Faire l’amour de manière divine par Barry Long
Je vous partage un extrait du livre de Barry long : « faire l’amour de manière divine » excellent livre qui m’a fait changer totalement ma façon de « penser » la relation conjugale…
La lecture de ce livre m’a fait prendre conscience que notre égo préside toutes nos actions si nous n’y prenons pas garde de rester des Êtres sensibles et généreux…
Faire l’amour de manière divine, Barry Long:
Le livre offre une rencontre avec l’amour vrai qui change la vie; c’est une voie qui permet de maintenir l’amour constamment frais et vivant, au travers d’une manière honnête, pure et consciente de faire l’amour.
Un ouvrage révolutionnaire, absolument unique
D’après un article du Blog de ANAHATA
« Le malheur fondamental de la femme, son mécontentement perpétuel, vient de ce que l’homme ne peut plus l’atteindre physiquement. Ses excès émotionnels, ses accès de dépression, ses frustrations accompagnées de crises de larmes, même sa tension prémenstruelle et les conditions qui la conduisent à l’hystérectomie et à d’autres problèmes utérins, sont dus à l’incapacité de l’homme de collecter ou de libérer ses énergies féminines fondamentales les plus fines en faisant l’amour. Ces énergies divines, d’une beauté extraordinaire, sont intenses et raffinées. Lorsqu’elles sont laissées inexploitées chez la femme, comme elles le sont aujourd’hui, elles dégénèrent en perturbations psychiques ou émotionnelles, et elles se cristallisent finalement en anormalités physiques. La matrice donne naissance à toutes choses.
Le malheur fondamental de l’homme sa perpétuelle agitation, est dû au fait qu’en oubliant comment faire l’amour, il a abandonné son autorité divine naturelle et perdu le contrôle sexuel de lui –même. Sa dégénérescence émotionnelle ou psychique se manifeste par l’obsession sexuelle. Tous les hommes sans exception, sont obsédés sexuellement. Cela signifie des fantasmes sexuels compulsifs, la pratique chronique de la masturbation (même en vivant avec une partenaire), le refoulement sexuel menant à la colère et à la violence, ainsi que sont les symptômes universels que sont la course à la richesse et le fait de se perdre dans le travail. Le développement des affaires et la course à la richesse compensent le fait d’être un amant incompétent et couvrent (chez les deux sexes) l’incapacité ou la peur d’aimer.
Parce qu’il a négligé la femme – l’homme souffre d’éjaculation précoce, de culpabilités, d’angoisse, de doute sur lui-même, d’impuissance, d’atrophie sexuelle, qu’il masque sous la forme d’un désintérêt sexuel, d’une abstinence sexuel due au refoulement de sa peur de l’échec, de bravade sexuelle et de manque de sagesse véritable. Voilà ce qu’il inflige à la femme, aggravant ainsi son mécontentement fondamental à elle, et sa propre agitation à lui. »
Pour intégrer entièrement le principe masculin, un homme doit assimiler dans son corps les divines énergies féminines que la femme peut lui délivrer seulement en faisant l’amour physiquement de façon juste. Mais l’homme doit être suffisamment homme. Il doit être capable d’aimer suffisamment la femme ; cela signifie l’aimer divinement et d’une manière désintéressée durant l’acte d’amour véritable. Il doit être capable d’absorber et d’exprimer suffisamment d’amour avec son propre corps pour atteindre la partie la plus élevée de la femme, et d’aimer suffisamment pour extraire les énergies divines de son centre à elle, le plus profond. Etre capable d’aimer de cette façon représente l’autorité que l’homme a perdue – sa seule vrai autorité sur la femme.
L’acte d’amour consiste à mettre deux corps ensemble sans but, sans objectif, juste deux corps l’un contre l’autre, l’homme doit se déconditionner de ses projets de faire jouir la femme, il doit simplement lâcher son mental pour recueillir les énergies divines de la femme qu’elle a à l’intérieur d’elle.
De l’amour charnel à l’amour divin
L’homme a échoué à servir l’amour et à servir physiquement la femme, laquelle est l’amour personnifié. Le prix à payer pour l’homme est l’émotionnalité tyrannique de la femme. Qu’il l’aime ou essaie d’aimer, elle lui assénera un jour un choc, l’étourdira, le ravagera subitement en se révélant telle une diablesse, le démon féminin vivant de l’émotion.
La diablesse se montre quand il est attaché et qu’il ne peut s’en aller. Un homme qui n’a pas encore expérimenté la haine de cette diablesse n’a pas encore expérimenté l’amour. Une femme qui ne s’est pas encore vue diablesse n’ pas encore contacté son amour.
Pour l’homme le démon de l’émotion chez la femme est l’enfer sur terre. C’est la partie d’elle qu’il ne peut pas diriger ou comprendre. Le démon de son propre échec à aimer prend vie pour le mépriser, abuser de lui et le tourmenter. Il en est terrifié. Il bluffe et poursuit sa route en fanfaronnant. Mais finalement parce qu’il s’est laissé vieillir au sein de cette relation et qu’il a abandonné pour avoir un peu la paix, la diablesse va le vaincre et le forcer à déposer les derniers vestiges de sa virilité et de son autorité.
Ils vieillissent alors ensemble dans un sentiment de sécurité, mais à demi – morts, car se sera en s’appuyant l’un sur l’autre dans le monde horrible du compromis. »
Tout ce salmigondi indigeste pour nous rappeler une fois de plus que l’homme est responsable du malheur de la femme.
Une petite piqure de rappel ne fait jamais de mal.