Ondes gravitationnelles : du nouveau !
Il y a eu aujourd’hui un effet d’annonce concernant la découverte de la première manifestation avérée et de l’observation des effet de ces ondes, mais, à qui revient la paternité de la découverte
Ondes gravitationnelles : prédite par Einstein, on les détecte pour la 1ère fois !
Des ondes gravitationnelles : une « vibration de l’espace-temps » prédite par Albert Einstein, pour la première fois, ont été détectées ! Un événement majeur, le dénouement de plus d’un siècle d’effort, que la revue Nature devrait annoncer le jeudi 11 février 2016
Je reproduit ici un extrait de l’article que le magazine « Science et Avenir » vient de consacrer à cet événement médiatique :
(mais lisez-moi tout de même jusqu’à la fin avant, ça en vaut la peine.)
Or, qu’en est-il de cette histoire des ondes scalaires, autre nom plus actuel des ondes gravitationnelles ?
En fait, la première personne à avoir détecté l’existence de ces ondes n’est pas Albert Einstein mais, bien avant lui un autre génie, celui là méconnu du grand public : Nikola Tesla!
Alors, pour quelles raisons n’est-ce pas lui qui, aujourd’hui reçoit les hommages de la communauté scientifique au grand complet ? Les raisons en sont simples et navrantes d’ailleurs pour le bien et le confort de l’humanité qui n’ont pas profité des ses »lumières ».
Le fait est que cet inventeur, auteur de dépôt d’un peu plus de 700 brevets d’inventions est considéré comme un paria de la science et un exclu du monde restreint des scientifiques, ce n’est pourtant pas du fait que l’on puisse le soupçonner d’être un charlatan ou un incompétent, c’est plutôt un surdoué immense et insupportable qui l’a d’ailleurs rendu insupporté par ses collègues.
Tesla isole les ondes gravitationnelles dans les années 1890
Vers la fin des années 1890 il identifie, en travaillant sur une de ses inventions : la bobine à induction »Tesla » il observe pour la première fois le phénomène des ondes gravitationnelles!
« Expérimentées par Tesla »
« Nikola Tesla (1856-1943) fut le premier expérimentateur des ondes scalaires : ses bobines à induction (les fameuses non prévues par les équations canoniques de Maxwell. « Dès 1896, rapporte le chercheur indépendant Jean-Marc Roeder, Tesla avait observé des pertes de masse et d’inertie d’objets de son laboratoire soumis aux ondes scalaires en phase (ou en résonance synchrone, si vous préférez) à très basse fréquence (6 Hz) émises par ses bobines Tesla. » C’est pourquoi ces ondes ont aussi parfois été nommées « gravitationnelles ». «
Le mot « scalaire », quant à lui, désigne justement le nombre qui sert à décrire une onde aux valeurs variables, par contraste avec une onde hertzienne, dite vectorielle. Ce qui revient à dire qu’on ne reconnaît pas de vecteur ou de support aux ondes scalaires. C’est pourquoi certains chercheurs, emboîtant le pas à Nikola Tesla, sollicitent l’éther, le fameux élément primordial dont procèdent les quatre autres (air, feu, eau et terre), pour expliquer les propriétés non conventionnelles des ondes scalaires (et l’énergie d’origine inconnue qu’elles peuvent mobiliser). Ce qui explique aussi l’embarras des physiciens, puisque l’éther, en partie à cause d’Einstein, a été rejeté par la science officielle, à la suite des expériences de Michelson et Morley, qui, bien qu’étant parfois considérées comme insuffisantes voire incohérentes, ont été retenues parmi les fondements de la physique et de l’électromagnétisme modernes. Les équations de James Clerk Maxwell (1873), autre fondement de l’électromagnétisme moderne, seraient, elles aussi, insuffisantes. Elles ne décrivent, explique Meyl, que les ondes transversales, et non les ondes longitudinales. Il rejoint ici Thomas Bearden, le spécialiste américain de Tesla et des ondes scalaires, qui pointe les modifications infligées aux équations de Maxwell « afin de décrire exclusivement cette partie du flux d’énergie que les circuits physiques étaient conçus pour capter et utiliser », éliminant ainsi « l’énergie qui pouvait être extraite à partir du vide ». C’est pourquoi les ondes scalaires ont été aussi peu étudiées jusqu’à présent. »
Ce n’est qu’en 1905 qu’Einstein publie sa théorie restreinte
En 1905, ces dates sont importantes pour comprendre l ‘enjeu, Albert Einstein publie les résultats de sa théorie de la relativité restreinte, pourquoi restreinte, c’est parce qu’elle ne tenait compte que des mesures physiques retenues par la science officielle, celle-là même qu’Einstein avait influencé pour ne tenir compte que de certains aspects, notamment seulement des études des ondes transversales, ignorant donc sciemment les ondes gravitationnelles qui ne rentraient pas dans sa théorie.
C’est 10 ans plus tard, en 1915 – Einstein aura eu le temps de revoir sa copie et d’intégrer la notion de l’existence des ondes gravitationnelles – et HOP ! Magie : « les ondes scalaires existent et vous verrez, nous les observerons un jour ! » Bien sûr, on ne peut pas l’excuser de n’avoir pas eu connaissance des travaux de Tesla sur ce sujet commun puisqu’il les a combattu avec véhémence.
Einstein a utilisé le futur pour faire cette prévision, mais on sait qu’il savait maîtriser parfaitement le temps et l’espace (et aussi sa distorsion !), il venait une nouvelle fois de le démontrer !
L’ego humain, lui, ne subit ni la gravité, ni l’apesanteur ni la relativité générale, pas même la restreinte.
Dommage pour l’humanité. Ceci-dit, j’en revient à mon questionnement originel : cette découverte soulève également tous les effets dont avait parlé Tesla à propos des ondes gravitationnelles, les effets sont primordiaux sue la santé, la physique quantique mais aussi l’énergie libre, propre et gratuite, la transmission d’information psychique instantanée et bien d’autres, ce sujet me passionne, d’autres articles sont en préparation.
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