Sujet controverse totale : la mémoire de l’eau

Sujet controverse totale : la mémoire de l’eau

Débat concernant  la mémoire de l’eau

Alors qu’en physique, un pas décisif vient d’être franchi avec la redécouverte cent ans plus tard de la réalité des ondes scalaires (ondes gravitationnelles), qu’au départ les scientifiques n’ont pas voulu valider ni reconnaître parce qu’on ne savait pas comment les mesurer, il y a encore une solide opposition des chimistes et biochimistes par rapport aux résultats concernant autant les travaux de Benveniste que ceux de Montagnier qui reprend globalement les conclusions de Benveniste sur la mémoire de l’eau.

Vive polémique de l’eau

La polémique est plus vive que jamais, principalement sur les difficultés techniques à reproduire les protocoles des expériences scientifiques ayant conclus aux résultats initiaux qui bouleversaient littéralement l’approche traditionnelle.
Bien sûr, tous les grands bouleversement scientifiques ne sont jamais accueillis de prime abord avec un enthousiasme débordant, ce qui est somme toute une bonne nouvelle pour justement éviter des erreurs dommageables en cours de route, mais qui ont souvent des effets retardateurs quand il s’agit de réformer le consensus scientifique autour de vérités qui sont finalement contredites avec le temps et avec l’accumulation des présomptions qui pour certaines finissent par devenir des preuves avant d’être incorporées à la théorie scientifique officielle.

Polémique de l’eau et physique quantique

Je ne peux m’empêcher de voir des similitudes entre « la mémoire de l’eau » et l’acceptation progressive des particularités étourdissantes de la physique quantique ; juste un exemple : il est maintenant assuré qu’une particule quantique peux se trouver dans une multitude de lieux ce qui a donné naissance à la théorie du chat de Shrödinger qui est à la fois mort et vivant : il faut avouer que c’est un concept totalement contre-intuitif, tout comme l’apparaît encore la théorie de la communication des molécules d’eau … 

Les sciences biologiques entrent dans le nouveau paradigme de l’information et des communications. Entouré de chercheurs comprenant des physiciens et des biologistes, Luc Montagnier a publié dans la revue Water (disponible aussi dans les arXiv) un article expliquant comment la molécule d’eau est capable de transmettre un signal entre un petit fragment d’ADN et l’enzyme Taq capable de lire la séquence des bases d’ADN et d’en faire de multiples copies.

La mémoire de l’eau est la source d’un torrent de controverse

La mémoire de l’eau, ce n’est pas de la chimie, c’est de la physique !!!

Sur la suggestion d’un fidèle lecteur du site et d’un soutien précieux et constant, Jean-Yves Dolveck, je partage cette vidéo très intéressante :

Cette théorie représente une menace directe pour les intérêts financiers liés à la santé et son épistémologie.

Le problème dans ce dossier est que ce sont justement les chimistes qui contestent les résultats alors qu’il est bien souligné que l’on a pas affaire au domaine de la chimie mais à celui des la physique et des ondes électromagnétiques, comme dans le processus accordé à l’homéopathie par ses partisans.

La grande inertie, opposition, méfiance vis à vis de ces hypothèses réside un peu également dans le fait que les compagnies pharmaceutiques qui vivent de la médecine allopathique et de l’efficacité des médicament par contact direct de la molécule active avec les cellules, risque tout simplement de perdre leur utilité si ce fait était avéré ; d’où des enjeux majeurs impliqués !!!

Risques de conflits d’intérêts majeurs très élevé

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