Reïki : retour critique sur 12 ans de pratique

Reïki : retour critique sur 12 ans de pratique

Reïki : retour critique sur 12 ans de pratique

Un bilan ponctuel de ma rencontre avec le Reïki

Je me décide à exposer l’expérience que j’ai vécue en rapport avec la découverte de la pratique du Reiki. Cela remonte à quelques années, tout d’abord par hasard, j’ai suivi un atelier de présentation puis des sessions d’initiation jusqu’à la maîtrise de la méthode Reiki Usui, du nom de son fondateur, un moine bouddhiste du nom de Mikao USUI (1865 – 1926) qui a fondé le « Reiki » en 1922.

J’ai eu l’occasion de faire de l’auto pratique, de tester la méthode sur des plantes, des animaux et j’ai également eu de très bons résultats auprès de connaissances proches et amis qui m’ont demandé de l’aide.
J’ai eu une première alerte au tout début de ma pratique, par manque d’expérience sans doute je ne me suis pas écouté, en y repensant maintenant, je me dis que j’avais déjà eu une excellente intuition.
C’est une connaissance qui m’a proposé ma toute première rencontre avec le Reiki au Québec,
il prenait des cours et m’a proposé de l’accompagner après que je lui eus fait part de mon intérêt pour cette technique.

Reiki image mon carre de sable

Le premier contact avec le Reiki Usui


Je découvre donc cette pratique de soin, nous sommes plusieurs participants, nous commençons par une séance de méditation puis des exercices suivent, nous expérimentons alternativement sur nos collègues de stage.
Mon tour vient de faire des passes sur plusieurs personnes, je sens très bien les mouvements d’énergie des participants que je « scanne » jusqu’à arriver à la personne qui m’a suggéré de venir et là, gros malaise !
Une sensation très désagréable s’empare de moi au point que j’arrête immédiatement le « traitement », trop malsain…
C’est une personne qui semblait très bien,
nous avions sympathisé avec lui et son épouse ma femme et moi, des gens fort agréables, mais depuis cette séance, une sensation de méfiance ne m ‘avait plus quitté.
Quelques mois plus tard, un scandale est intervenu, il a été confronté à des accusations d’inceste aggravée sur une de ses filles, il a dû quitter la maison familiale avec stricte interdiction de communiquer avec ses filles.

J’ai perdu ma naïveté ce jour-là de penser que les pratiquants de Reïki sont des personnes hors de tous soupçons.
J’ai malgré tout continué dans la voie de l’apprentissage de cette technique, en y découvrant de très bons résultats et des expériences sympas et gratifiantes.
J’ai développé et peaufiné une sensibilité intuitive et même quelques facultés stupéfiantes telle que réussir à voir clairement une entité = l’expérience la plus amusante s’est déroulée chez un couple d’amis dans les Laurentides où nous étions deux sur quatre à la voir …

Mes premiers soupçons à propos du Reïki

Mes réserves ont commencées à apparaître quand je me suis questionné sur le protocole et sur le mode de fonctionnement du Reiki ; en gros, on sait de manière approximative comment ça marche (ou pas), ce qui m’a inquiété a été le fait que le praticien fait appel à une énergie un peu vague qu’il canalise et redirige vers le patient, pour son bien…
Ce point est venu me travailler jusqu’à finir par tarauder mon esprit : comment utiliser une « force » qui a démontré des résultats, c’est vrai, sans toutefois connaître son origine ?

Ensuite, des expériences avec certaines personnes m’ont interpellées, normalement une séance de Reïki sert à nettoyer un corps de ses pépins physiques et psychiques, certaines étaient transparentes mais d’autres m’apparaissaient très lourdes, chargées, encombrées…

J’ai fini par me consacrer uniquement sur des soins physiques, telle qu’une cheville foulée par exemple sans avoir recours à une énergie « hiérarchique » que je canaliserais ensuite. Je me suis senti nettement mieux après ce virage, ce qui m’a convaincu que jouer avec des énergies subtiles et inconnues est hautement risqué autant pour une personne traitée que pour un praticien.

L’autre point qui me fait beaucoup me questionner est la stagnation quasi générale que je constate chez les praticiens Reïki alors que si cette technique était réellement aussi géniale, elle devrait contribuer à l’excellence de ces personnes, au minimum et mieux encore à l’évolution spirituelle de ceux qui l’utilisent régulièrement, or c’est souvent le contraire que je ressens, la plupart d’entre eux exhalent des vibrations souvent basses , des problèmes physiques généralement permanents ou difficiles à résorber et sont souvent engagés dans des situations conflictuelles avec leur entourage, tout un cocktail pas très incitatif à devenir praticien Reiki.
J’ai assisté récemment à un colloque et mes contacts m’ont fait prendre conscience d’une chose (la fréquence de ce que j’ai pu observer dépasse
la statistique, ce qui me fait penser que le problème est sérieux et fréquent) la plupart des praticiens Reiki semblent « aspergés » d’une couche étrange qui ne semble pas leur appartenir en propre, c’était mon ressenti.
J’ai donc fait des recherches et soudain je suis tombé sur des témoignages qui coïncidaient totalement avec ce que j’éprouvais : un intervenant à même identifié ce phénomène d’une bien meilleure manière que moi en le qualifiant d’occupation tel un goa’uld (célèbre dans la série Stargate-SG1) qui est très parlant comme exemple !

Le dernier clou dans le cercueil du Reiki

J’ai eu la chance de connaître une des personnes les plus spirituelle qu’il m’ait été donné de rencontrer dans ma vie, elle se reconnaîtra aisément, elle m’a fait découvrir un monde extraordinaire, au moyen de séance de relaxation et d’exploration – d’introspection au point que j’ai vécu des moments de prise de conscience fabuleux, elle m’a suggéré depuis longtemps que j’avais une voie à explorer dans ce domaine, mais l’ampleur de la tâche surhumaine (c’est le mot juste!) m’a jusqu’à présent foutu une trouille immense tellement cela me suggère de changer totalement de vie !
Et puis, me voilà à un moment précis de cette vie où de grands changements personnels se préparent, le contexte extérieur est également en pleine modification, des bouleversements sont même annoncés en l’espace de quelques mois, sans doute moins d’un an, le temps s’accélère de plus en plus frénétiquement, les hyper-sensibles le ressentent maintenant distinctement.
Ma décision s’est imposée tout naturellement, je ne souhaite vraiment plus faire appel à des techniques qui s’appuient sur des bases inconnues, qui jouent avec des énergies non identifiées d’autant plus que notre connaissance de tous ces mécanismes est très sommaire ; c’est jouer avec le feu, mes recherches m’ont même amené à des hypothèses que des entités « inamicales » pouvaient fort bien emprunter les canaux que nous leur ouvrons spontanément, sans intention de mal faire pour la plupart, mais souvent par ignorance totale ou partielle du phénomène.
Je considère que c’est une question de responsabilité raisonnable que d’abandonner cette pratique, pour ma part, l’enjeu n’en vaut vraiment pas la chandelle

Ou le cierge

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De l’inéluctabilité d’une révolution historique

De l’inéluctabilité d’une révolution historique

L’impact prépondérant de l’activité humaine sur son environnement

Nous vivons dans une société qui se trouve à un moment charnière de l’évolution, sans aucun doute à l’aube d’un épisode critique dans la progression d’une civilisation ; de son développement et de ses choix stratégiques multiples, la détermination du sort de toute l’humanité est intimement intriquée et dépendante et sa survie même est dorénavant engagée tant ces impacts décisionnels seront prégnants sur la destinée de non seulement l’ensemble des civilisations humaines, mais également de toutes les espèces, faune flore et même sur l’impact planétaire dans son ensemble.

Méconnaissance des impacts révolutionnaires dans la destinée humaine

Un grand nombre de personnes pensent que les révolutions n’ont conduit à rien dans le processus de notre évolution, à mon humble avis c’est loin d’être la réalité : il faudrait pour cela avoir une définition claire de ce qu’est une révolution est de quels sont ses résultats dans le temps – et dans l’Histoire – pour en déterminer les bienfaits et par extension affirmer qui sont des bénéfices ou des inconvénients ceux qui ont permis de décider si telle révolution a été un fiasco ou une victoire…
Bien évidemment, on peut se douter que le résultat de cette investigation est aléatoire et sujet à controverse.

Faire une exploration pragmatique et neutre des mouvement révolutionnaires

Il ne faut bien sûr pas faire l’erreur fréquente de figer un épisode précis dans le temps et dans l’histoire pour en émettre un jugement partiel (et surtout a posteriori), en plus que d’avoir une vision trop partielle du déroulement des événements, des forces en présence et de la chronologie de l’ensemble dans son contexte historique.

Des exemples concrets :

Sujet assimilé : La révolution néolithique

Sans doute une des première révolution des civilisations humaines documentée. C’est la période qui a entraîné le passage du nomadisme et de l’itinérance des tribus de chasseurs cueilleurs vers une organisation sédentaire notamment avec la découverte de l’agriculture et de la domestication: ce changement de paradigme a entraîné un bouleversement de la société en imposant des spécialisations tels que des cultivateurs, des soldats, des bâtisseurs, etc.
Ces bouleversements sont communément acceptés comme représentant un bond civilisationnel de l’humanité, ce qui fait que cette révolution n’a pratiquement aucun détracteur tellement ses effets font partie intégrante de notre façon de fonctionner et est encore la manière basique de vivre à notre époque.

sujet typique de discorde : la Révolution française

La révolution française est un exemple de ce relativisme qui permet autant aux défenseurs de ses acquis de mettre en valeur par exemple la disparition de la Royauté absolue au profit d’une monarchie « affaiblie » chapeautée par une Assemblée constitutionnelle, de la suppression des avantages indécents de la classe constituée par la noblesse. Les détracteurs avanceront par contre que ce bouleversement aura permis à terme d’instaurer une nouvelle société dans laquelle la bourgeoisie finira par prendre l’ascendant et remplacer les nobles ayant été écartés de force : la nature ayant horreur du vide.
Selon la période de référence choisie, on assiste à un jugement différent selon qu’il est choisi l’époque de la Terreur, de Napoléon, de la restauration, du Premier empire, de la Commune, …
À mon sens, un élément déclencheur important a été la confrontation entre les Girondins et les Jacobins, à notre époque encore (et sans doute plus que jamais) c’est la conception centralisée de l’organisation de l’État qui est le modèle incontournable de fonctionnement de nos institutions.
En résumé, on peut toutefois en conclure que cette révolution a permis d’édicter la fameuse Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen que beaucoup de démocraties nous ont emprunté par la suite, il est également important de mentionner que ce XVIII° siècle est un véritable creuset de révolutions, en tout cas d’un mouvement de réformes sociétales qui ont profondément bouleversé nos sociétés.
À ce titre, « l’atmosphère révolutionnaire » a constitué un ferment – un chélateur – prépondérant pour l’évolution des mentalités des sociétés humaines.

Il est évident que la révolution française reflète le noyau idéologique de ce qui constitue l’inconscient collectif de la citoyenneté française, mais il existe d’autres révolutions qui ont affecté d’autres franges de notre humanité.


Sujet assumé La révolution industrielle

C’est une révolution sociale qui a vu des bouleversements majeurs dans l’organisation du travail en instaurant l’automatisation des moyens de fabrication et de production, la généralisation du statut de salarié et à terme l’apparition de stratégies d’automatisation comme le taylorisme et le développement de théories sociologiques réactionnaires pilotées par Marx et Engels…

Un des élément déclencheur a été l’invention de l’imprimerie qui a « délivré » l’homme de l’artisanat : en automatisant un processus de fabrication, on permettait de reproduire un artefact en série.
Les conditions de vies souvent sordides des travailleurs à la fin du XIX° décrite en Angleterre ou dans les roman de Zola on fait douter un grand nombre de penseurs qu’encore une fois cette révolution n’a pas délivré les trésors qu’elle avait suggéré à son origine qui était de libérer les hommes du fardeau du travail harassant, l’ère des lendemains qui chantent étaient vantés partout dans les pays en voie d’industrialisation, avec les excès qu’on a connus.

 

Sujet vécu comme une épopée, ou une fatalité : La révolution technologique

Je fais partie d’une génération qui est née avant l’arrivée d’Internet, des téléphones intelligents, celle des disques vinyles et des cassettes audios…
J’ai vu naître les balbutiements de l’informatique avec les premiers jeux de ping-pong électronique, les premiers Pac Man, son envol hallucinant et toute l ‘émergence des technologies ces dernières années !

L’Intelligence artificielle arrive elle aussi à des frontières hallucinantes, les ordinateurs battent maintenant les maîtres aux échecs, au jeu de go ; dernièrement deux ordinateurs ont communiqué entre eux dans une langue que les ingénieurs n’ont pas pu décrypter …
Les progrès fulgurants réalisés dans tous ces domaines devraient nous faire jubiler si cela n’éveillait toutefois une certaine crainte diffuse dans l’esprit de certains, des réserves souvent avancées par des philosophes soutenant que les découvertes en médecine, informatique, technologie , …, devraient être supervisées par des penseurs, des conseils de sages, un peu sur le même mode de fonctionnement des civilisations primitives tels que les guerriers consultaient les anciens avant de prendre des décisions.
Je pense que les révolutions ont toutes apporté leurs lots d’évolutions qui répondaient toutes à un irritant au moment ou elles se sont exprimées. Une fois le problème réglé temporairement, les changements de paradigme ont entraîné de nouveaux changements jugés nécessaires. Les comportements humains et les divers intérêts individuels font toujours en sorte que des pressions immenses s’appliquent sur tous les paliers de fonctionnement des sociétés et ce avec plus de rapidité que nos sociétés se complexifient.
Nous en sommes arrivé à un point ou notre organisation et son administration est devenue si complexe que plus aucun citoyen n’est capable d’en maîtriser toutes les arcanes ; ce qui entraîne une vaste distanciation sociale qui s’illustre souvent par une implication totalement désintéressée, d’autant plus que l’individualisme est de plus en plus omniprésent chez les individus.
Dès lors, il est probable que la déliquescence des valeurs républicaines à laquelle nous assistons actuellement ne correspond qu’à un début et il est fort à parier que cela pourrait s’accentuer.
Les risques de révolution s’éloignent inexorablement à moins que des événements exceptionnels et se développant internationalement avec suffisamment de colère et d’indignation ne viennent créer un mouvement dont les conséquences risquent de s’avérer extrêmement graves

Les impacts des révolutions ne doivent pas – ne peuvent pas – être négligées, les différences de lecture de leurs impacts sont directement reliées à notre façon de considérer leurs réalisations et donc, d’une manière en grande partie subjective.
Les grandes révolutions bolivariennes (ou idéologiques telles que les russes et chinoises par exemple) sont interprétées parfois à l’opposé selon la sensibilité politique de celui qui les examine, nous sommes donc en présence d’une situation où l’objectivité, à un moment donné reste à la porte de toute narration.

Quelle sera la prochaine révolution de l’humanité ?

« Le XXIe siècle sera spirituel ou ne sera pas. »

André MALRAUX (1901-1976), La Légende du siècle (1972)

Il sera à nous de décider de ce que nous souhaitons pour nos enfants, mais il apparaît déjà que la tâche sera lourde.
Nous devons faire face à une démobilisation générale de la population, aggravé par un individualisme latent et également par une stratégie générale de communication qui se mondialise de plus en plus

 

Alerte sur le forçage génétique

Alerte sur le forçage génétique

ATTENTION : INFORMATION IMPORTANTE : Actualisé le 15 decembre 2020: Nouvelles dates – Du 3 au 11 septembre 2021 à Marseille L’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) et le gouvernement français ont convenu d’organiser le Congrès mondial de la nature de l’UICN 2020 du 3 au 11 septembre 2021 à Marseille. Le congrès mondial a été reporté en raison de la pandémie de Covid19 :

https://www.iucn.org/fr/a-propos/congres-mondial-de-la-nature

Bioéthique : la technique de forçage génétique : 16 Associations lanceuses d’alertes appellent à son interdiction !

Je n’ai pas l’habitude d’adopter une attitude de lanceur d’alerte, mais je vais faire une exception cette fois-ci en formulant ici une invitation à l’action très urgente !!! 

La situation est effectivement préoccupante au plus au point, jamais l’humanité n’était arrivée aussi proche de risques majeurs et de dégradation potentiellement accélérés de notre environnement et, accessoirement, à une sévère dégradation de notre environnement planétaire et de la condition même de la vie sur notre planète. 

Les données du problème sont à la fois simples et complexes : il est devenu possible depuis quelques années de modifier génétiquement l’ADN des végétaux (maïs transgénique, soja, coton, pastèques sans pépins,…) nous connaissons moins les expériences faites sur les animaux (bovins pour favoriser des caractères bien plus aptes à la consommation, modification pour obtenir + de 75% de mâles, les huîtres quadriploïdes, etc) la phase qui est en place depuis peu est tout simplement cataclysmique !!!
Des multinationales – Monsanto-Bayer en chef de file – veulent imposer la technique de forçage génétique qui consiste à modifier la structure génétique de quelques individus ciblés d’une espèce = par exemple de rendre les abeilles insensibles aux pesticides Monsanto en rendant ces modifications transmissibles sans exception aux héritiers de ces insectes : le tableau est facile à saisir, en l’espace de quelques années tous les individus de cette espèce auront intégré les modifications génétiques artificielles des précurseurs 


Les risque inhérents sont de deux ordres : 

  • les modifications (bidouillages) dans  les codes génétiques des êtres vivants ne sont pas totalement maîtrisés par les scientifiques ce qui suscite de forts soupçons de dérives et de catastrophes provoqués par des apprentis sorciers qui seront à la solde de multinationales, spécialisées dans l’enrichissement personnel, leur but étant seulement financier. 
  • Il existe à ce jour + de 500 brevets de techniques de forçages génétiques qui sont enregistrés au bureau de la Propriété Intellectuelle = le constat est simple, les multinationales posséderont les animaux qu’ils auront génétiquement modifiés ainsi que toute la descendance qui recevra les caractères récessifs d’une manière inéluctable. 

Quand on se dit qu’une Société comme Monsanto aura tous les droit de propriété des abeilles par exemple, on peut se préoccuper à juste titre que nous perdons quasiment tout pouvoir sur notre destinée !

Ces multinationales font un lobbying effréné auprès des instances internationales et de l’Union européenne pour mettre en place plusieurs projets et pour obtenir une exonération de responsabilités illimitées eu égard aux conséquences « négatives » des manipulations qui pourraient advenir : c’est dire qu’ils veulent se prémunir par anticipation ce qui m’inquiète énormément…
À ce titre, consulter : Le site d’actualité bioéthique : GÈNÉTHIQUE et cet excellent article en date du 27 juillet 2020 :

 

En septembre 2021 va avoir lieu une réunion capitale à Marseille

Le Congrès mondial de la nature

Organisé tous les quatre ans, le Congrès mondial de la nature de l’UICN rassemble plusieurs milliers de leaders et décisionnaires issus de gouvernements, de la société civile, des peuples autochtones, du monde des affaires et du milieu universitaire, dans le but de préserver l’environnement et d’utiliser les solutions que la nature apporte pour relever les défis actuels de notre planète.

En Janvier 2021 il va avoir lieu à Marseille : voir les précisions sur le site de l’UICN = https://www.iucn.org/fr/a-propos/congres-mondial-de-la-nature

Je vous propose donc aujourd’hui solennellement d’agir pour le bien du Vivant en faisant ces deux démarches :

1= visionner le vidéo de l’Organisation Politis et si vous considérez comme moi qu’il y a péril en la demeure

2= de participer à sa pétition pour tenter de bloquer toutes les actions de pression qui sont opérées par ces puissantes multinationales pour développer leur technologie qui dessert uniquement l’intérêt de leurs actionnaires en vous rendant sur la page de POLITIS :

EN CLIQUANT SUR CE LIEN J’ARRIVE DIRECTEMENT SUR LA PAGE DE SIGNATURE DE LA PÉTITION 

Voilà la vidéo – très explicite –

 

 

synthèse de presse bioéthique

Cosmo, un veau mâle génétiquement modifié afin que « 75 % de sa progéniture soit mâle » a vu le jour en avril à l’université de Californie Davis. « Dans l’industrie de la viande, les mâles sont préférés aux femelles car ils sont plus lourds et 15% plus efficaces pour convertir les aliments en masse corporelle ».

Alors qu’il était un embryon, les chercheurs « ont inséré un gène appelé SRY dans le chromosome 17 » du veau en ayant recours à l’outil d’édition du génome CRISPR. Un gène connu pour induire un « développement mâle ». « Les descendants de Cosmo qui hériteront de ce gène SRY grandiront et ressembleront à des mâles, qu’ils héritent ou non d’un chromosome Y », explique Alison Van Eenennaam, généticienne animale au département des sciences animales de l’université de Californie Davis. Ainsi, la moitié de sa descendance sera constituée de mâles dotés de chromosomes XY, mais « un quart supplémentaire sera génétiquement constitué de femelles (XX) qui hériteront du gène SRY et grandiront en tant que mâles ». Le reste de sa progéniture sera des femelles, sans le gène SRY.

Le veau qui « entrera dans un programme d’élevage dans 12 mois » transmettra la modification génétique à sa descendance. Et « sa progéniture sera alors analysée pour voir si la présence de SRY sur le chromosome 17 est suffisante pour déclencher un développement mâle chez les animaux qui sont XX ». Mais « les animaux issus de sa lignée ne serviront pas à l’alimentation humaine », Cosmo étant une « créature purement expérimentale » à ce stade.

En France, dans une lettre ouverte au premier ministre, 16 organisations[1] demandent « l’interdiction de la production, de l’utilisation et de la dissémination de tout OGM issu du forçage génétique ». Cette technique « est une nouvelle manière d’utiliser la transgénèse en l’accompagnant d’un contournement des lois de l’hérédité via CRISPR, une technique récente de modification génétique d’un organisme – animal sauvage ou domestique (insecte, oiseau, mammifère, etc.) et à terme, certaines plantes » explique le document. Une modification qui « pourra ainsi se propager en quelques générations à l’ensemble d’une population, voire à toute une espèce » précisent les organisations.

« Les risques posés par cette ingénierie du vivant sont inédits, partiellement connus, et potentiellement catastrophiques pour l’environnement : éradication d’espèces entières, modifications irréversibles d’équilibres naturels, interactions imprévues entre constructions génétiques forcées et naturelles… Sans parler d’usages involontaires ou malintentionnés (destruction de récoltes, usages militaires…) » alertent-elles. « Aujourd’hui, les tests sont effectués en laboratoire sous la menace constante de fuites accidentelles dans l’environnement. Mais déjà la pression des firmes de la biotech est forte pour que des essais soient menés ″grandeur nature″ et que des organismes issus du forçage génétique soient lâchés dans les écosystèmes, indiquent les signataires de la lettre. Au nom du principe de précaution, nous demandons donc à la France de se prononcer pour une interdiction de tout OGM issu du forçage génétique. »

D’après Gènéthique « Premier site d’actualité bioéthique » = FORÇAGE GÉNÉTIQUE : 16 ASSOCIATIONS APPELLENT À SON INTERDICTION

En septembre 2021, la France accueillera (à Marseille !) « le Congrès mondial de la nature organisé par l’IUCN, événement qui n’a lieu que tous les 4 ans, à l’issue duquel ses membres seront appelés à définir une position commune sur les OGM issus du forçage génétique ».

[1] =  Les Amis de la Terre, Ayni, le Centre international de droit comparé de l’environnement (CIDCE), la Confédération paysanne, le Comité de recherche et d’information indépendantes sur le génie génétique (CRIIGEN), Demeter, le Collectif des Faucheurs volontaires d’OGM, Foll Avoine, France Nature Environnement (FNE), le Groupe international d’études transdisciplinaires (GIET), le Mouvement de l’agriculture biodynamique (MABD), Noé, OGM Dangers, l’Office pour les insectes et leur environnement (OPIE), POLLINIS et Sciences citoyennes

Sources :

Le site d’actualité bioéthique : GÈNÉTHIQUE et cet excellent article en date du 27 juillet 2020 :

À voir en urgence = Polinis org Alerte sur le faorçage génétique : https://vimeo.com/441110096

Daily Mail, Joe Pinkstone (24/07/2020) – Sciences Citoyennes (24/07/2020)

Pour aller plus loin :

Avis du CCNE sur les modifications ciblées du génome : « La société devrait définir le monde qu’il serait souhaitable de léguer aux générations futures »

Le rapport complet du Groupe ETC « Le forçage génétique sous influence » est disponible en anglais, en français et en espagnol sur www.etcgroup.org/content/driving-under-influence

Premier lâché de moustique génétiquement modifié au Burkina Faso

Le gene-drive financé par l’armée américaine et soutenu par la fondation Gates

ETC GROUP : Le rapport de l’agence mondiale pour la conservation sur le biologie synthétique et le forçage génétique a-t-il été truqué ?

LES 7 PROGRAMMES DU COMITÉ FRANÇAIS DE L’UICN

Crédit photo : Kadres de Pixabay

Parler avec amour

Parler avec amour

Parler avec amour

Quand parler avec amour fait en sorte que nos mots restructurent littéralement notre cerveau

 

Les mots que nous choisissons d’utiliser peuvent littéralement changer la configuration de notre cerveau !

 

Le Dr Andrew Newberg, neuroscientifique à l’Université Thomas Jefferson, et Mark Robert Waldman, un expert en communication, ont collaboré à l’ouvrage «Les mots peuvent changer votre cerveau» (malheureusement à ma connaissance pas traduit en français – j’ai donc mis un lien sur l’ouvrage originel en langue anglaise «Words Can Change Your Brain » plus bas dans le texte). Ils y écrivent: «un seul mot a le pouvoir d’influencer l’expression des gènes qui régulent le stress physique et émotionnel

 

Peace and Love !

Lorsque nous utilisons des mots remplis de positivité, comme «amour» et «paix», nous pouvons modifier le fonctionnement de notre cerveau en augmentant le raisonnement cognitif et en renforçant quelques zones spécifiques de nos lobes frontaux. Utiliser des mots positifs plus souvent que des mots négatifs peut relancer les centres de motivation du cerveau et les engager à l’action.

À l’opposé du spectre, lorsque nous utilisons des mots négatifs, nous empêchons la production de certaines substances neurochimiques salutaires qui contribuent à la gestion du stress. Chacun de nous est initialement programmé pour se préoccuper de sa survie avant tout ; c’est ainsi que notre cerveau primitif nous protège des situations dangereuses pour notre intégrité.

 

Les mots façonnent litéralement notre structure cérébrale !

 

Ainsi, lorsque nous nous autorisons à employer des mots et des concepts négatifs dans nos pensées (et nos intentions!), nous augmentons l’activité dans le centre de la peur de notre cerveau (l’amygdale), et provoquons des hormones productrices de stress qui se propagent dans notre système. Ces hormones et neurotransmetteurs interrompent les processus logiques et de raisonnement dans le cerveau et inhibent la fonctionnalité normale de notre corps.
Newberg et Waldman écrivent: «Les mots de colère et d’angoisse génèrent des messages d’alarme à travers le cerveau et ils ferment partiellement les centres de logique et de raisonnement situés dans nos lobes frontaux.»

Un extrait de leur livre nous explique comment l’utilisation des * bons * mots – d’un vocabulaire mieux adapté – peut littéralement changer notre réalité :

«En sélectionnant un mot positif et optimiste dans notre esprit, nous stimulons l’activité du lobe frontal. Cette zone comprend des centres de langues spécifiques qui se connectent directement au cortex moteur responsable de notre passage à l’action et comme nos recherches l’ont démontré, plus nous nous concentrons sur des mots positifs, plus nous contribuons facilement à affecter favorablement d’autres zones du cerveau.

Les fonctions du lobe pariétal commencent à changer, ce qui change notre perception de nous-même et des personnes avec lesquelles nous interagissons. Une vision positive de nous-même nous incitera à voir le bien chez les autres, tandis qu’une image de soi négative nous entraînera plutôt vers le doute et la suspicion. Au fil du temps, la structure de notre thalamus changera également en réponse miroir à nos paroles, pensées et sentiments conscients et nous pensons donc (les auteurs !) que les changements thalamiques affectent la façon dont nous percevons la réalité. »

Démontré par des études de psychologie

Une étude réalisée par Positive Psychology approfondit davantage les effets de l’utilisation de mots positifs. Un groupe d’adultes âgés de 35 à 54 ans a été chargé chaque soir d’écrire trois choses qui se sont bien passées pour eux ce jour-là, y compris de justifier pour quelle raison ils avaient cette opinion. Les trois mois suivants ont montré que leur degré de bonheur continuait d’augmenter et que leurs sentiments de dépression continuaient de décliner. En nous concentrant et en réfléchissant sur des idées et des émotions positives, nous pouvons améliorer notre bien-être général et augmenter la fonctionnalité de notre cerveau.

Sur quels mots choisissez-vous de concentrer votre énergie ? Si vous remarquez que votre vie n’est pas suffisamment pourvue de marge de progression quant à l’emploi de mots plus positifs, essayez d’emporter un journal avec vous pour savoir à quelle fréquence vous utilisez des mots négatifs. Vous pourriez être surpris de découvrir à quel point la solution pour accéder à une vie meilleure est simple : changez vos mots, changez votre vie.

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Les mots peuvent changer votre cerveau

Words Can Change Your Brain: 12 Conversation Strategies to Build Trust, Resolve Conflict, and Increase Intimacy (Anglais) Broché – 26 juin 2014

Une traduction de l’article paru sur le site Everyday Health, le 12 août 2013

« Words Can Change Your Brain » By Therese Borchard For Sanity Break August 12, 2013

https://www.everydayhealth.com/columns/therese-borchard-sanity-break/420/

Autres sources :

Sharp Brains :

https://sharpbrains.com/blog/2012/07/09/how-do-words-such-as-yes-and-no-change-our-brains-and-lives/

Autres sources (suite) : ATTENTION AUCUN DE CES SITES N’EST SÉCURISÉ HTTPS, je n’inclus donc pas les liens à cliquer directement

Le lien de Spirit science . Net =

« Speak With Love: How Your Words Literally Restructure Your Brain »

Les sites internet des deux auteurs en .com

andrewnewberg et markrobertwaldman

Après Covid-19

Après Covid-19

Après Covid-19

« Après le coronavirus, il y aura des changements profonds, c’est la règle »

Boris Cyrulnik

Cette pandémie me fait profondément réfléchir, bien sûr je pense aux risques de peine et de tragédies qu’elle suscite et qu’elle a déjà (trop) provoqué partout dans le monde.


Je n’arrive pas à déterminer s’il n’y a pas une surenchère morbide de la part des dirigeants dans un but quelconque, il est certain que ça ferait l’affaire de beaucoup d’entre eux que les citoyens soient dociles, craintifs et soumis à la hiérarchie dans une posture servile qui permettrait de les diriger et de les manipuler aisément au gré des intérêts des puissants de ce monde.

À plusieurs niveaux nous avons pris conscience que notre modèle de société tel qu’il a évolué ces dernières décennies n’est plus viable, tous les indices soulignaient des alertes qui allaient crescendo, l’environnement se dégradait dangereusement, l’économie et la finance mondiales étaient entrées dans une spirale incohérente et les marchés s’affolaient malgré les tentatives de rassurer les épargnants et les consommateurs ; le climat social s’en trouvait éminemment bouleversé avec tous les conflits sociaux violents qui ont émaillés l’actualité de plusieurs pays, sur tous les continents et ce, de plus en plus fréquemment.

Ce climat de morosité ambiante se répand inexorablement à travers toutes les couches de la société en provoquant une atmosphère de plus en plus tendue qui a pour effet d’attiser les rivalités inter-sociales et inter-ethnoculturelles, phénomènes qui tend à s’accentuer dans les milieux de vie les plus modestes, à fortiori si on se rapproche des classes démunies. Ce constat demeure bien évidemment très général et il comporte fort heureusement de bien belles exceptions qu’il faut souligner pour tout l’espoir que cela suscite…

(more…)

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Boris Cyrulnik « Le confinement est une agression psychique »

« Après le coronavirus, il y aura des changements profonds, c’est la règle »

Boris Cyrulnik :

Le neuro-psychiatre a répondu à Ali Rebeihi dans l’émission « Grand bien vous fasse » consacrée à l’épidémie. Il a expliqué comment nos sociétés peuvent résister à cette crise et devenir résilientes.

On doit s’adapter à une agression invisible. L’évolution humaine ne se fait que par crises. Après cette crise, la famille et le couple redeviendront des havres de paix.

BORIS CYRULNIK : « Les crises sont très fréquentes dans la condition humaine. Il y a eu des périodes de glaciation où il a fallu s’adapter en augmentant la chasse. Et pendant les périodes de réchauffement, il a fallu augmenter l’agriculture. On a déjà connu beaucoup d’épidémies qui ont contraint à des révolutions culturelles, à de l’adaptation. »

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