EN CHINE ON PROJETTE DES HOLOGRAMMES DANS LA FUMÉE DES USINES

EN CHINE ON PROJETTE DES HOLOGRAMMES DANS LA FUMÉE DES USINES

Initiative intéressante et créative pour dénoncer un fléau qui frappe la Chine de plein fouet : la pollution galopante de son atmosphère, principalement en raison des émanations échappées des usines.

Cette habitude de nombreux Chinois qui consultent l’application « Air Quality China »n’est pas qu’une nouvelle lubie originale et exotique, mais nécessaire à la survie des citadins chinois, quand on sait que des centaines de milliers de morts* sont, chaque année, imputées à la pollution en Chine. Ironie du calendrier, c’est pendant la COP 21 que Pékin a dû lancer, pour la première fois, une « alerte rouge » à la pollution atmosphérique.
Quediriez-vous d’un monde où la conversation avec la voisine depalier ne porterait plus sur le temps qu’il fait, mais sur le tauxde particules polluantes dans l’air prévu pour la journée ?
Voir le vidéo intéressant  « Breathe again » en fin de cet articles 

Idée originale et décalée pour un problème gravissime révélant une tragédie

LES INTESTINS : NOTRE 2ième CERVEAU

LES INTESTINS : NOTRE 2ième CERVEAU

Notre ventre, abri du système nerveux entérique, contient 200 millions de neurones, qui, selon des recherches récentes, joueraient un rôle sur l’ensemble de notre corps, en interaction avec le cerveau. 

« Les scientifiques se sont aperçus qu’il existait quantité de neurones dans notre ventre, à peu près autant que dans le cortex d’un chat ou d’un chien. Ils s’occupent, entre autres, de notre digestion. S’il n’avait disposé que d’un seul cerveau, celui “du haut”, l’être humain aurait été absorbé en permanence par ce processus très complexe et n’aurait pas pu développer d’autres activités intellectuelles. En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/culture/article/2014/01/31/le-ventre-notre-deuxieme-cerveau_4354317_3246.html#ksSUiZVz7jYRMPZ5.99
 
Il y a quelques années, les scientifiques ont découvert en nous l’existence d’un deuxième cerveau. Notre ventre contient en effet deux cents millions de neurones qui veillent à notre digestion et échangent des informations avec notre « tête ». Les chercheurs commencent à peine à décrypter cette conversation secrète. Ils se sont aperçus par exemple que notre cerveau entérique, celui du ventre, produisait 95 % de la sérotonine, un neurotransmetteur qui participe à la gestion de nos émotions. On savait que ce que l’on ressentait pouvait agir sur notre système digestif. On découvre que l’inverse est vrai aussi : notre deuxième cerveau joue avec nos émotions
UN VILLAGE ÉCOLOGIQUE ET COMMUNAUTAIRE : Quatre couples construisent leur propre village

UN VILLAGE ÉCOLOGIQUE ET COMMUNAUTAIRE : Quatre couples construisent leur propre village

Qu’est devenue Tippi la petite sauvage ???

Qu’est devenue Tippi la petite sauvage ???

vous souvenez vous d’elle et de ce magnifique film réalisé sur sa vie en Afrique au milieu des animaux sauvages dans les années 90 ? 

SOUVENIR – Dans les années 1990, Tippi Degré avait accédé à la notoriété grâce à son enfance hors du commun. Petite fille élevée dans la savane africaine par ses parents français, elle jouait avec les lions et les éléphants. Où en est-elle aujourd’hui ?

J’ai mis ce film magnifique en lien en bas de page, des images superbes et puis, cette fille à un magnétisme extraordinaire !!

VIVRE DANGEREUSEMENT – D’après « Effondrement » de Jared Diamond

VIVRE DANGEREUSEMENT – D’après « Effondrement » de Jared Diamond

Je voudrais consacrer le thème de mon prochain article sur un sujet qui m’est particulièrement cher et que je considère primordial (allez savoir pourquoi?) .

Jared Diamond est né à Boston le 10 septembre 1937. Diplômé de l'université Harvard en 1958, il obtient sa thèse en 1961 à l'université de Cambridge en physiologie. Il est nommé professeur de physiologie à l'UCLA Medical School en 1966. Il commence alors une seconde carrière de biologiste en étudiant l'écologie et l'évolution des oiseaux de Nouvelle-Guinée. Puis il s'intéresse à l'histoire de l'environnement et devient professeur de géographie à l'UCLA, poste qu'il occupe toujours actuellement.
On se prend à imaginer ce que put être l’état d’esprit du Pascuan qui abattit le dernier palmier au moment précis où il l’abattait.

 

Je fais allusion à l’impact des sociétés humaines dans notre environnement et plus précisément sur leurs comportements et sur les effets induits par ces pratiques. Le premier constat qui saute immédiatement aux yeux réside dans les différences significatives en fonction des époques de nos civilisations mais surtout des coutumes, pratiques et habitudes de fonctionnement à travers les âges.
 
Si notre empreinte écologique n’a pas évolué significativement jusqu’à l’époque de la révolution industrielle c’est pour la bonne raison que ses répercutions étaient facilement compensées par la capacité d’auto-régulation de la planète. C’est maintenant loin d’être le cas au point où le débat ne se situe plus, sauf rares exceptions – pour prendre un exemple d’actualité – sur la réalité du réchauffement climatique subséquent à l’activité industrielle humaine qui semble avérée, mais plutôt d’évaluer à quel niveau son impact et sa responsabilité sont impliqués dans ce processus de réchauffement.
Nous avons ici un débat typique d’argumentations qui n’est absolument pas nouveau dans l’histoire humaine, c’en est même navrant de récurrence quand on sait que de nombreuses sociétés avant la notre se sont cassé le nez sur des problèmes similaires et où les différentes parties en contradiction n’ont jamais trouvé un terrain d’entente et sont allées jusqu’à l’effondrement !