par Michel Mougenot | 11 Août 2016 | INDIVIDU, Les Arts et Cultures, Mon Carré De Sable
Puissance de la joie : 10 attitudes pour la cultiver
La puissance de la joie : le dernier ouvrage de Frédéric Lenoir.
Pour commencer, écoutons-le nous en parler.
(suite…)
par Michel Mougenot | 28 Fév 2016 | INDIVIDU, La femme libre, Les Arts et Cultures, Mon Carré De Sable
Un exemple de grandes femmes ayant contribué à la célébrité d’un homme :
ANNA GRIGORIEVNA SNITKINA ET
FYODOR DOSTOÏEVSKI
Une des grandes femmes : Anna Dostoïevskaïa |
4 mois après avoir fait sa connaissance, une de ces grandes femmes épouse Dostoïevski : elle a 21 ans et l’écrivain 45.
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Anna Dostoïevskya, une des plus grandes femmes, sur le secret d’un mariage heureux : Sagesse d’un des Amours le plus véritable et le plus beau de l’Histoire !
SOURCES :
D’après traduction d’unecritique du livre « Reminiscences » de Anna Dostoïevskya (édition en russe ou en anglais exclusivement) par Maria Popova – pour ceux qui lisent l’anglais je vous conseille ce site référé par une amie lointaine mais proche… Je me comprend :
La descente aux enfers contient souvent le ferment du renouveau !
Nous sommes à l’été de l’année 1865, juste après qu’il aitcommencé à écrire « Crime et châtiment », le plus grand romancier de tous les temps, Fédor Dostoïevsky, a touché le fond.
Récemment veuf et tourmenté par l’épilepsie, Fiodor Dostoïevsky (11 Novembre 1821 – 28 Janvier1881) se trouve dans une situation impossible : à la mort de son frère, Dostoïevsky, déjà profondément endetté en raison de sa dépendance au jeu, est contraint de prendre sur lui les dettes du magazine de son frère.
Les créanciers viennent rapidement frapper à sa porte, menaçant de l’envoyer en prison pour les dettes qui s’accumulent. Une décennie plus tôt, il avait échappé de justesse à la peine de mort pour la lecture de livres interdits, sa peine ayant été commuée en exil il a été condamné à quatre ans dans un camp de travail sibérien – de sorte que la perspective d’être emprisonné à nouveau était insupportablement terrifiante pour lui.
par Michel Mougenot | 20 Fév 2016 | Les Arts et Cultures, Mon Carré De Sable
Umberto Eco est décédé cette nuit. « Philosophe, écrivain et essayiste, Umberto Eco est mort à 84 ans, hier, vendredi soir 19 février, à son domicile, à Milan, d’un cancer, a confirmé sa famille au quotidien italien La Repubblica. »
Umberto Eco, un artiste très connu du grand public pour son ouvrage « Le nom de la rose ».
Il est né dans le Piémont, à Alessandria, le 5 janvier 1932, au sein d’une famille de la petite bourgeoisie. Umberto Eco grandit sur fond de guerre et de maquis (« entre 11 ans et 13 ans, j’ai appris à éviter les balles », confiait exceptionnellement cet homme rétif à toute confidence intime). Au terme d’études supérieures de philosophie et d’esthétique à Turin, il soutient, en 1954, sous la direction du philosophe antifasciste Luigi Pareyson, une thèse de fin d’études sur l’esthétique chez Thomas d’Aquin, « Il Problema estetico in Tommaso d’Aquino », qui sera publiée en 1956.
Le nom de la Rose le chef-d’oeuvre d’Umberto Eco