter sa réalité derrière le couvert de la fiction de son récit romanesque…
— Est-il plausible, lui a demandé Dostoïevski, que l’héroïne du roman présumé puisse tomber en amour avec son héros imparfait? Elle raconte les mots qu’a utilisé le plus grand écrivain psychologique de la littérature :
— Quel attrait pourrait avoir un homme malade, endetté et âgé pour une jeune femme vivante et exubérante ? Cet amour ne serait-il pas un terrible sacrifice pour elle que lui infligerait le personnage principal ?
Et après, ne risquerait-elle pas de regretter amèrement d’avoir choisi d’unir sa vie à lui ?
Et en général, serait-il possible pour une jeune femme avec une telle différence d’âge et de personnalité, de tomber en amour avec mon artiste ?
Ne serait-ce pas une intrigue psychologiquement fausse ?
Voilà les points sur lesquels je voulais vous demander votre opinion, Anna Grigorievna « .


Mais pourquoi serait-ce impossible? Car si, comme vous le dites, votre Anya n’est pas seulement un flirt vide et que son cœur n’est pas insensible, pourquoi ne pourrait-elle pas tomber en amour avec votre artiste? Qu‘importes’il est pauvre et malade. Où est le sacrifice de sa part, de toute façon?
Si elle l’aime vraiment, elle va être heureuse aussi et elle n‘aura jamais à regretter quoi que ce soit! »
J’ai parlé avec un peu de chaleur. Fiodor Mikhaïlovitch m’a regardé dans l’excitation. « Et vous croyez sérieusement qu’elle pourrait l’aimer véritablement, et pour le reste de sa vie? »
Il se tut
alors, comme hésitant…
— Mettez-vous à sa place pour un moment, dit-il d’une voix tremblante. Imaginez que cet artiste soit moi, que j’aie avoué mon amour pour vous et vous ai demandé d’être ma femme. Dites-moi, que me répondriez-vous ? « 
Son visage a révélé un tel embarras profond, un tel tourment intérieur, que je comprenais enfin que ce ne fut pas une conversation sur la littérature; que si je lui avais donné une réponse évasive je porterais un coup fatal à son estime de soi et à sa fierté. Je regardais alors son visage troublé, qui était devenue si cher à mon âme, et lui dit, « je répondrais que je vous aime aussi et que je vous aimerai toute ma vie. »
Je ne vais pas transcrire les paroles pleines de tendresse et d’amour quil me dit alors qui sont sacrées pour moi. J’ai été stupéfaite, presque écrasépar l’immensité de mon bonheur et pendant longtemps je ne pouvais pas le croire.

F
édor et Anna se sont mariés le 15 Février, 1867, et sont restés unis jusqu’à la mort de Dostoïevsky quatorze ans plus tard. Bien qu’ils aient rencontrés des difficultés financières et d’énorme tragédies, y compris la mort de deux de leurs enfants, ils se sont soutenus obstinément l’un et l’autre avec amour et détermination. Anna a pris sur elle pour soutenir la famille et même éviter les detteen faisant de son mari le premier auteur auto-édité en Russie.
Elle a étudié méticuleusement le marché du livre, recherché les vendeurs , échafaudé des plans de distribution, et a transformé le nom de Dostoïevsky en une « marque nationale ».
Aujourd’hui, beaucoup la considèrent comme étant la première vraie femme d’affaires en Russie mais, sous son sens des affaires inouï, était caché le même cœur énorme et tendre rempli d’amour pour un homme brillant avec tous ses démons.
Dans la postface de son
autobiographie,Anna réfléchit sur le secret de leur mariage profond et vrai – un des plus grands amours dans l’histoire de la culture créative.Tout au long de ma vie, j’ai toujours ressenti cette sorte de mystère pour moi que mon bon mari, non seulement m’a aimée et respectée comme beaucoup de maris aiment et respectent leurs femmes, mais, lui en plus, il m’a presque adorée comme si j’étais un être spécial créé juste pour lui.Et cela est vrai non seulement au début de notre mariage, mais à travers toutes les années de vie qui lui sont restées après notre rencontre, jusqu’à sa mort. Considérant qu’en réalité, je n’étais pas identifiée pour mes bons regards, ne possède un talent spécial, ni aucune culture intellectuelle particulière, je n’avais rien de plus q’un enseignement secondaire, et pourtant, malgré tout cela je gagnais le profond respect et presque l’adoration d’un homme si créatif et si brillant.
Fiodor Mikhaïlovitch, qui reflète tant la solitude et les problèmes les plus profonds du cœur humain, a sans doute énormément apprécié ma non-ingérence dans sa vie spirituelle et intellectuelle.

 

Il me disait parfois :
–Vous êtes la seule femme qui m’a jamais entendu (Voilà ce qu’il appréciait avant tout.) Il me regardait comme un rocher sur lequel il sentait qu’il pouvait se pencher, ou plutôt se reposer. «Et il ne vous laissera pas tomber, et il donne la chaleur. »
C’est, je crois, ce qui explique la confiance étonnante que mon mari avait en moi. Ce sont ces attitudes mutuelles qui nous ont permis de vivre les quatorze années de notre vie conjugale dans le plus grand bonheur possible pour des êtres humains sur la terre.
 
Fiodor Mikhaïlovitch Dostoïevski est mort à Saint-Pétersbourg le 28 janvier 1881. Considéré comme l’un des plus grands romanciers russes, il a influencé de nombreux écrivains et philosophes. Anna Dostoïevskaïa est décédée le 9 juin 1918.

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