Songe d’une tornade : J’ai fait cette nuit un rêve étrange et pénétrant….
Un Songe d’une tornade d’autant plus étrange que certains éléments préoccupants apparaissaient pour la seconde fois dans mon espace onirique en l’espace de 2 ou 3 semaines….
Songe d’une tornade : Un avertissement d’un danger immédiat !???
Songe d’une tornade, quelle symbolique universelle ?
Je penserais à priori que la symbolique est reliée aux vents, à l’élément Air, à tous ce qui concerne l’intellect. L’âme étant plus liquide, plus humide…
Cela dit, mon rêve (cauchemar ?) me faisait voir une formation nuageuse qui se créait de façon très rapide ; comme cela est typique dans l’apparition d’un cyclone ou d’une tornade…. Les nuages étaient noirs et avaient une activité intense ; comme s’ils étaient en ébullition !
Songe d’une tornade : les circonstances
Je me trouvais dans un genre de centre commercial comme il en existe en Amérique du Nord. Une galerie commerciale, mais plutôt dans la partie « back office », pas la partie publique, en tout cas, c’est l’impression que j’en ressentais…
J’avais accès à l’extérieur et en sortant, j’ai tout de suite remarqué cette accumulation nuageuse, noire et extrêmement active, typique d’une forte activité anticyclonique assortie d’une dramatique baisse de température…
C’est alors que j’ai vu se former la silhouette typique du cône de la tornade. Rapidement elle se dirige vers nous et des consignes d’urgences sont émises d’un peu partout tout le monde doit se protéger, rentrer, se barricader ! J’arrive à me sauver tant bien que mal, m’étant trouvé à l’intérieur de l’œil du cyclone , j’ai ressentis les effets de façon très intense, comme si je les vivais vraiment !
Songe d’une tornade : les rebondissements
Enfin, l’apaisement succède à la tempête et à la peur et à la crainte et à la certitude que tout va s’arrêter là, emporté par les terribles éléments qui balaient tout sur leur passage, le calme surgit enfin ! La délivrance…
Mais tout à coup, catastrophe !
à peine remis de notre terreur, nous faisons le bilan des pertes et des dégâts, je reconnais un ancien collègue de travail avec qui j’ai collaboré dans la restauration au Québec, Français lui aussi, Jacques, nous prenons les premières mesures et tentons d’évaluer l’étendue des dégâts. Mais, alors que le ciel s’était éclairci, soudain, tout redevient noir et menaçant et au loin déjà se forme une deuxième tornade.
Nous avons à peine le temps d’aller nous cacher à nouveau qu’elle submerge le lieu où nous nous trouvons ; c’est terrifiant : le choix que nous faisons dans notre mode de protection est totalement aléatoire : certains se font emporter alors que d’autres qui se situent à quelques mètres sont préservés miraculeusement.
Songe d’une tornade l’épilogue…
Le calme revient, mais il est de très courte durée. Une autre et une autre encore et à chaque fois la même incertitude. La même peur de mourir qui finalement s’apaise avec la répétition des passages qui sèment la mort et la désolation. Comme si le caractère aléatoire avec lequel nous étions frappé rendait notre vie, notre survie quasiment indifférente … Quand le calme définitif est enfin arrivé, un Grand Calme, tous étaient sereins, heureux de n’être pas morts…
mais sans joie ostentatoire !
Nous avons tous compris que ni le panache, ni le courage, ni la réflexion, ni l’intelligence n’étaient à l’origine de notre survivance…
Seul le pur Hasard s’est révélé à nous à posteriori. L’humilité rêgne partout, en Maîtresse absolue
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