Goethe : La psychologie des couleurs et des émotions

Goethe : La psychologie des couleurs et des émotions

Les couleurs déterminent en grande partie la manière dont nous expérimentons le monde.

Tant culturellement que biologiquement. Si les avis diffèrent quant à la manière dont les couleurs influencent nos vies, on s’accorde néanmoins à dire qu’elles ont une grande importance et nous influencent plus que nous le pensons.

J’ai découvert que le grand poète que fut Goethe que j’ai admiré à travers deux œuvres fondamentales, « Les souffrances du jeunes Werther qui a été sa première production et par ce que tout le monde considère comme son œuvre magistrale « Faust » et je suis resté quelques années sur ces impressions.

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Les Souffrances du jeune Werther de Goethe (Analyse de l’œuvre): Comprendre la littérature avec le Petit Littéraire Broché – 23 novembre 2017

 

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Faust de Goethe (fiche de lecture et analyse complète de l’oeuvre) Broché – 22 octobre 2019
de Goethe (Auteur)

Quelle ne fut pas ma surprise en découvrant il y a une vingtaine d’années à travers l’étude des travaux de Rudolf Steiner, qui fut un spécialiste de l’ensemble de l’œuvre de Goethe, que ce génie avait également été un observateur très attentif des mondes minéral et végétal, qu’il avait fait un traité phénoménal sur la métamorphose des plantes qui m’avait estomaqué, mais aussi et surtout son fameux « Traité des couleurs » qui m’a fait entrevoir l’optique et notre manière de voir le monde qui nous entoure d’un regard totalement nouveau et stupéfiant.

L’optique devenait à travers le regard de Goethe un univers vivant, sensible et spirituel, tout l’inverse de la présentation qui nous a été peinte par Newton un processus froid et désincarné de diffraction de la lumière.

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Reïki : retour critique sur 12 ans de pratique

Reïki : retour critique sur 12 ans de pratique

Reïki : retour critique sur 12 ans de pratique

Un bilan ponctuel de ma rencontre avec le Reïki

Je me décide à exposer l’expérience que j’ai vécue en rapport avec la découverte de la pratique du Reiki. Cela remonte à quelques années, tout d’abord par hasard, j’ai suivi un atelier de présentation puis des sessions d’initiation jusqu’à la maîtrise de la méthode Reiki Usui, du nom de son fondateur, un moine bouddhiste du nom de Mikao USUI (1865 – 1926) qui a fondé le « Reiki » en 1922.

J’ai eu l’occasion de faire de l’auto pratique, de tester la méthode sur des plantes, des animaux et j’ai également eu de très bons résultats auprès de connaissances proches et amis qui m’ont demandé de l’aide.
J’ai eu une première alerte au tout début de ma pratique, par manque d’expérience sans doute je ne me suis pas écouté, en y repensant maintenant, je me dis que j’avais déjà eu une excellente intuition.
C’est une connaissance qui m’a proposé ma toute première rencontre avec le Reiki au Québec,
il prenait des cours et m’a proposé de l’accompagner après que je lui eus fait part de mon intérêt pour cette technique.

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Le premier contact avec le Reiki Usui


Je découvre donc cette pratique de soin, nous sommes plusieurs participants, nous commençons par une séance de méditation puis des exercices suivent, nous expérimentons alternativement sur nos collègues de stage.
Mon tour vient de faire des passes sur plusieurs personnes, je sens très bien les mouvements d’énergie des participants que je « scanne » jusqu’à arriver à la personne qui m’a suggéré de venir et là, gros malaise !
Une sensation très désagréable s’empare de moi au point que j’arrête immédiatement le « traitement », trop malsain…
C’est une personne qui semblait très bien,
nous avions sympathisé avec lui et son épouse ma femme et moi, des gens fort agréables, mais depuis cette séance, une sensation de méfiance ne m ‘avait plus quitté.
Quelques mois plus tard, un scandale est intervenu, il a été confronté à des accusations d’inceste aggravée sur une de ses filles, il a dû quitter la maison familiale avec stricte interdiction de communiquer avec ses filles.

J’ai perdu ma naïveté ce jour-là de penser que les pratiquants de Reïki sont des personnes hors de tous soupçons.
J’ai malgré tout continué dans la voie de l’apprentissage de cette technique, en y découvrant de très bons résultats et des expériences sympas et gratifiantes.
J’ai développé et peaufiné une sensibilité intuitive et même quelques facultés stupéfiantes telle que réussir à voir clairement une entité = l’expérience la plus amusante s’est déroulée chez un couple d’amis dans les Laurentides où nous étions deux sur quatre à la voir …

Mes premiers soupçons à propos du Reïki

Mes réserves ont commencées à apparaître quand je me suis questionné sur le protocole et sur le mode de fonctionnement du Reiki ; en gros, on sait de manière approximative comment ça marche (ou pas), ce qui m’a inquiété a été le fait que le praticien fait appel à une énergie un peu vague qu’il canalise et redirige vers le patient, pour son bien…
Ce point est venu me travailler jusqu’à finir par tarauder mon esprit : comment utiliser une « force » qui a démontré des résultats, c’est vrai, sans toutefois connaître son origine ?

Ensuite, des expériences avec certaines personnes m’ont interpellées, normalement une séance de Reïki sert à nettoyer un corps de ses pépins physiques et psychiques, certaines étaient transparentes mais d’autres m’apparaissaient très lourdes, chargées, encombrées…

J’ai fini par me consacrer uniquement sur des soins physiques, telle qu’une cheville foulée par exemple sans avoir recours à une énergie « hiérarchique » que je canaliserais ensuite. Je me suis senti nettement mieux après ce virage, ce qui m’a convaincu que jouer avec des énergies subtiles et inconnues est hautement risqué autant pour une personne traitée que pour un praticien.

L’autre point qui me fait beaucoup me questionner est la stagnation quasi générale que je constate chez les praticiens Reïki alors que si cette technique était réellement aussi géniale, elle devrait contribuer à l’excellence de ces personnes, au minimum et mieux encore à l’évolution spirituelle de ceux qui l’utilisent régulièrement, or c’est souvent le contraire que je ressens, la plupart d’entre eux exhalent des vibrations souvent basses , des problèmes physiques généralement permanents ou difficiles à résorber et sont souvent engagés dans des situations conflictuelles avec leur entourage, tout un cocktail pas très incitatif à devenir praticien Reiki.
J’ai assisté récemment à un colloque et mes contacts m’ont fait prendre conscience d’une chose (la fréquence de ce que j’ai pu observer dépasse
la statistique, ce qui me fait penser que le problème est sérieux et fréquent) la plupart des praticiens Reiki semblent « aspergés » d’une couche étrange qui ne semble pas leur appartenir en propre, c’était mon ressenti.
J’ai donc fait des recherches et soudain je suis tombé sur des témoignages qui coïncidaient totalement avec ce que j’éprouvais : un intervenant à même identifié ce phénomène d’une bien meilleure manière que moi en le qualifiant d’occupation tel un goa’uld (célèbre dans la série Stargate-SG1) qui est très parlant comme exemple !

Le dernier clou dans le cercueil du Reiki

J’ai eu la chance de connaître une des personnes les plus spirituelle qu’il m’ait été donné de rencontrer dans ma vie, elle se reconnaîtra aisément, elle m’a fait découvrir un monde extraordinaire, au moyen de séance de relaxation et d’exploration – d’introspection au point que j’ai vécu des moments de prise de conscience fabuleux, elle m’a suggéré depuis longtemps que j’avais une voie à explorer dans ce domaine, mais l’ampleur de la tâche surhumaine (c’est le mot juste!) m’a jusqu’à présent foutu une trouille immense tellement cela me suggère de changer totalement de vie !
Et puis, me voilà à un moment précis de cette vie où de grands changements personnels se préparent, le contexte extérieur est également en pleine modification, des bouleversements sont même annoncés en l’espace de quelques mois, sans doute moins d’un an, le temps s’accélère de plus en plus frénétiquement, les hyper-sensibles le ressentent maintenant distinctement.
Ma décision s’est imposée tout naturellement, je ne souhaite vraiment plus faire appel à des techniques qui s’appuient sur des bases inconnues, qui jouent avec des énergies non identifiées d’autant plus que notre connaissance de tous ces mécanismes est très sommaire ; c’est jouer avec le feu, mes recherches m’ont même amené à des hypothèses que des entités « inamicales » pouvaient fort bien emprunter les canaux que nous leur ouvrons spontanément, sans intention de mal faire pour la plupart, mais souvent par ignorance totale ou partielle du phénomène.
Je considère que c’est une question de responsabilité raisonnable que d’abandonner cette pratique, pour ma part, l’enjeu n’en vaut vraiment pas la chandelle

Ou le cierge

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Parler avec amour

Parler avec amour

Parler avec amour

Quand parler avec amour fait en sorte que nos mots restructurent littéralement notre cerveau

 

Les mots que nous choisissons d’utiliser peuvent littéralement changer la configuration de notre cerveau !

 

Le Dr Andrew Newberg, neuroscientifique à l’Université Thomas Jefferson, et Mark Robert Waldman, un expert en communication, ont collaboré à l’ouvrage «Les mots peuvent changer votre cerveau» (malheureusement à ma connaissance pas traduit en français – j’ai donc mis un lien sur l’ouvrage originel en langue anglaise «Words Can Change Your Brain » plus bas dans le texte). Ils y écrivent: «un seul mot a le pouvoir d’influencer l’expression des gènes qui régulent le stress physique et émotionnel

 

Peace and Love !

Lorsque nous utilisons des mots remplis de positivité, comme «amour» et «paix», nous pouvons modifier le fonctionnement de notre cerveau en augmentant le raisonnement cognitif et en renforçant quelques zones spécifiques de nos lobes frontaux. Utiliser des mots positifs plus souvent que des mots négatifs peut relancer les centres de motivation du cerveau et les engager à l’action.

À l’opposé du spectre, lorsque nous utilisons des mots négatifs, nous empêchons la production de certaines substances neurochimiques salutaires qui contribuent à la gestion du stress. Chacun de nous est initialement programmé pour se préoccuper de sa survie avant tout ; c’est ainsi que notre cerveau primitif nous protège des situations dangereuses pour notre intégrité.

 

Les mots façonnent litéralement notre structure cérébrale !

 

Ainsi, lorsque nous nous autorisons à employer des mots et des concepts négatifs dans nos pensées (et nos intentions!), nous augmentons l’activité dans le centre de la peur de notre cerveau (l’amygdale), et provoquons des hormones productrices de stress qui se propagent dans notre système. Ces hormones et neurotransmetteurs interrompent les processus logiques et de raisonnement dans le cerveau et inhibent la fonctionnalité normale de notre corps.
Newberg et Waldman écrivent: «Les mots de colère et d’angoisse génèrent des messages d’alarme à travers le cerveau et ils ferment partiellement les centres de logique et de raisonnement situés dans nos lobes frontaux.»

Un extrait de leur livre nous explique comment l’utilisation des * bons * mots – d’un vocabulaire mieux adapté – peut littéralement changer notre réalité :

«En sélectionnant un mot positif et optimiste dans notre esprit, nous stimulons l’activité du lobe frontal. Cette zone comprend des centres de langues spécifiques qui se connectent directement au cortex moteur responsable de notre passage à l’action et comme nos recherches l’ont démontré, plus nous nous concentrons sur des mots positifs, plus nous contribuons facilement à affecter favorablement d’autres zones du cerveau.

Les fonctions du lobe pariétal commencent à changer, ce qui change notre perception de nous-même et des personnes avec lesquelles nous interagissons. Une vision positive de nous-même nous incitera à voir le bien chez les autres, tandis qu’une image de soi négative nous entraînera plutôt vers le doute et la suspicion. Au fil du temps, la structure de notre thalamus changera également en réponse miroir à nos paroles, pensées et sentiments conscients et nous pensons donc (les auteurs !) que les changements thalamiques affectent la façon dont nous percevons la réalité. »

Démontré par des études de psychologie

Une étude réalisée par Positive Psychology approfondit davantage les effets de l’utilisation de mots positifs. Un groupe d’adultes âgés de 35 à 54 ans a été chargé chaque soir d’écrire trois choses qui se sont bien passées pour eux ce jour-là, y compris de justifier pour quelle raison ils avaient cette opinion. Les trois mois suivants ont montré que leur degré de bonheur continuait d’augmenter et que leurs sentiments de dépression continuaient de décliner. En nous concentrant et en réfléchissant sur des idées et des émotions positives, nous pouvons améliorer notre bien-être général et augmenter la fonctionnalité de notre cerveau.

Sur quels mots choisissez-vous de concentrer votre énergie ? Si vous remarquez que votre vie n’est pas suffisamment pourvue de marge de progression quant à l’emploi de mots plus positifs, essayez d’emporter un journal avec vous pour savoir à quelle fréquence vous utilisez des mots négatifs. Vous pourriez être surpris de découvrir à quel point la solution pour accéder à une vie meilleure est simple : changez vos mots, changez votre vie.

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Les mots peuvent changer votre cerveau

Words Can Change Your Brain: 12 Conversation Strategies to Build Trust, Resolve Conflict, and Increase Intimacy (Anglais) Broché – 26 juin 2014

Une traduction de l’article paru sur le site Everyday Health, le 12 août 2013

« Words Can Change Your Brain » By Therese Borchard For Sanity Break August 12, 2013

https://www.everydayhealth.com/columns/therese-borchard-sanity-break/420/

Autres sources :

Sharp Brains :

https://sharpbrains.com/blog/2012/07/09/how-do-words-such-as-yes-and-no-change-our-brains-and-lives/

Autres sources (suite) : ATTENTION AUCUN DE CES SITES N’EST SÉCURISÉ HTTPS, je n’inclus donc pas les liens à cliquer directement

Le lien de Spirit science . Net =

« Speak With Love: How Your Words Literally Restructure Your Brain »

Les sites internet des deux auteurs en .com

andrewnewberg et markrobertwaldman

Retrouvailles avec Mischka ; NDE, EMI

Retrouvailles avec Mischka ; NDE, EMI

Un entretien avec Mishka : EMI, les états modifiés de conscience

Il y a 27 mois aujourd’hui j’ai « rencontré » un individu bien singulier, c’était le 11 août 2017, un être doté d’une sagesse immense, héritage d’un parcours de vie très particulier.

Cette rencontre allait déboucher sur la conviction d’avoir reçu des informations majeures (une initiation ?) qui me bouleversent encore aujourd’hui : je ressens encore inchangée la réaction que ces révélations avaient provoqué dans mon esprit.

Cette rencontre avec Mishka m’avait laissé un sentiment très intense que ce ne serait pas la dernière fois que je le rencontrerais, j’avais même l’intuition qu’il se manifesterait à nouveau et qu’il viendrait m’apporter d’autres pistes de réflexion…

(suite…)

Wetiko, le“virus” de l’égoïsme selon les Amérindiens

Wetiko, le“virus” de l’égoïsme selon les Amérindiens

Le Wetiko, selon les Amérindiens, est un mauvais esprit qui envahit généralement l’esprit de l’être humain.

Wetiko désigne le “virus” de l’égoïsme, un pathogène psychique qui force la personne à alimenter ses propres nécessités tel un être affamé qui n’est jamais satisfait. Cette présence nous conduit à une sorte d’involution où tôt ou tard l’humanité devient notre pire ennemi…

Le Wetiko et son lien avec le psychanalyste des profondeurs Carl Gustav Jung

(suite…)