Selon Nice Matin :
« C’est aujourd’hui qu’une conférence de presse mondiale annoncera une découverte qui pourrait bien trouver ses origines dans les laboratoires de recherche de l’observatoire niçois »
par Guillaume Bertolino il y a 8 heures
Manchette de Nice Matin
Extrait de mon article CES MYSTÉRIEUSES ONDES SCALAIRES :
» Le mot « scalaire », quant à lui, désigne justement le nombre qui sert à décrire une onde aux valeurs variables, par contraste avec une onde hertzienne, dite vectorielle. Ce qui revient à dire qu’on ne reconnaît pas de vecteur ou de support aux ondes scalaires. C’est pourquoi certains chercheurs, emboîtant le pas à Nikola Tesla, sollicitent l’éther, le fameux élément primordial dont procèdent les quatre autres (air, feu, eau et terre), pour expliquer les propriétés non conventionnelles des ondes scalaires (et l’énergie d’origine inconnue qu’elles peuvent mobiliser). Ce qui explique aussi l’embarras des physiciens, puisque l’éther, en partie à cause d’Einstein, a été rejeté par la science officielle, à la suite des expériences de Michelson et Morley, qui, bien qu’étant parfois considérées comme insuffisantes voire incohérentes, ont été retenues parmi les fondements de la physique et de l’électromagnétisme modernes. Les équations de James Clerk Maxwell (1873), autre fondement de l’électromagnétisme moderne, seraient, elles aussi, insuffisantes. Elles ne décrivent, explique Meyl, que les ondes transversales, et non les ondes longitudinales. Il rejoint ici Thomas Bearden, le spécialiste américain de Tesla et des ondes scalaires, qui pointe les modifications infligées aux équations de Maxwell « afin de décrire exclusivement cette partie du flux d’énergie que les circuits physiques étaient conçus pour capter et utiliser », éliminant ainsi « l’énergie qui pouvait être extraite à partir du vide ». C’est pourquoi les ondes scalaires ont été aussi peu étudiées jusqu’à présent.
Expérimentées par Tesla
Nikola Tesla (1856-1943) fut le premier expérimentateur des ondes scalaires : ses bobines à induction (les fameuses non prévues par les équations canoniques de Maxwell. « Dès 1896, rapporte le chercheur indépendant Jean-Marc Roeder, Tesla avait observé des pertes de masse et d’inertie d’objets de son laboratoire soumis aux ondes scalaires en phase (ou en résonance synchrone, si vous préférez) à très basse fréquence (6 Hz) émises par ses bobines Tesla. » C’est pourquoi ces ondes ont aussi parfois été nommées « gravitationnelles ». »
POUR LIRE L’ARTICLE INTÉGRAL SUR LES ONDES SCALAIRES, C’EST ICI :
Le scalaire de la peur
Dernière chose, la reconnaissance de l’existence des ondes scalaires et de leurs spécificités va induire directement d’ouvrir le débat de la reconnaissance également de l’énergie libre, défendue, encore une fois, par Nikola Tesla !!!
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