par Michel Mougenot | 5 Jan 2016 | Les Arts et Cultures, INDIVIDU, Mon Carré De Sable, Psychologie - sociologie - philosophie
Soprattutto per la ragazza quegli occhi verdi come il mare
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Caruso est une chanson écrite en 1986 par l’auteur et interprète italien Lucio Dalla |
LYV
Caruso : Lucio Dalla
Qui dove il mare luccica e tira forte il vento
Sulla vecchia terrazza davanti al golfo di surriento
Un uomo abbraccia una ragazza dopo che aveva pianto
Poi si schiarisce la voce e ricomincia il canto
[RITORNELLO]
Te voglio bene assai
Ma tanto tanto bene sai
E una catena ormai
Che scioglie il sangue dint’e vene sai
Vide le luci in mezzo al mare penso alle notti là in America
Ma erano solo le lampare e la bianca scia di un elica
Senti il dollore nella musica e si alzo dal pianoforte
Ma quando vide la luna uscire da una nuvola
Gli sembrò più dolce anche la morte
Guardo negli occhi la ragazza quegli occhi verdi come il mare
Poi all’improvviso usci una lacrima e lui credette di affogare
[RITORNELLO]
Te voglio bene assai
Ma tanto tanto bene sai
E una catena ormai
Che scioglie il sangue dint’e vene sai
Potenza della lirica dove ogni dramma é un falso
Che con un po’ditrucco e con la mimica puoi diventare un altro
Ma due occhi che ti guardano cosi vicini e veri
Ti fan scordarele parole confondonoi pensieri
Cosi diventa tutto piccolo anche le notti la in America
Ti volti e vedi la tua vita come la scia di un’elica
Ma si é la vita che finisce ma lui non ci penso poi Tanto
Anzi si sentiva gia felice e ricomincio il suo canto
[RITORNELLO]
Te voglio bene assai
Ma tanto tanto bene sai
E una catena ormai
Che scioglie il sangue dint’e vene sai
par Michel Mougenot | 5 Jan 2016 | Les Arts et Cultures, INDIVIDU, Mon Carré De Sable, Psychologie - sociologie - philosophie, Spiritualité - Âme
Carl Gustav Jung, fondateur de la psychologie analytique et penseur influent, il est l’auteur de nombreux ouvrages dont je ferai quelques commentaires dans des prochains articles.
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Ce n’est pas en regardant la lumière qu’on devient lumineux, mais en plongeant dans son obscurité. Sagesse
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« Il est essentiel de le comprendre : l’homme moderne est en fait un curieux mélange de caractères acquis au long d’une évolution mentale millénaire. Et c’est de cet être mêlé de cet homme et de ses symboles qu’il nous faut nous occuper, et qu’il faut examiner la vie mentale avec la plus grande attention.
Le scepticisme et la conviction scientifique co-existent chez lui avec des préjugés démodés, des manières de penser et de sentir, dépassées, des contresens obstinés, une ignorance aveugle.
par Michel Mougenot | 5 Jan 2016 | Les Arts et Cultures, INDIVIDU, Mon Carré De Sable
Pablo Neruda,
Peut-être n’ai-je pas vécu en mon propre corps : peut-être ai-je vécu la vie des autres », écrit Pablo Neruda pour présenter ces souvenirs qui s’achèvent quelques jours avant sa mort par un hommage posthume à son ami Salvador Allende. Les portraits d’hommes célèbres – Aragon, Breton, Eluard, García Lorca, Picasso – côtoient les pages admirables consacrées à l’homme de la rue, au paysan anonyme, à la femme d’une nuit. À travers eux se dessine la personnalité de Neruda, homme passionné, attentif, curieux de tout et de tous, le poète qui se révèle être aussi un merveilleux conteur.
Le frondeur enthousiaste
Je sens s’approcher ta tendresse sur mon sol,
elle guette mes yeux, mon regard, et s’enfuit,
je la vois s’arrêter pour m’accompagner jusqu’à l’heure
de mon silence pensif et de mon désir pour toi.
La voici, ta tendresse aux yeux doux dans l’attente.
La voici, c’est ta bouche et les mots jamais dits.
Je sens pousser en moi la mousse de ta peine
qui pousse en tâtonnant dans mon cœur infini.
Pablo Neruda ; suite
C’était cela s’abandonner, tu le savais,
c’était la guerre obscure du cœur contre tous,
c’était la plainte de l’angoisse émue qui s’interrompt,
l’ivresse et le désir, et se laisser aller,
c’était cela ma vie,
c’était ce qu’emportait l’eau courant dans tes yeux,
par Michel Mougenot | 4 Jan 2016 | Les Arts et Cultures, INDIVIDU, Mon Carré De Sable
aprés la fin de Bernard Werber, j’enchaîne avec un collectif d’auteurs, Michel Onfray et ses amis de l’Université populaire de Caen :
» Le canari du nazi » Essais sur la monstruosité…
Titre intriguant ce titre, Le canari du nazi, mais Onfray dévoile le sens dès l’introduction du livre : c’est parce qu’Himmler, quand il rentrait tard le soir chez lui retirait ses chaussures et faisait doucement pour ne pas réveiller son canari endormi : Le canari du nazi
Je lis actuellement un article concernant Lilith, très intéressant …
Le canari du nazi, un essai sur la monstruosité de l’homme
« Afin de condamner le comportement antisocial des femmes insoumises, peut-on lire dans le canari du nazi, des figures féminines légendaires ont été altérées par les promoteurs d’une image tantôt insipide tantôt diabolique de la féminité. Tel fut le sort jeté à Lilith, figure originelle de l’insoumission, transformée en monstresse infernale, en démone nocturne, en épouse du Mal avant d’être revalorisée au cours du XXième par des écrivaines et des artistes qui s’en emparent pour dire l’émancipation de la femme moderne. »
Le canari du nazi, un livre de Michel Onfray et un collectif d’auteurs de l’Université populaire de Caen |
Dans le livre Le canari du nazi, Lilith serait l’incarnation féminine du mal, du vice et de la tentation. |
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Cet ouvrage, Le canari du nazi, publié sous la direction de Michel Onfray dans la collection Universités populaires et Cie, se propose de questionner les concepts de monstre et de monstruosité à travers douze articles issus d’un cycle de conférences organisées par l’Université populaire de Caen. Pour parvenir à cerner au plus près cette notion complexe et généralement assez peu étudiée, les divers « essais sur la monstruosité » convoquent de multiples disciplines : littérature, art, histoire, psychanalyse, économie, sociologie… : « Nous ne manquons pas de voie d’accès à l’éternelle monstruosité des hommes », écrit à ce propos Michel Onfray dans son introduction du canari du nazi, (p. 6). Car il n’est pas uniquement question, dans cet ouvrage, de créatures mythologiques et fabuleuses. La notion de monstruosité est aussi appliquée à l’être humain, et même à la société toute entière, remettant ainsi en cause le préjugé selon lequel le monstre est inhumain par nature : « le pire n’est pas que le monstre soit, mais qu’il n’ait pas toujours la tête de l’emploi… Quand il ressemble à ce qu’il est, la chose devient facile. Mais la plupart du temps, le monstre arbore une figure humaine… » (p. 5 du canari du nazi). Les enjeux majeurs de cet ouvrage seront donc de parvenir à situer et à définir la monstruosité, qu’elle soit extérieure ou propre à l’être humain, d’en étudier les manifestations mais aussi, et peut-être surtout, d’en comprendre les causes.
par Michel Mougenot | 4 Jan 2016 | Les Arts et Cultures, INDIVIDU, Mon Carré De Sable
L’engagement
Johannes Wolfgang Von Goethe
Un magnifique texte de Goethe :
Il y a toujours la possibilité de reculer,
Une part d’hésitation, d’inefficacité.
Une vérité élémentaire
S’applique à tous les gestes requérant
Initiative et créativité.
Une Vérité qui, ignorée,
Saborde une multitude d’idées
Et de plans formidables.
Dès le moment où l’on s’engage,
Alors, la providence entre en jeu.
Nombre de choses adviennent
Pour nous venir en aide,
Et qui, autrement, n’auraient jamais eu lieu.
Une succession d’événements
Découle de cette décision
Provoquant et tournant en notre faveur
Toutes sortes d’imprévus, de rencontres
Et de soutiens tangibles
Dont nul n’aurait osé rêver.
Quel que soit votre projet ou votre rêve,
Vous pouvez commencer à le réaliser.
L’audace est faite de génie, de pouvoir… Et de magie
Johannes Wolfgang Von Goethe |
“Dès l’instant où vous aurez foi en vous-même, vous saurez comment vivre.” Johannes Wolfgang Von Goethe |
Johannes Wolfgang Von Goethe
Son Faust – (ses !) est un classique bien évidemment, mais je suis beaucoup plus impressionné par ses travaux réalisés sur les couleurs et la lumière ou même les plantes et le rapprochement très troublant qu’il fait du concept de la métamorphose, un autre sujet qui me fascine pour la métaphore que cela implique !
J’y ai rajouté une référence à un « autre géant » de la culture, germanophone également, en la personne de Rudolph Steiner qui a exploré les travaux de son illustre successeur pendant des années.
Pour ceux qui ont l’opportunité de passer proche de Dornach, je vous conseille d’aller vous imprégner de l’atmosphère du Goetheanum, une prouesse architecturale !!!
J’ai passé moi aussi quelques années à étudier et Goethe et Steiner, mais le moins que je puisse dire est que le panier était percé quelque part ; n’est pas un génie qui veut, mais j’ai ramené quelques bribes de mon périple et surtout cette formidable satisfaction d’avoir eu la sensation que je parvenais à des sommets de jubilation !
Les êtres exceptionnels ont tous ce point commun de susciter en nous d’incroyables ressources – que nul n’osait imaginer posséder – et de nous faire sentir importants.
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