Les réseaux sociaux n’auront jamais autant joué leur mission d’information qu’au cours de cette semaine en voie d’achèvement: avec eux, grâce à eux, la vérité a fini par éclater, révélant au grand jour les horreurs de Cologne mais aussi de toutes les grandes villes nordiques touchées de plein fouet par la deuxième grande vague subversive venue du Maghreb, du Moyen-Orient et d’Afrique noire.
Après avoir fait 145 morts en France, le terrorisme organisé s’est livré lors de la nuit de la Saint-Sylvestre à un deuxième test de résistance de l’Occident, s’attaquant cette fois sans vergogne, des rives du Rhin à l’Autriche, en passant par Hambourg, Stuttgart, Zurich, Bâle et Helsinki au symbole de la femme dans tout ce qu’elle incarne à nos yeux de magnifique, de féérique, de magique, bref d’inégalable.
Perpétrées, pratiquement à la même heure, par des centaines d’hommes émargeant aux mêmes communautés, qu’ils soient candidats-réfugiés ou résidents, peu nous importe, les agressions, plus odieuses les unes que les autres ne relèvent évidemment plus de la simple coïncidence, comme ont été contraints à le reconnaître, après bien des dénégations, gouvernants et policiers. Ces hordes barbares n’ont pas agi sous l’effet d’une pulsion soudaine comme veulent nous le faire accroire les moins obtus. Elles ne sont pas non plus le fait de groupuscules issus de bas-quartiers comme l’ont d’abord propagé celles et ceux qui sont censés être payés pour nous informer et qui ont mis … 4 jours avant de consentir, sous la pression populaire, à évoquer ces actes criminels.
Il s’agit bel et bien, si l’on accepte d’y réfléchir, d’une offensive collective d’envergure, dûment orchestrée à partir d’une base paramilitaire encore inconnue comme l’ont été en fin d’année passée, à partir, c’est désormais acquis, de Molenbeek et de Schaerbeek, les attentats de Paris.
En attendant, les femmes allemandes se retrouvent aujourd’hui, et pour un bon bout de temps, aussi hébétées, apeurées, fragilisées que pouvaient l’avoir été leurs aïeules lors de la fin de la seconde guerre mondiale, quand débarquaient de l’Est les « libérateurs » de Staline.
Que, dans un tel contexte, l’un de nos principaux quotidiens bien-pensants, voulant sans doute donner l’absolution aux assaillants, termine son éditorial par ces mots:
« Il y a du chemin à faire. L’Allemagne elle-même reste encore trop souvent rivée à la vision conservatrice du « Kinder, Küche und Kirche » (KKK), lequel confine la femme à l’éducation des enfants, à la cuisine et à l’Eglise. Cette mise en retrait qui procède d’une antique intention paternaliste conditionne fatalement sa relation au reste de la société. »
…nous frappe de stupeur et d’indignation.
Mais rien, au fond, ne peut plus étonner quand, au lieu de s’attaquer aux vrais problèmes, on voit nos journaux dits « de qualité » s’étendre aujourd’hui sur les considérations du sieur Ismaël Saidi, metteur en scène de métier, hier encore illustre inconnu qui se dit irrité d’avoir été taxé de « clientélisme » après s’être vu confier les rênes d’une campagne de « déradicalisation » de Bruxelles ou bien encore qu’on entend, dans le minuscule marigot politique de Wallonie-Bruxelles, dame Simonis s’asphyxier à assimiler à du « racisme déguisé » les cours de « respect des femmes » préconisés aux migrants par Francken.
En fin de compte, Théo, elle a bel et bien raison, notre ministre francophone: pourquoi gaspiller notre argent qui serait bien plus utile à donner à nos filles, à nos compagnes, à nos épouses, à nos amies des cours de… self défense. Par les temps qui courent, ce serait mille fois plus opportun. Et efficace!
Jean Louis Donnay
J. Apprécie vos idées et vos articles de fond. Ami de Chantal rampelberg, j. Ai parfois accès à vos pamphlets.. Merci de me faire parvenir vos articles. BIEN à Vous. René Larbuisson