LIBERTÉ DANS LE COUPLE – Le nouveau paradigme égalitaire !

par | J Fév, 2016 | Les Arts et Cultures, La femme libre, Mon Carré De Sable | 0 commentaires

Les valeurs de couple et de liberté conjugales sont en pleine modification

Charlotte (Sophie Verbeeck) et Michel, dit Micha (Félix Moati) vivent ensemble depuis plusieurs années. Leur couple bat de l’aile, d’autant que Charlotte vit parallèlement une relation passionnée mais difficile avec sa jeune amie Mélodie (Anaïs Demoustier). Un soir, Michel déclare malgré tout sa flamme à Mélodie, sentiments réciproques. Les deux histoires extra-conjugales vont alors se dérouler simultanément, dans un climat burlesque, jusqu’à ce que Charlotte et Michel se rendent compte qu’ils se trompent avec la même personne. Après un court et heureux ménage à trois, Charlotte décide malgré tout de se retirer et de laisser Michel et Mélodie vivre leur amour.
Charlotte et Micha sont infidèles… mais avec la même personne !
 

La société, nous l’avons vu, change à très grande vitesse, par poussées successives et, comme dans la Loi de conservation de l’énergie en physique, chaque impulsion est contrebalancée par une réaction équivalente ; ainsi, toute impulsion de liberté est assortie d’une réaction de conservatisme et vice versa.

les idées nouvelles rencontrent l’assentiment et la résistance des traditionalistes. Nous avons atteint une certaine apogée ces derniers temps et nous assistons un peu ébahis à ce triste spectacle de la radicalisation extrême d’une part degroupesreligieux ou sociaux qui manientaisément la violence et les crimes atroces au nom de cette dite religion ou de ces valeurs. Parallèlement nous assistons à des modifications profondes des mentalités occidentales, la prise en compte des transgenres, différents de ceux de masculin et féminin, la reconnaissance de la légitimité des mariages gays et, à suivre, de l’adoption devenant possible pour de tels couples…

Alors, quel avenir pour les couples : style coquin ou traditionnel ?

L’équilibre se trouve entre les extrêmes est-il habituel d’entendre.

Ce retour à l’obscurantisme correspond t-il à la tendance de notre monde à se recroqueviller ou devrait-il au contraire ouvrir son cœur et son esprit à la tolérance et au désir de liberté ? Sommes nous fait pour obéir à des règles sévères et inhumaines imposées dans la terreur, toute transgression est violemment réprimée. D’un autre côté, il faut éviter de tomber dans le piège de la tolérance inconditionnelle et de l’absolution sans réserve sous prétexte de la doctrine du relativisme échevelé.
 
Dans cette sphère de modération, nous trouvons des personnes qui ont envie d’évoluer vers des modèle de vie ou l’emphase est activement concentrée sur la liberté, la tolérance et la complicité entre individu, dans son couple ou dans un cercle d’amitié. Cette philosophie de vie, nous le constatons se limite à sa propre personne, ne prend pas les armes pour imposer sa vision du monde aux autres, surtout pas dicter une vérité définitive, ni même sa science infuse, chaque vérité ne concernant que chacun individuellement, la liberté est aussi et surtout ça !Ainsi, des institutions comme le mariage, la hiérarchie familiale ou professionnelle sont des notions d’une certaine tradition qui ont tendances à s’effacer, il faut concevoir que notre société s’est profondément modifiée depuis 50 ans. Les carcans ont plutôt tendances à se déliter les traditions devenues trop conventionnelles ont perdu beaucoup de leur charme. On peut regretter passablement cette chute, la riposte réactive est bien là pour témoigner qu’il y a une vaste opposition à cet élan qualifié « d’insouciance » par certains voire de destruction d’une civilisation telle que l’ont vécu les Empires perses, romains, Ottomans et une foule d’autres…
Bande annonce du film « A trois, on y va »
 
 

Polyamour, polyfidélité, Trouple ; tentatives de nomenclature des philosophie de vie « alternatives » au couple traditionnel

Il existe un vrai courant de réforme axé sur la liberté individuelle et la communication égalitaire dans le couple. Le mot ressemble à une blague. Trouple, un mot-valise pas très engageant, qui n’inspire que très moyennement la confiance. Pourtant, dans le langage du polyamour (terme générique regroupant les différentes formes d’amour multiple), le trouple est un vrai mot. Également employé en anglais, il désigne une histoire d’amour triangulaire dans laquelle chaque personne entretient une relation amoureuse avec les deux autres. A aime B, qui aime C, qui aime A, et réciproquement. Un dispositif que développe Jérôme Bonnell dans une partie de son film  »À trois on y va », petit traité sur le sentiment amoureux et le désir, et la trahison, qui se démarque de l’image du couple traditionnel en disséquant les relations qui unissent Charlotte (Sophie Verbeeck), Micha (Félix Moati) et Mélodie (Anaïs Demoustier).
La pluralité du polyamour
Le trouple n’est pas la seule forme de relation amoureuse à trois.
Sur son site More than two, dédié au polyamour, l’écrivain Franklin Veaux, qui vit à Portland avec plusieurs partenaires, propose un glossaire détaillé et assez complet, dans lequel il évoque notamment le vee, qu’on pourrait traduire en français par «relation en v», dans laquelle une personne «centrale» (ou pivot, selon Franklin Veaux) vit une relation amoureuse avec deux personnes, qui n’ont entre elles ni relation sentimentale ni relation sexuelle.
Quant à la polyfidélité, c’est la position que tiennent les personnes qui revendiquent la possibilité – souvent par le fait qu’ils se retrouvent devant le fait établi ! – d’être amoureux de plusieurs partenaires en même temps, ce qui vient sérieusement combattre l’idée généralement très répandue que l’on ne peut (et il est souvent décrété que l’on ne doit surtout pas) mener plusieurs histoires sentimentales de concert.
Un dicton dit qu’un couple traditionnel est un couple polyfidèle qui vit ses aventure l’une à la suite de l’autre contrairement au polyfidèle qui s’autorise à les vivre en même temps.
Cette façon de vivre demeure cependant très exotique aux yeux des couples « normaux » qui ont des interrogations spécifiques qui font souvent sourire, voire s’indigner certain électrons libres en marge de la normalité des relations basiques.
Le besoin de règles
La réalité de la relation à trois, c’est qu’elle n’est pérenne que si elle s’installe de façon naturelle (ce qui n’exclut pas le dialogue ou la mise en place de règles). Décider qu’on a envie d’être avec deux personnes avant même d’avoir identifié les deux personnes en question, c’est s’y prendre à l’envers et pour de mauvaises raisons.
Chercher à tout prix une troisième personne, c’est considérer le polyamour comme une sorte de mode, pas comme une façon éventuelle de vivre de façon plus épanouie.

Voici ici un exemple de « virage » d’un couple qui se transforme en trouple à la suite de la rencontre d’une troisième partenaire … 

 Le désir se multiplie car les images sont de plus en plus nombreuses. Mais il n’y a pas plus d’amour qu’avant. C’est un arrangement de l’esprit que de croire que tout le monde s’aime et que la relation est équilibrée. » Paule Salomon reconnaît que le polyamour n’est viable au sein du couple que si chacun conserve une place privilégiée. « L’autre ne doit pas se détourner du conjoint, il doit le rassurer sur son amour. Sinon l’absence est assimilée à un désamour.
Le polyamoureux serait-il un être à part, doté de pouvoirs surhumains ?
 

Mon triangle personnel, témoignage de Thomas :

« J’ai personnellement expérimenté le vee pendant quelques mois, et pas en tant que pivot.
L’été dernier, L., ma femme, a rencontré E., une autre femme dont elle est tombée amoureuse. Nous avons fini par nous rencontrer tous les trois afin de mieux comprendre ce qui était en train de se produire: la lente édification d’une relation triangulaire.
Très vite, parce que la confiance et le respect étaient présents, E. et moi avons commencé à développer une vraie relation d’amitié. Je n’y aurais jamais cru, mais l’équilibre à trois semblait réellement possible : parce que personne ne tirait la couverture à lui, parce que chacun conservait son indépendance, tout cela a fonctionné comme sur des roulettes pendant une demi-année, en dépit du possible déséquilibre causé par la relation à distance qui unissait L. à E., séparées par une heure de TGV et quelques stations de RER.
Je n’ai pas accepté qu’on se lance dans cette relation dans le but de me taper une autre fille »
Thomas
« Je me doute que la question taraude celles et ceux qui seront arrivés à ce stade de l’article: non, il ne s’est jamais rien passé entre E. et moi. Parce que les limites étaient posées dès le départ (et que les franchir nous aurait sans doute menés à l’implosion). Parce que E. est lesbienne et que seul un mauvais scénariste aurait pu imaginer qu’elle finisse par être attirée par moi. Parce que je n’ai pas accepté qu’on se lance dans cette relation dans le but de me taper une autre fille.
L’autre interrogation qui suscite généralement la curiosité des observateurs extérieurs concerne la jalousie potentielle. Très modérément jaloux par nature, je n’étais cependant pas tout à fait prêt à accepter sans rien dire que la femme que j’aime s’abandonne aux bras de quelqu’un d’autre que moi.
Mais il m’a suffi de rencontrer E. pour comprendre au premier coup d’oeil que je pouvais avoir confiance en elle et qu’elle n’allait pas tenter de briser ce qui nous reliait, L. et moi. Et puis, plus important que tout: vous auriez dû voir L. plus épanouie que jamais, semblant toucher du doigt un équilibre après lequel elle avait semblé courir pendant tant d’années. Ce bonheur communicatif a réellement fait fuir mes derniers doutes. Je sais que c’était pareil pour E.; quant à L., paradoxalement, il lui arrivait d’être légèrement envieuse de l’amitié faite de complicité et de légèreté qui m’a rapidement uni à E. Finalement, c’est entre nous que les relations étaient les plus simples. »
Le regard des autres
« Dans la tristesse la plus totale, la relation en V a fini par perdre l’une de ses branches. Elles se sont quittées pour des raisons qui ne regardent qu’elles, mais qui ne me semblent guère avoir de rapport avec le caractère singulier de notre union à trois. Avant cela, nous avions eu le temps d’imaginer des projets à long terme, de nous demander à quoi ressemblerait une vie idéale passée tous ensemble, de nous interroger sur le regard des autres, des inconnus jusqu’aux proches.
C’est toujours difficile de s’exprimer au nom de trois personnes, mais je pense que le plus grand blocage résidait dans le regard des autres. C’est avec pas mal d’appréhension que nous envisagions de révéler à tout le monde la nature de notre relation. Une sorte de coming-out à plusieurs, à la suite duquel chacun d’entre nous serait immanquablement étiqueté. L. serait la salope bigame, E. la briseuse de modèle traditionnel, moi le mari cocu.
Pire: nous savions qu’à terme, quel que soit notre choix de vie (un toit pour tout le monde ou deux domiciles dans le même quartier), nous serions catalogués comme des gens bizarres, déviants sexuels infligeant notre mode de vie dégueulasse à nos enfants. »
Elever des enfants dans la marge
« Les enfants. En voilà une question épineuse. L. et moi en avons deux, encore en bas âge mais déjà assez vieux pour comprendre ce qui se passe autour d’eux. Savoir qu’ils risquaient d’être stigmatisés parce que leur maman a une amoureuse nous empêchait d’envisager l’avenir tranquillement. Parce que l’exclusivité et l’hétérosexualité sont considérés comme les manières de vivre convenables –même si l’écrasante majorité de la population française affirme que l’homosexualité est une manière comme une autre de vivre sa sexualité.
Mais est-ce qu’on ne pourrait pas commencer par cesser de demander aux futurs mariés de se jurer fidélité?
Nous n’étions pas tout à fait prêts à assumer publiquement notre statut de double couple, mais nous y serions venus si la relation de L. et E. ne s’était pas interrompue. Il aurait ensuite fallu réfléchir à une façon d’organiser le quotidien, de s’imposer quelques règles sans pour autant rigidifier la situation. Difficile de trouver le juste dosage entre contraintes et libertés. »
 

Un autre témoignage d’une relation VEE 

C’est ce que me raconte Julia, 37 ans, qui a vécu en vee avec deux hommes pendant près de 2 ans:
« Dans la rue, quand ils me tenaient la main tous les deux, les gens nous regardaient de travers, mais on s’en foutait »
Julia, en vee pendant 2 ans
«Il nous arrivait de sortir tous les trois, et c’était souvent le bonheur. Dans la rue, quand ils me tenaient la main tous les deux, les gens nous regardaient de travers, mais on s’en foutait. C’est finalement quand il s’agissait de ne plus se retrouver qu’à deux que les choses devenaient difficiles: dans ces moments-là, il fallait à tout prix parvenir à ne plus penser au troisième, à tenter de fonctionner en tant que couple pour quelques instants.»
Le dialogue est le constituant essentiel de la réussite d’un trouple ou d’un vee selon Franklin Veaux.
Et c’est effectivement ce qui a permis à la relation dont Julia était le pivot de se développer sans trop de heurts:
«Concernant les moments à passer avec l’un ou avec l’autre, ça s’est généralement passé avec beaucoup de douceur et de compréhension. Je n’avais pas l’impression d’être un jouet que se disputeraient deux gamins énervés. C’est à moi que revenait le choix final de passer du temps avec l’un, l’autre, les deux ou personne. Je veillais à faire attention à ne léser personne, même s’il fallait que les choses restent naturelles. De toute façon, si j’avais fini par avoir envie de passer tout mon temps avec l’un et jamais avec l’autre, il aurait rapidement fallu en tirer des conclusions
 

Mais, au fait, pourquoi ce besoin d’entretenir plusieurs relations?

«Ce n’est pas un besoin», martèle Julia:

«Les polyamoureux ne sont pas des accros à l’amour, cœursd’artichauts incapables de s’empêcher d’avoir des sentiments: au contraire, ils/elles décident un jour de voir au-delà de la barrière de la relation exclusive. Si tout le monde acceptait un jour l’idée de sortir du moule, beaucoup finiraient par tomber amoureux de plusieurs personnes. Dans la société actuelle, la plupart des gens se l’interdisent, parce que c’est trop compliqué et surtout parce que ça ne se fait pas. Moi, j’ai décidé que ça se fait.»
Revenir au couple
Avoir appartenu un jour à une telle union ne signifie pas qu’on soit destiné, toute sa vie, à ne fonctionner que par trois ou quatre. Comme Julia, qui a fini par se séparer de l’un de ses partenaires en raison de sentiments émoussés (elle est toujours en couple «traditionnel» avec l’autre),
Le constat est que, quand dans un couple on est capable de concevoir un autre style de fonctionnement, quand on n’est pas conditionné par les diktats de nos cultures respectives, ce qui demande de faire preuve de créativité et d’originalité (les anglophones utilisent un terme que j’adore = thinking outside the box, ce qui résume parfaitement l’environnement des polyamoureux, polyfidèles,… mais également les problèmes, jugements et l’incompréhension qu’ils rencontrent).
C’est avant tout ce que montre le pragmatique Jérôme Bonnell dans « A trois on y va » : les coups de foudre existent et il est possible d’y céder, que l’on soit seul ou déjà à deux. Aucune injonction à la polygamie, juste cette idée selon laquelle chaque être humain devrait pouvoir mener sa vie amoureuse comme il l’entend, à condition de n’enfreindre aucune loi et de respecter le consentement des uns et des autres.
Le trouple est viable, des couple très célèbre l’ont expérimenté et parfois d’une façon durable ; l’exemple de Carl Gustav Jung me vient en tête, il a passé plus de quarante ans avec sa femme Emma et Toni sa maîtresse, ils vivaient en bonne entente tous les trois. La pression du regard extérieur est toutefois très forte, particulièrement en une époque où des dizaines de milliers de personnes sont descendues dans les rues pour défendre la famille dite traditionnelle (un papa, une maman – hétéros – des enfants). C’est d’ailleurs cette obligation de vivre dissimulés au jugement de la société qui mène parfois les trios à leur perte, c’est une des conditions qui font « qu’au village, sans prétention, nous puissions avoir mauvaise réputation ! »
 
Cette histoire est un monument fondateur du polyamour. Ce fut d'abord un roman largement autobiographique de Pierre-Henri Roché publié en 1953 dont l'histoire commence avant la première guerre mondiale. L'auteur le double de Jim, l'amoureux français du trio avec Kathe et Jules.
« Jules et Jim » est aussi  un film de François Truffaut avec Jeanne Moreau
 
 

Représentations

Ce que fait Bonnell est important: tout comme Peindre ou faire l’amour des frères Larrieu avait tendance à dédramatiser l’échangisme pour en faire une pratique très sereine entre deux couples s’entendant bien, A trois on y va montre que le trouple n’est pas forcément viable, mais en tout cas qu’il est envisageable sans trop s’arracher les cheveux. 

Couples-trouples célèbres

  • Carl Gustav Jung, Emma Jung et Toni Wolf
  • Jean Paul Sartre et Simone de Beauvoir
  • Franz Hessel, Helen Grund (les parents de Stéphane Hessel, l’auteur de l’essai « Indignez-vous ») et Henri Pierre Roché

0 commentaires

Trackbacks/Pingbacks

  1. PROSTITUTION, LE DÉLIT CONTRE LES HOMMES - Mon Carré De Sable - […] Buñuel n’aimait pas le roman écrit en 1930 par l’écrivain français Joseph Kessel. Ma… […]
  2. Le frondeur enthousiaste - Pablo Neruda - Mon Carré De Sable - […] « Je t’aime comme la plante qui ne fleurit pas Et porte en soi, cachée, la lumière de… […]
  3. Pourquoi l'amour est un plaisir - Mon Carré De Sable - […] Pourquoi l’amour est un plaisir, parce que ça fait du bien…  […]
  4. Aime-toi toi-même - Mon Carré De Sable - […] Pourquoi l'amour est un plaisir - Mon Carré De Sable dans LIBERTÉ DANS LE COUPLE – Le nouveau paradigme…
  5. Polyamour, une nouvelle philosophie conjugale ? - Mon Carré De Sable - […] la polygamie, qui est une non-exclusivité conjugale ou matrimoniale. Certaines relations polyamoure… […]

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Blogue Mon Carré de Sable

Michel Mougenot, alias MICHEL-CHIVAT, Mon Carré de Sable

Michel Mougenot, alias MICHEL-CHIVAT, Mon Carré de Sable

Webmestre

La conception, la gestion et l’entretien du Site  “Mon Carré de Sable » sont assurés par : Michel Mougenot

“CDS – Mon Carré de Sable”

Michel Mougenot gère également les Sites suivants  :

Le Site Crisalida Rebozo Québec

Le Site Kazilik

Le site Bloomfelt

le mode de subsistance de mon carré de de sable

Ce site vous plait ? merci de bâtir Mon Carré De Sable
Nous avons décidé que Mon Carré De Sable reste un blog indépendant, libre et gratuit ! Néanmoins, celà me prend des centaines d'heures par mois en recherches, rédaction et gestion informatique et multimédia. Toutefois, c'est un choix raisonné et assumé depuis le début qu'il est hors de question de remettre en cause.

Si vous trouvez du bonheur, de la joie, de l'intérêt et ou de valeur dans ce que je fais, s'il vous plaît envisagez de devenir membre et de soutenir mon initiative avec un don mensuel récurrent de votre choix, d'une valeur comprise entre café (ou un cappuccino !) un et un bon dîner (un soir de Saint-Valentin ? 🙂 )

DONATION MENSUELLE – À TITRE INDICATIF

♥ 3 € / mois
♥ 5 € / mois
♥ 7 € / mois
♥ 10 € / mois
♥ 25 € / mois
♥ ??? € / mois

Oui je soutiens Mon Carré de Sable !

oniropédie-mon-carre-de-sable

Pour être informé immédiatement des nouvelles publications

Je m'incrit à la liste de distribution de Mon Carré de Sable 

Merci de votre intérêt ; vous êtes maintenant inscrit à la liste d'envoi de Mon Carré de Sable