L’archéologue allemand Heinrich Kush a découvert un réseau néolithique de tunnels souterrains de 12000 ans qui connectent l’Écosse et la Turquie.
Cette découverte pourrait révolutionner le champ de l’archéologie et donner lieu à une révision de l’histoire antique. La découverte a été publiée dans le livre “Les Secrets de la Porte Souterraine vers un Monde Antique” écrit par Kush.
Après la découverte en 1994 de Gobekli Tepe qui remonte à 12 mille ans et est destinée à réécrire l’histoire du Néolithique, le réseau de tunnels souterrains qui connectent l’Écosse avec la Turquie est également mystérieux.
Une Europe Néolithique plus évoluée qu’on le croit ?
Après la découverte dans quelques parties de l’Europe, comme l’Autriche et l’Allemagne, des tronçons de tunnels creusés dans la roche, dont on présume qu’ils datent du Néolithique, Kusch a déduit qu’autour de 10.000 av. J.-C. “mais le pourquoi de ces tunnels est ignoré, ou, au moins, pourquoi ils ont créé le tunnel qui a uni l’Europe à la Turquie.”
“L’existence d’un tunnel souterrain creusé dans la roche au-dessous du niveau de la mer, il est indéniable qu’il existe quelques tronçons de tunnels qui datent, selon les spécialistes, jusqu’au Néolithique. Les experts considèrent cette architecture du Néolithique comme une forme de refuge pour la population: mais sans conduits d’air ? Et pour se protéger de quoi ?
La taille des tunnels est de 70 cm ; mais, dans quelques endroits, ils sont plus amples et ont des sièges, des dépôts et des pièces : quelle importance devons-nous donner aux légendes qui parlent des édifices sous terre et des personnes qui vivent dans les viscères de la terre ? Les hommes du Néolithique ont-ils pu avoir « imité » les créatures qu’ils ont vu entrer et sortir des grottes ou des entrées occultes ?
La date exacte de construction des tunnels et quelle a été cette civilisation primitive, en plus des outils utilisés il y a douze mille ans pour creuser ce réseau de tunnels, sera vérifiée et confirmée par des géologues.
Merci beaucoup 🙂
Il y a effectivement de plus en plus d’indices qui tendent à nous faire nous poser des questions sur la chronologie de notre histoire archéologique ; ce qui est troublant est que l’hypothèse des 50 dernières années qui privilégiait en gros une éclosion africaine de la préhistoire puis les « débuts » de l’histoire moderne avec l’apparition de l’écriture dans le fameux triangle fertile il y a environ 6000 ans est de plus en plus confrontées à des découvertes qui ne cadrent pas du tout dans leurs datations, où si elles cadrent chronologiquement, elles sont totalement incohérentes car il y a une complète adéquation entre la maîtrise technique époustouflante utilisée et le « niveau » des connaissances que la science officielle décerne à l’époque correspondante.
Nous nous attendons tous à ce que le boulot des scientifiques soit de vérifier ces pistes sans tomber dans la tentation du dogmatisme et à l’attachement aux thèses officielles sur les mêmes bases que les convictions religieuses qui ont montré leurs limites