Neurotoxicité du fluor reconnue scientifiquement par une revue médicale
Neurotoxicité du fluor reconnue par une revue médicale américaine : ce n’était finalement qu’une question de temps …
Désormais on ne pourra plus dire : « c’est faux » ou « nous ne savions pas ». N’hésitez pas à imprimer cet article et à le donner à votre médecin généraliste (ou au pédiatre, il y en a qui n’hésitent pas à prescrire du fluor en gouttes aux enfants avec la vitamine D… ) et à votre dentiste qui ne saura pas quoi dire car le cryolithe, c’est son fond de commerce : la neurotoxicité du fluor reconnue maintenant de manière non équivoque.
Ces mêmes personnes qui nous conseillent depuis des décennies de prendre du fluor pour la santé dentaire risquent d’être écœurées .
Par Claire C. | 16 février 2015 dans un article d’esprit science métaphysique
Encore une fois, ils se sont trompés. Parfois , les arguments les plus simples sont les plus efficaces. Notez bien que la revue médicale The Lancet est l’une des plus prestigieuses au monde, cette étude sur le sujet est donc très sérieuse. Guy Fawke.
Neurotoxicité du fluor reconnue par une revue médicale américaine
Fluor: effets neurocomportementaux de la toxicité développementale
Handicaps du développement neurologique, y compris l’autisme, trouble du déficit de l’attention avec hyperactivité, dyslexie et autres troubles cognitifs affectent des millions d’enfants à travers le monde et certains diagnostics semblent augmenter en fréquence.
Ces maladies sont en partie dues aux produits chimiques industriels qui endommagent le cerveau en développement. En 2006, un examen systématique a été et on a identifié cinq produits chimiques industriels neurotoxiques : le plomb, le méthylmercure, les polychlorobiphényles, l’arsenic et le toluène.
Neurotoxicité du fluor reconnue : depuis 2006 des preuves probantes
Depuis 2006, des études épidémiologiques ont mis en évidence six autres neurotoxiques: le manganèse, le fluor, le chlorpyrifos, le dichlorodiphényltrichloroéthane (DDT), le tétrachloroéthylène, et les polybromodiphényléthers. Bien sûr, il reste encore d’autres neurotoxiques à découvrir. Pour contrôler la pandémie de neurotoxicité développementale, nous proposons une stratégie globale de prévention.
Les produits chimiques non testés ne doivent pas être présumés sans danger pour le développement du cerveau. Il faut tester tous les nouveaux produits chimiques pour la neurotoxicité développementale.
Notes :
• Department of Environmental Medicine, University of Southern Denmark, Odense, Denmark
• Department of Environmental Health, Harvard School of Public Health, Boston, MA, USA
• Icahn School of Medicine at Mount Sinai, New York, NY, USA
• Corresponding Author Information Correspondence to: Dr Philippe Grandjean, Environmental and Occupational Medicine and Epidemiology, Harvard School of Public Health, 401 Park Drive E-110, Boston, MA 02215, USA
• The Lancet Neurology, Volume 13, Issue 3, Pages 330 – 338, March 2014 doi:10.1016/S1474-4422(13)70278-3
Source The Lancet (Abstract) (Revue complète) – Traduction Fawkes News
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Claire C.
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