Je voudrais consacrer le thème de mon prochain article sur un sujet qui m’est particulièrement cher et que je considère primordial (allez savoir pourquoi?) .
Je fais allusion à l’impact des sociétés humaines dans notre environnement et plus précisément sur leurs comportements et sur les effets induits par ces pratiques. Le premier constat qui saute immédiatement aux yeux réside dans les différences significatives en fonction des époques de nos civilisations mais surtout des coutumes, pratiques et habitudes de fonctionnement à travers les âges.
Si notre empreinte écologique n’a pas évolué significativement jusqu’à l’époque de la révolution industrielle c’est pour la bonne raison que ses répercutions étaient facilement compensées par la capacité d’auto-régulation de la planète. C’est maintenant loin d’être le cas au point où le débat ne se situe plus, sauf rares exceptions – pour prendre un exemple d’actualité – sur la réalité du réchauffement climatique subséquent à l’activité industrielle humaine qui semble avérée, mais plutôt d’évaluer à quel niveau son impact et sa responsabilité sont impliqués dans ce processus de réchauffement.
Nous avons ici un débat typique d’argumentations qui n’est absolument pas nouveau dans l’histoire humaine, c’en est même navrant de récurrence quand on sait que de nombreuses sociétés avant la notre se sont cassé le nez sur des problèmes similaires et où les différentes parties en contradiction n’ont jamais trouvé un terrain d’entente et sont allées jusqu’à l’effondrement !
parfois la vie nous joue des tours en semant des embûches sur notre parcours, mais celles-ci peuvent devenir de véritables diamants dans nos vie et nous faire travailler nos capacités de résilience !
Sachons la remercier pour ces leçons de maturité – ou plutôt de maturation …
Il existe de nombreux témoignages de personnes qui relatent avoir expérimenté l’apparition de nouvelles dimensions de la conscience à la suite d’une perte tragique à un certain moment dans leur vie.
Certains ont perdu tous leurs biens, leurs enfants ou leur conjoint, leur position sociale, la réputation ou leurs capacités physiques à la suite d’une maladie invalidante ou d’un accident.
Dans certains cas, il a pu s’agir d’une catastrophe soudaine qui nous a frappé en pleine gloire, en pleine ascension ou parfois à cause du déclenchement d’une guerre injuste venant briser tous les rêves de jeunesse insouciants échafaudés dans le bonheur de l’espoir des lendemains qui chantent ou encore lors d’une remise en question totale et bouleversante du déroulement heureux, harmonieux dont on pensait que cela allait continuer durablement comme un destin tracé d’avance.
Sans plus d’autres considérations philosophiques, je vous soumets ici l’interprétation d’un sage s’il en est concernant le processus de l’interruption volontaire de grossesse…
Dans le débat, Le Point du 10 novembre 1989, Une doctoresse ignore si Le fœtus engendré par deux êtres humains est un être humain; cela me laisse perplexe et j’ai honte pour elle devant cette Grande ignorance.
Il n’est pas question ici de débattre le pour ou le contre au sujet de l’avortement. Par contre nous pouvons, par un exemple, celui d’un véhicule automobile, apporter des éléments de réflexions. On a une clé qu’on introduit dans la serrure pour établir un contact : dés que le contact est fait, il se déclenche une foule d’événements : le courant passe à travers les fils provenant de la batterie aux pôles Négatif et positif (femme et homme) vers le démarreur (le sexe) qui met en mouvement une foule de dispositifs se reliant les uns aux autres, (engrenages, carburateur, essence, mélanges. moteur) enclenchant l’allumage du moteur : cela est ensuite relié à la Boite de vitesses (plusieurs vitesses avant et une vitesse arrière) et avec une direction (notre cerveau) et des freins pour l’immobiliser et sécuriser dans certaines circonstances ou en cas de besoin. Quand tout fonctionne normalement, avec le débrayage, le moteur est séparé de la boite de vitesse pour ne pas briser le mécanisme et vous roulez paisiblement sur la route donnant confiance au mécanisme.
Avez-vous songé un instant ce qui se passe quand pour immobiliser le véhicule devant un obstacle le chauffeur embraye sur la marche arrière alors qu’il est embrayé avant ?
Le cerveau humain est un organe extraordinaire ; bien sûr, les recherches scientifiques ont permis de comprendre énormément de choses à son sujet, surtout depuis les récentes avancées technologiques de ces 30 dernières années.
Mais, ces recherches ont abouti à des découvertes qui confirment de plus en plus hors de tous doutes que les interactions physico-chimiques qui procèdent à la base de son fonctionnement sont extrêmement complexes et diversifiées ce qui fait que pour un point particulier qui semble élucidé, il en apparaît au moins un autre – sinon plusieurs – qui constituent immédiatement de nouveaux défis et de nouvelles explorations en perspective.
Le domaine des neurosciences en est l’exemple parfait, entre parenthèse, je vois un parallèle intéressant se dessiner entre la relation des neurosciences qui se rapproche de celui de la psychologie : on arrive à expliquer de plus en plus en plus le comportement humain par la génétique, l’endocrinologie et les neurosciences de même que les récentes investigations et hypothèses avancées en physique quantiques se rapprochent bigrement du domaine de la spiritualité et des comportements réservés jusqu’à présent au domaine de la conscience et de la mystique.
Ainsi donc, le modus operandi de l’expérimentation scientifique fait une introduction remarquée dans les Sciences humaines, ce qui en soi n’est pas une mauvaise nouvelle surtout si c’est pour apporter de la rigueur.
C’est ainsi que des comportements qui semblaient jusqu’à présent être imprévisibles ou difficilement quantifiables se sont trouvés étudiés, disséqués et, miracle : on a pu établir des classifications dans de nombreuses situations.
C’est ainsi que sont apparues différentes théories de types psychologiques servant à l’étude comportementale.
De telles études sont importantes en criminologie : bien pratique pour débusquer les Hannibal Lecter de ce monde, le Jack l’éventreur du siècle passé ou pour un employeur de trouver la perle rare, l’employé qui sera idéal pour combler le poste manquant au sein de son entreprise.
Au plan individuel, ces avancées ont permis de mieux comprendre nos émotions et donc de mieux prévenir des affections mentales qui sont souvent entraînées par un choc psychologique. La perte d’un être cher est la première chose qui nous vient à l’esprit, le deuil est en effet une conséquence qui survient de façon systématique quand un décès survient dans notre entourage.
L’euthanasie est un thème qui divise profondément les sociétés humaines.
Comme tout ce qui touche la spécificité de la nature, le débat s’intensifie de plus en plus quand on s’approche des échéances inéluctables qui sont la naissance et la mort des êtres humains.
On en est encore loin en ce qui concerner les animaux sauf dans le cas d’abattages généralisés telles que les épidémies de grippes aviaires par exemple, ou l’on emploie le verbe euthanasier alors qu’il est bien entendu que l’euthanasie exige le consentement éclairé et express de la victimes, ce qui est loin bien sur d’être le cas ici. Mais nous sommes tous d’accord qu’il s’agit là d’une gigantesque hypocrisie.
L’euthanasie ne pouvant donc pas s’appliquer à nos amis les animaux, mon article concerne les humains – qui toutefois sont parfois assimilés à du bétail – mais c’est encore une aparté qui dérive du sujet.
Le « Dossier euthanasie » est énorme et s’il existe une ligne directrice qui se dessine dans l’application des dispositions légales et des Lois adoptées dans les parlements des différents gouvernements de l’ensemble des pays occidentaux, il n’en reste pas moins que les positions des différents intervenants, et des peuples, sont très tranchées, ici plus qu’ailleurs la décision doit se prendre au cas par cas, il faut néanmoins fixer les « cadres légaux d’application » ce qui n’est déjà pas une mince affaire !
L’affaire de Rosie en Nouvelle-Zélande
Dans une affaire récente en Nouvelle-Zélande, un homme qui a aidé sa femme Rosie à mourir, a été libéré après de longues et pénibles délibérations par le tribunal…
Laissez-moi vous raconter cette histoire fantastique qui mets en scène une rhapsodie orchestrée par la force de la nature, le génie de l’homme et la dose de hasard suffisante pour faire en sorte que la magie opère une magnifique partition dont la nature à le secret.
L’histoire fabuleuse de Jean Pain
Biographie
De nationalité française, Jean PAIN est né en suisse le 12/12/1928. Sa curiosité et son ingéniosité lui firent même créer dans les années 60 un produit de nettoyage extraordinaire. (suite…)
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