Le paradoxe de la liberté par Erich Fromm

par | J Avr, 2018 | Mon Carré De Sable, INDIVIDU, Les Arts et Cultures | 1 commentaire

Le paradoxe de la liberté, cette ambivalence entre notre désir d’autonomie et notre recherche de sécurité.

Le paradoxe de la liberté : le grand philosophe, humaniste et psychologue Erich Fromm évoque la solitude morale et une anxiété souvent présente vis à vis de notre recherche sauvage d’autonomie en contradiction avec la tentation de se sentir protégé dans une cage dorée…

« L’homme moderne est toujours anxieux et tenté d’abandonner sa liberté aux dictateurs de toutes sortes, ou de la perdre en se transformant en un petit rouage dans la machine. »

Le paradoxe de la liberté : le grand philosophe humaniste et psychologue Erich Fromm sur la solitude morale et notre plus grand antidote à la terreur

D’après une traduction personnelle d’un excellent article de Maria Popova, sur son excellent site « brainpickings.com »

Le paradoxe de la liberté : Une lutte pour vivre libre

Le paradoxe de la liberté Nous, les Nègres Poche – 13 mars 2008 de James BALDWIN (Auteur), Martin Luther KING (Auteur), Malcolm X (Auteur)

Le paradoxe de la liberté
Nous, les Nègres Poche – 13 mars 2008
de James BALDWIN (Auteur), Martin Luther KING (Auteur), Malcolm X (Auteur)

«La liberté n’est pas quelque chose que l’on peut donner», écrivait James Baldwin en contemplant comment nous nous emprisonnons, «la liberté est quelque chose que les gens prennent et les gens sont aussi libres qu’ils veulent être.» Il est difficile de ne pas s’indigner devant cette affirmation qui stipule que les esclaves auraient choisi leurs conditions – nous aimons tous nous voir comme des agents autonomes de notre propre destinée qui ne renoncerions jamais volontairement à notre liberté. Et pourtant, nous exerçons notre  libre arbitre sous l’influence d’une myriade d’idéologies sociales, de considérations économiques, politiques et psychologiques qui atténuent les paramètres de notre liberté.

Le paradoxe de la liberté : notre Libre-arbitre pas si libre que ça !

Le neuroscientifique Christoph Koch l’a parfaitement exprimé dans son traité sur le libre arbitre: « La liberté est toujours une question de degré plutôt qu’un bien absolu que nous possédons ou ne possédons pas« .

Ce qui détermine notre degré de liberté, c’est ce que le grand philosophe et psychologue humaniste allemand Erich Fromm (23 mars 1900 – 18 mars 1980) explore dans son premier ouvrage majeur, le précieux trésor de 1941, « Escape from Freedom » (bibliothèque publique) – un livre que Fromm estime être «un diagnostic plutôt qu’un pronostic», écrit lors de la plus sombre descente de l’humanité dans la folie de la Seconde Guerre mondiale, exposant les idées fondamentales sur lesquelles Fromm s’appuierait plus tard pour considérer une société saine.

Le paradoxe de la liberté : Une liberté à géométrie variable

Paradoxe de la liberté Escape from Freedom (Anglais) Broché – 15 septembre 1994 de Erich Fromm (Auteur)

Paradoxe de la liberté
Escape from Freedom (Anglais) Broché – 15 septembre 1994
de Erich Fromm (Auteur)

Au cœur de la thèse de Fromm, il y a la notion que la liberté est une force diamagnétique (ndt : bipolaire ?) – par un pôle, elle nous incite à y échapper, ce que Fromm appelle la liberté positive ; par l’autre, elle nous amène à nous plonger en elle, ce qu’il nomme manifestation de liberté négative. Alors que la civilisation moderne a libéré les êtres humains de diverses manières pratiques et nous a fourni diverses libertés positives, ses répercussions psychologiques ont donné lieu à une épidémie de liberté négative. Fromm écrit:

«  L’homme moderne, libéré des liens de la société pré-individualiste, qui lui donnait simultanément la sécurité et le limitait, n’a pas acquis la liberté dans le sens positif de la réalisation de son moi individuel ; c’est-à-dire l’expression de ses potentialités intellectuelles, émotionnelles et sensuelles. La liberté, bien qu’elle lui ait apporté l’indépendance et la rationalité, l’a isolé et, de ce fait, l’a rendu anxieux et impuissant. Cet isolement est insupportable et les alternatives auxquelles il est confronté sont soit d’échapper au poids de sa liberté dans de nouvelles dépendances et de s’y soumettre, soit d’avancer vers la pleine réalisation de la liberté positive basée sur l’unicité et l’individualité de l’homme.  »

Le paradoxe de la liberté, une tentation aussi forte d’être oppressé lui fait opposition chez l’Homme !

Paradoxe de la liberté : Les Origines du totalitarisme, suivi de Eichmann à Jérusalem Broché – 30 mai 2002

Paradoxe de la liberté :
Les Origines du totalitarisme, suivi de Eichmann à Jérusalem Broché – 30 mai 2002

Une décennie avant, Hannah Arendt dans son traité classique sur les origines du totalitarisme, a examiné comment les tyrans utilisent l’isolement et l’aliénation comme une arme d’oppression ;  Fromm écrit:

« La compréhension des raisons de la fuite totalitaire de la liberté est une prémisse pour toute action qui vise à la victoire sur les forces totalitaires. »

Dans une préface écrite un quart de siècle après la publication initiale du livre, Fromm ajoute un sentiment de résonance glaciale aujourd’hui encore, un demi-siècle plus tard :

«  L’homme moderne est encore anxieux et tenté d’abandonner sa liberté aux dictateurs de toutes sortes, ou de la perdre en se transformant en un petit rouage dans la machine, bien nourri et bien vêtu, mais pas un homme libre mais un automate.  »

Le paradoxe de la liberté : un besoin primordial vital, animal, mais aussi un concept intellectuel…

En écrivant à une époque où l’homme contenait aussi chaque femme, Fromm considère le lit de notre reddition:

« La difficulté cruciale à laquelle nous sommes confrontés réside dans le fait que le développement des capacités intellectuelles de l’homme a largement dépassé le développement de ses émotions. Le cerveau de l’homme vit au XXe siècle; le cœur de la plupart des hommes vit encore à l’âge de pierre. La majorité des hommes n’ont pas encore acquis la maturité pour être indépendants, pour être rationnels, pour être objectifs. Ils ont  besoin de mythes et d’idoles pour supporter le fait que l’homme est tout seul, qu’il n’y a pas d’autorité qui donne un sens à la vie, sauf l’homme lui-même. L’homme réprime les passions irrationnelles de la destructivité, de la haine, de l’envie, de la vengeance; il adore le pouvoir, l’argent, l’État souverain, la nation; pendant qu’il rend service aux enseignements des grands chefs spirituels de la race humaine, ceux du Bouddha, des prophètes, de Socrate, de Jésus, de Mahomet – il a transformé ces enseignements en une jungle de superstition et de culte des idoles.  »

Selon Fromm, la seule façon dont l’humanité peut se sauver elle-même est de remédier à cette déconnexion entre notre «surmaturité intellectuelle et technique et le retard émotionnel». Il considère la tâche qui nous attend:

« Autant que je puisse voir, il n’y a qu’une seule réponse: la conscience croissante des faits les plus essentiels de notre existence sociale, une conscience suffisante pour nous empêcher de commettre des folies irréparables et pour élever dans une faible mesure notre capacité d’objectivité et de raison. Nous ne pouvons espérer vaincre la plupart des folies du cœur et leur influence préjudiciable sur notre imagination et notre pensée en une génération ; peut-être que cela prendra un millier d’années avant que l’homme se soit arraché à une histoire pré-humaine de centaines de milliers d’années. À ce moment crucial, cependant, un minimum de perspicacité accrue – l’objectivité – peut faire la différence entre la vie et la mort pour la race humaine. Pour cette raison, le développement d’une psychologie sociale scientifique et dynamique est d’une importance vitale. Le progrès de la psychologie sociale est nécessaire pour contrecarrer les dangers qui résultent des progrès de la physique et de la médecine.  »

Le paradoxe de la liberté : une lutte entre les émotions et l’affect et la rationalité objective

En gardant à l’esprit la question morale insupportable de l’Holocauste – ce qui a rendu des millions de personnes coopératives et complices du meurtre de millions d’autres personnes – Fromm fait remarquer que beaucoup de gens ont choisi d’y répondre avec des rationalisations pratiques: «seulement la folie de quelques individus» ; ou que des nations particulières, comme les Allemands et les Italiens, étaient particulièrement susceptibles à la manipulation de masse en raison d’un manque de formation suffisamment longue en démocratie ; ou qu’Hitler et ses pions ont gagné le pouvoir sur les masses en utilisant seulement la ruse et la force brute. Celles-ci, admet Fromm, sont des illusions dangereuses qui nous empêchent d’affronter le cœur du problème et nous empêchent ainsi de prévenir de futures poussées d’inhumanité. Il écrit dans l’avant-propos de l’édition de 1965:

« Dans les années qui se sont écoulées depuis [l’Holocauste], l’erreur de ces arguments est devenue évidente. Nous avons été obligés de reconnaître que des millions d’Allemands étaient aussi désireux d’abandonner leur liberté que leurs pères devaient se battre pour cela ; qu’au lieu de vouloir la liberté, ils cherchaient des moyens d’y échapper ; que d’autres millions étaient indifférents et ne croyaient pas que la défense de la liberté valait la peine de se battre et de mourir. Nous reconnaissons également que la crise de la démocratie n’est pas un problème typiquement italien ou allemand, mais un problème auquel tous les États modernes sont confrontés. Peu importe les symboles choisis par les ennemis de la liberté humaine: la liberté n’est pas moins menacée si elle est attaquée au nom de l’antifascisme que dans celui du fascisme pur et simple.  »

Le paradoxe de la liberté : son prix élevé  contre le désir réconfortant de soumission fait hésiter

En accord avec l’affirmation de Baldwin selon laquelle «il n’est pas nécessaire d’avoir une énorme machine militaire pour être libre quand il est plus simple de dormir, quand il est plus simple d’être apathique, quand il est plus simple de ne pas vouloir être libre », Fromm examine la nature paradoxale de la liberté:

« N’y a-t-il pas aussi, peut-être, outre un désir inné de liberté, un désir instinctif de soumission ? S’il n’y en a pas, comment pouvons-nous rendre compte de l’attrait que la soumission à un leader a pour tant de gens aujourd’hui ? La soumission est-elle toujours à une autorité ouverte, ou y a-t-il aussi soumission aux autorités intériorisées, telles que le devoir ou la conscience, aux compulsions internes ou aux autorités anonymes comme l’opinion publique ? Y a-t-il une satisfaction cachée à se soumettre et quelle est son essence ? Qu’est-ce qui crée chez les hommes une soif insatiable de pouvoir ? Est-ce la force de leur énergie vitale – ou est-ce une faiblesse fondamentale et une incapacité à expérimenter la vie spontanément et avec amour ? Quelles sont les conditions psychologiques qui font la force de ces efforts ? Quelles sont les conditions sociales sur lesquelles se fondent ces conditions psychologiques ?  »

La réponse, explique Fromm, réside dans la compréhension de «l’interaction des facteurs psychologiques, économiques et idéologiques dans le processus social». La même année, le jeune Alan Watts dit à ses parents :

«Il y a un univers à l’intérieur qui contient Hitler. et toutes les formes de folie humaine aussi bien que l’amour et la beauté », Fromm, contre l’insistance de Freud sur une nature humaine statique écrit:

« Les inclinations les plus belles et les plus laides de l’homme ne font pas partie d’une nature humaine fixe et biologiquement donnée, mais résultent du processus social qui crée l’homme. En d’autres termes, la société n’a pas seulement une fonction de suppression – bien qu’elle ait aussi une fonction de suppression – mais elle a aussi une fonction créative. La nature de l’homme, ses passions et ses angoisses sont un produit culturel ; En fait, l’homme lui-même est la création et l’accomplissement le plus important de l’effort humain continu, que nous appelons l’histoire.

[…]

Mais l’homme n’est pas seulement fait par l’histoire – l’histoire est faite par l’homme. La solution de cette contradiction apparente constitue le champ de la psychologie sociale. Sa tâche est de montrer non seulement comment les passions, les désirs, les angoisses changent et se développent à la suite du processus social, mais aussi comment les énergies de l’homme façonnées en formes spécifiques deviennent à leur tour des forces productives, façonnant le processus social … Dans la nature humaine fixe, nous ne pouvons pas considérer la nature humaine comme infiniment malléable et capable de s’adapter à toutes sortes de conditions sans développer un dynamisme psychologique propre. La nature humaine, bien qu’étant le produit de l’évolution historique, a certains mécanismes et lois inhérents, pour découvrir quelle est la tâche de la psychologie.  »

Le paradoxe de la liberté : son côté négatif nous coupe des autres, nous plongeant dans l’individualisme

La racine de la liberté négative, observe Fromm, est notre sentiment croissant d’aliénation, qui laisse dans l’oubli notre désir élémentaire de connexion au monde au-delà de nous-mêmes. Présageant de l’épidémie moderne de la solitude collective, il écrit:

« Se sentir complètement seul et isolé conduit à la désintégration mentale tout comme la famine physique mène à la mort. Cette relation avec les autres n’est pas identique au contact physique. Un individu peut être seul physiquement pendant de nombreuses années et pourtant il peut être lié à des idées, des valeurs ou au moins à des schémas sociaux qui lui donnent un sentiment de communion et d’appartenance. D’un autre côté, il peut vivre parmi les gens et cependant être vaincu par un sentiment total d’isolement, dont le résultat, s’il dépasse une certaine limite, est l’état de folie que représentent les troubles schizophréniques. Ce manque de relation avec les valeurs, symboles, modèles, nous pouvons appeler la solitude morale et déclarer que la solitude morale est aussi intolérable que la solitude physique, ou plutôt que la solitude physique ne devient insupportable que si elle implique aussi la solitude morale … Religion et nationalisme, aussi comme toute coutume et toute croyance, si absurde et si dégradante, si elle ne fait que rapprocher l’individu des autres, sont des refuges de ce que l’homme craint le plus: l’isolement.  »

Le paradoxe de la liberté,  les antidotes : l’Amour et le Travail !

Fromm considère nos deux grands antidotes à l’aliénation de la solitude morale – l’amour et le travail:

« Il n’y a qu’une solution possible et productive pour la relation de l’homme individualisé avec le monde : sa solidarité active avec tous les hommes et son activité spontanée, amour et travail, qui l’unissent de nouveau au monde, non par des liens primaires, mais comme un individu libre et indépendant. »

Cependant, si les conditions économiques, sociales et politiques dont dépend tout le processus d’individuation humaine n’offrent pas une base pour la réalisation de l’individualité dans le sens que nous venons de mentionner, alors qu’en même temps les gens ont perdu les liens qui leur donnaient la sécurité , ce décalage fait de la liberté un fardeau insupportable. Il devient alors identique au doute, avec une sorte de vie qui manque de sens et de direction. De puissantes tendances surgissent pour échapper à ce genre de liberté dans la soumission ou dans une sorte de relation à l’homme et au monde qui promet un soulagement de l’incertitude, même si cela prive l’individu de sa liberté.

Le paradoxe de la liberté LES AMANTS DE LA LIBERTE. : L'aventure de Jean-Paul Sartre et Simone de Beauvoir dans le siècle Broché – 10 novembre 1999

Le paradoxe de la liberté
LES AMANTS DE LA LIBERTE. : L’aventure de Jean-Paul Sartre et Simone de Beauvoir dans le siècle Broché – 10 novembre 1999

Comment contrer les forces qui mènent à la liberté négative et amplifier celles qui font la liberté positive est ce que Fromm étudie dans le reste de l’évasion de la liberté. Complétez-le avec Simone de Beauvoir sur ce que signifie vraiment la liberté et la mathématicienne Lillian Lieber, dont Einstein était un ardent admirateur, sur notre idée fausse fondamentale de la liberté, puis revisitez Fromm sur l’art de vivre, l’art d’aimer, comment transcender le commun la paresse de l’optimisme et du pessimisme, les six règles de l’écoute et de la compréhension désintéressée, et la clé d’une société saine.

D’autres ouvrages d’Erich Fromm :

Le paradoxe de la liberté : Le langage oublié : Introduction à la compréhension des rêves, des contes et des mythes Poche – 24 août 2016 de Erich Fromm (Auteur), Simone Fabre (Traduction)

Le paradoxe de la liberté :
Le langage oublié : Introduction à la compréhension des rêves, des contes et des mythes Poche – 24 août 2016
de Erich Fromm (Auteur), Simone Fabre (Traduction)

Le paradoxe e la liberté : Le Coeur de l'homme Poche – 31 mars 2002 de Erich Fromm (Auteur)

Le paradoxe e la liberté :
Le Coeur de l’homme Poche – 31 mars 2002
de Erich Fromm (Auteur)

Le paradoxe de la liberté : L'Art d'aimer Poche – 17 novembre 2016 de Erich FROMM (Auteur), Jean-Louis LAROCHE (Traduction), Françoise TCHENG (Traduction)

Le paradoxe de la liberté :
L’Art d’aimer Poche – 17 novembre 2016
de Erich FROMM (Auteur), Jean-Louis LAROCHE (Traduction), Françoise TCHENG (Traduction)

1 Commentaire

  1. Jean-Yves Dolveck

    Bonjour,

    En lisant ces lignes témoignant d’une recherche très fouillée, je peux dire que personnellement je n’échappe pas en ce qui me concerne au paradoxe de la liberté. Et finalement est-ce que je me considère comme vraiment libre en moi-même ? La présence d’obstacles et d’obligations me rassure en peu : Il me faut un peu « gagner » ma liberté pour la « mériter ». Servie trop « luxueusement »sur un plateau d’argent, elle a tendance à me donner le syndrôme de l’imposteur. Est-ce une question d’éducation ? … Mon éducation à laquelle pourtant je tiens ! Je ne pense cependant pas être fondamentalement « coincé ». Heureux celui qui n’a pas de complexe vis à vis de sa liberté. Dans toute l’histoire, des individus -hommes ou femmes – se sont battus parfois à perdre leur vie pour que nous ayons certaines libertés considérées aujourd’hui comme fondamentales. Et finalement n’avons nous pas tort de nous refuser ces libertés ? Car c’est de les prendre qui vont les faire durer. La plus insidieuse des dictatures serait à mon sens de grignoter petit à petit des libertés que les gens n’avaient peu à peu plus l’habitude de les prendre … pour mieux régner bien sûr ! … la liberté d’expression (… !), la liberté de penser (?), la liberté de se taire (…), la liberté de changer, la liberté de vie personnelle, la liberté du secret (… le secret bancaire ? … envolé !) et de la discrétion … Qui dira non ? …

    Pour faire un peu d’humour que l’on me pardonnera sûrement : la liberté d’aller aux toilettes quand on a envie. C’est un grand sujet dans notre vie de dératés et ce n’est pas toujours gagné pour tout le monde (cf. par exemple certaines conditions de travail entre autres que d’ailleurs personnellement heureusement pour moi je ne vis pas) … Une évidence aussi simple pour un enfant.

    Jean-Yves

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