Est-il exact que les vaccins protègent des maladies et ont stoppé les épidémies ?


Voici quelques témoignages qui déterminent que les campagnes de vaccination massives qui nous sont imposées non seulement ne semblent pas contrer les propagations des maladies contre lesquelles elles sont sensées être efficaces, mais dans beaucoup de cas elle seraient totalement inefficaces et contre-productives…. Préoccupant !

La controverse sur la vaccination concerne l’efficacité et l’innocuité de la vaccination. Du point de vue majoritaire, les bienfaits de la vaccination dépasseraient largement les risques, en particulier parce que la vaccination a permis, depuis le milieu du xxe siècle, de faire disparaître de grands fléaux infectieux et de réduire le taux de mortalité. Les polémiques se sont cependant multipliées
La question de la validité théorique de la vaccination est parfois mise en cause

  Sylvie SIMON, La Dictature Médico-scientifique :

« Le taux de mortalité par la variole s’élevait à 10 % aux Philippines lorsque les U.S.A. prirent possession des îles en 1905. Entre 1905 et 1906, à la suite d’une campagne de vaccination massive, une épidémie fit mourir 25 % de la population. Entre 1918 et 1920, alors que l’armée américaine venait d’obliger 95 % de la population à se faire vacciner une terrible épidémie emporta, cette fois, 54 % de la population. Manille où le pourcentage de gens vaccinés était le plus fort (la presque totalité de la population), fut la plus touchée (65,3 %) alors que l’île de Mindanao ne fut touchée qu’à 11,4 %. Curieusement dans cette île, les indigènes avaient refusé de se faire vacciner…»

 Dr Robert RENDU, Faculté de Médecine de Lyon, La Presse Médicale, 1949 :

« Entre 1943 et 1947, 5 millions au moins d’enfants ont été vaccinés (contre le tétanos), soit plus de la moitié de la population, âgée de 1 à 14 ans. Cette vaccination massive aurait dû entraîner une diminution considérable du nombre de décès, or les statistiques officielles montrent que le nombre de décès infantiles par tétanos n’a guère varié de 1943 à 1947. (Un décès en moyenne par département et par an) » Pr Michel REY, Impact Médecin Hebdo, 13 octobre 1995 : « La protection conférée par la vaccination (antidiphtérique) dure moins longtemps que l’immunité naturelle et n’est plus que de 50 %, 10 ans après la vaccination, alors que 90 % des adultes sont naturellement immunisés avant d’être vaccinés…»

 

Le Point, 23 janvier 1993,

« Tuberculeuses et pourtant vaccinées» « Les quelque cent infirmières des Hôpitaux de l’Assistance Publique de Paris qui ont été contaminées ces cinq dernières années étaient vaccinées…»

 

Jean-Yves NAU, Le Monde, 2 février 1987 :

Importante épidémie de poliomyélite en Afrique de l’Ouest en 1986 :
« Près de 200 des enfants que l’on croyait correctement vaccinés ont contracté la maladie. Certains sont morts. Les études épidémiologiques franco-américaines menées sur le terrain n’ont pas encore permis de comprendre les raisons exactes d’un tel phénomène…»

Dépêche AFP, 1er février 1997 :

« La quasi totalité des cas de poliomyélite recensés aux U.S.A., de 1980 à 1994, a été causée par l’administration du vaccin oral atténué…» Sylvie SIMON, La Dictature Médico-scientifique : « Grâce à l’amélioration des conditions d’hygiène, la poliomyélite avait disparu en Albanie, comme dans bien d’autres pays. Malheureusement le gouvernement et les autorités sanitaires de ce pays ont décidé de pratiquer une vaccination de masse dans le cadre d’une campagne de prévention. En avril 1996, on a alors administré le vaccin Sabin à virus vivant atténué à la population de tout âge… Selon les statistiques officielles…on a enregistré 90 cas de polio, dont 12 mortels… » The Lancet, 1er janvier 1994 : « 54 % des personnes atteintes par une toute récente poussée de poliomyélite en Namibie (Nov. 1983) étaient toutes vaccinées dans les règles contre la poliomyélite…


L’Événement du Jeudi, 5 au 11 mars 1992 :

« Les Américains, malgré une politique musclée de prévention contre la rougeole, voient l’une des plus agressives maladies infantiles augmenter régulièrement chez les nourrissons. Nés de mères vaccinées, les bébés hériteraient d’anticorps moins résistants que ceux provoqués par une rougeole naturelle…»


Dr Louis DE BROUWER, Vaccination erreur médicale du siècle :

« … Les Français, manipulés et désinformés en sont venus à considérer l’acte vaccinal comme le baptême : hors vaccin pas de salut.
Or, il n’a jamais été prouvé scientifiquement que les vaccins étaient efficaces et sans danger…Le principe de la vaccination constitue la plus monstrueuse erreur médicale et scientifique du siècle et mène l’humanité à une disparition prématurée. On ne compte plus aujourd’hui les cas de mort subite du nourrisson, sclérose en plaques, maladie d’Alzheimer, cancers, dermatoses, et d’affections nouvelles incurables dues aux vaccins… L’individu vacciné est devenu un véritable réservoir à virus…» En Angleterre, en mai 1871, les autorités médicales affirmaient que 87.5% de toute la population avait été vaccinée. L’année suivante, le pays expérimenta la pire épidémie de variole de toute son histoire, ce qui tua 44,840 personnes. En Ecosse, entre 1855-1875, plus de 9,000 enfants de moins de cinq ans moururent de la variole en dépit du fait que le pays était à cette époque l’un des plus vaccinés du monde. En Allemagne, dans les années 1870-71, 100,000 personnes eurent la variole, dont 20’000 succombèrent à la maladie. 96% d’entre elles avaient été vaccinées. En fait, la variole sembla cinq fois plus fatale parmi ceux qui étaient vaccinés que parmi ceux qui ne l’étaient pas.
Dans son livre The Vaccination Superstition, le Dr. J.W. Hodge note: « Après une soigneuse considération de l’histoire de la vaccination ramassée à même une étude impartiale et compréhensible de statistiques vivantes et de données pertinentes provenant de source sûre, et à la suite d’une expérience à partir du fait d’avoir vacciné 3000 sujets, je suis fermement convaincu que la vaccination ne peut être montrée comme ayant quelque relation logique avec la diminution des cas de variole. La plupart des personnes sont mortes de la variole qu’ils contractèrent après avoir été vaccinées. »
Le professeur George Dic, en 1973, abonde dans le même sens en disant que lors des décennies précédentes en Grande-Bretagne, 75% de ceux ayant contracté la variole avait été vaccinés.
Des cas de poliomyélite se déclarèrent au Gabon, au Brésil et à Taiwan dans des populations à grande majorité vaccinées. En 1987, à l’Université d’Alberta, une épidémie d’oreillons ravagea le campus malgré un taux de vaccination de 98%. Entre janvier et mai 1989, au Québec, sur 1 600 cas de rougeole, plus de 58% des enfants avaient été vaccinés.

D.M. Johnson dans le Journal of the American Medical Association (1969) 

rapporte des cas de mort par tétanos chez des individus dûment vaccinés. En 1941, la majorité des enfants de France étaient vaccinés contre la diphtérie, ce qui n’empêcha pas les cas de diphtérie de tripler en 1943. Les docteur Dettman et Kalokerinos trouvèrent dans les annales du Ministère de la Santé de l’Ecosse le fait que, durant la période allant de 1941 à 1944, 23 000 cas de diphtérie furent déclarés sur des enfants déjà vaccinés, entraînant la mort de 180 d’entre eux. Dans un essai majeur réalisé en Inde auprès de 260 000 personnes, le BCG s’avéra plus qu’inefficace: il est survenu plus de cas de tuberculose chez les vaccinés que dans le groupe placebo. En Suède, la diphtérie a disparu sans aucune vaccination de masse. Dans les années 50, aux États-Unis, après une année de vaccination massive contre la poliomyélite, les cas de cette maladie augmentèrent de 300 % dans les états qui vaccinaient. Les cas de poliomyélite en Angleterre entre 1923 et 1953 diminuèrent de 53% avant même l’introduction des vaccinations de masse. En 1992, en Grande-Bretagne, deux vaccins contre la rougeole (Pluserix, Immravax) furent bannis après avoir causé chez de nombreux enfants vaccinés la méningite, la surdité, la paralysie et des troubles de la vision.
Les articles L. 3111-2 et L. 3111‑3 du Code de la santé publique rendent obligatoires les vaccinations contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite (DTP). Ces vaccinations ont été rendues obligatoires en 1938 pour la diphtérie, en 1940 pour le tétanos et en 1964 pour la poliomyélite. À cette époque le niveau sanitaire général de la population et l’incidence élevée de ces maladies - avec chaque année plus de 40 000 cas de tuberculose, environ 1 500 cas de diphtérie et de 1 000 à 5 000 cas de poliomyélite - rendaient nécessaire ces mesures strictes
En cas de non-respect de l’obligation vaccinale, des sanctions sont prévues

Le New England Journal of Medecine (1987) 

dans un article de Tracy Gustafson, écrit qu’entre 1983 et 1990, des épidémies de rougeole se déclarèrent aux Etats-Unis chez des enfants et de jeunes adultes vaccinés et ayant démontré des anticorps contre la maladie. Philip Incao, médecin dans une épidémie de rougeole à Corpus Christie, Texas (Etats-Unis) en 1985, 99% des enfants atteints avaient été vaccinés; 12% d’entre eux avaient même reçu un 2e rappel. Le Dr. Aubrey Tingle, pédiatre et immunologiste à l’Hôpital de Vancouver a découvert que 30% des adultes ayant été exposés au vaccin contre la rubéole, souffrirent d’arthrite allant de jointures endolories jusqu’à un handicap sévère, deux ou quatre semaines suivant la vaccination


En 197l, à Casper, Wyoming (Etats-Unis) 

une épidémie de rubéole éclata un an après que 83% des enfants en âge scolaire de la ville aient été vaccinés contre la maladie. A Birmingham , en Grande-Bretagne, 600 personnes âgées et vaccinées contre la grippe démontrèrent le double de problèmes respiratoires qu’un groupe similaire non vacciné. En 1905, le taux de mortalité due à la variole s’élevait, aux Philippines, à 10%. Après une vaccination massive, se déclara une épidémie qui frappa mortellement 25% de la population – dûment vaccinée. Malgré cet échec, les autorités intensifièrent les vaccinations. En 1918, la pire épidémie tua 54 % des gens, alors que la population était vaccinée à 95 %. Manille, la capitale, où les habitants étaient tous vaccinés et revaccinés, fut la plus touchée: 65,3 %. Lîle de Mindanao, où les indigènes avaient refusé la vaccination, fut la moins touchée: 11,4 %. Malgré ces évidences, la vaccinadon antivariolique continua et l’O.M.S. lança, en 1966, une campagne mondiale qui dura 10 ans et fut abandonnée en raison de son inefficacité.
 
Un nombre impressionnant d’articles publiés dans des revues scientifiques font état de sévères complications auto-immunes et neurologiques suite à une vaccination contre l’hépatite B: nausées, vomissements, diarrhée, fièvre, urticaire, tachycardie, palpitations cardiaques, zona, eczéma, purpura, paralysie, syndrome de Guillain- Barré, névrite optique, conjonctivite, troubles de la vision, sclérose en plaques, diabète. Aussi des cas d’arthrite, de rhumatisme, de problèmes de foie, d’asthme et même des décès.

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