LES 7 ÉTAPES DU DEUIL – Physique, professionnel ou social

LES 7 ÉTAPES DU DEUIL – Physique, professionnel ou social

Le cerveau humain est un organe extraordinaire ; bien sûr, les recherches scientifiques ont permis de comprendre énormément de choses à son sujet, surtout depuis les récentes avancées technologiques de ces 30 dernières années. 

Le mot deuil vient du bas-latin dolus (« douleur »), par l'ancien français duel (« douleur », « affliction causée par la mort de quelqu'un »)1. D'une manière générale, le deuil permet de surmonter un événement critique de la vie. Il est souvent associé à la mort : « la mort d'une image parfaite des parents lorsque ceux-ci divorcent », « la mort de la confiance en une personne », « la mort d'une relation amoureuse lors d'une séparation », « la mort de quelqu'un ». Ce processus peut également entrer en action dans le cas où un proche perd la mémoire ou la raison. Le deuil nécessite souvent le soutien d'autrui faisant preuve d'empathie
La perte d’un être cher est toujours une grave crise existentielle 

INTRODUCTION 

Mais, ces recherches ont abouti à des découvertes qui confirment de plus en plus hors de tous doutes que les interactions physico-chimiques qui procèdent à la base de son fonctionnement sont extrêmement complexes et diversifiées ce qui fait que pour un point particulier qui semble élucidé, il en apparaît au moins un autre – sinon plusieurs – qui constituent immédiatement de nouveaux défis et de nouvelles explorations en perspective. 
Le domaine des neurosciences en est l’exemple parfait, entre parenthèse, je vois un parallèle intéressant se dessiner entre la relation des neurosciences qui se rapproche de celui de la psychologie : on arrive à expliquer de plus en plus en plus le comportement humain par la génétique, l’endocrinologie et les neurosciences de même que les récentes investigations et hypothèses avancées en physique quantiques se rapprochent bigrement du domaine de la spiritualité et des comportements réservés jusqu’à présent au domaine de la conscience et de la mystique.
Ainsi donc, le modus operandi de l’expérimentation scientifique fait une introduction remarquée dans les Sciences humaines, ce qui en soi n’est pas une mauvaise nouvelle surtout si c’est pour apporter de la rigueur.
C’est ainsi que des comportements qui semblaient jusqu’à présent être imprévisibles ou difficilement quantifiables se sont trouvés étudiés, disséqués et, miracle : on a pu établir des classifications dans de nombreuses situations.
C’est ainsi que sont apparues différentes théories de types psychologiques servant à l’étude comportementale.
De telles études sont importantes en criminologie : bien pratique pour débusquer les Hannibal Lecter de ce monde, le Jack l’éventreur du siècle passé ou pour un employeur de trouver la perle rare, l’employé qui sera idéal pour combler le poste manquant au sein de son entreprise.

Au plan individuel, ces avancées ont permis de mieux comprendre nos émotions et donc de mieux prévenir des affections mentales qui sont souvent entraînées par un choc psychologique. La perte d’un être cher est la première chose qui nous vient à l’esprit, le deuil est en effet une conséquence qui survient de façon systématique quand un décès survient dans notre entourage.