Nos comportements sont des habitudes, ils affectent profondément l’image que notre entourage se fait de nous.
Nous ne ne sommes pas les expériences que nous vivons, mais les leçons que nous en tirons…
Nos comportements sont des habitudes, il est donc important de nous observer afin de nous connaitre parfaitement. il y a une réelle opportunité de savoir parfaitement les ressorts qui nous animent, le fameux « connais-toi toi même et tu connaîtras l’univers et les dieux » socratique est tout à fait judicieux. Au besoin, il est vraiment possible de transformer certaines mauvaises habitudes de comportement de manière à améliorer notre communication avec notre entourage, des techniques utilisées en PNL par exemple sont très efficaces.
Beaucoup de nos comportements sont des habitudes qui dictent notre humeur et modèlent l’image que nous projetons !
Une des raisons principales du mal-être psychologique est généralement la suivante : on s’identifie tellement à certaines expériences que finalement vient un moment où on ne parvient plus à faire la part des choses.
Article inspiré du site les pensees.com ; merci de leur contribution
Il arrive même qu’on reproduise des expériences qui parfois remontent très loin dans notre passé et qu’on s’en fasse un pattern de fonctionnement ; le cas des personnes qui subissent de la violence conjugale est un cas d’école pour les psychologue, il arrive en effet assez fréquemment que ces victimes en changeant de conjoint se retrouve dans la même configuration : malgré le changement, ces personnes s’associe à nouveau avec un partenaire violent.
Nos comportements sont des habitudes acquises par mimétisme psychique de réactions à des expériences passés
Sans le vouloir, généralement, on imite psychologiquement les expériences douloureuses, les plus importantes, et celles qui ont eu le plus grand impact psychologique et physique sur nous.
Si on veut parvenir à être la personne que l’on veut être, on doit se défaire de cette croyance. Vous devez comprendre que vous n’êtes pas ce qui vous arrive, mais le support abritant ces choses qui vous arrivent. Vous n’êtes pas les expériences que vous vivez, mais les leçons que vous en tirez.
Nos comportements sont des habitudes, l’explication réside dans la solution
Autrefois, l’être humain était exposé à des dangers qui défiaient constamment son intégrité physique, et cette trace de surexcitation et de peur est restée active et latente en nous, même si elle ne se manifeste pas toujours.
Pour autant, sur le plan individuel, on traite la souffrance comme quelque chose de destructeur, ce qui nous rend faible et nous pousse à nous méfier de la société.
Ce cercle vicieux ne panse aucune blessure : nous devons arrêter de souffrir pour commencer à vivre tranquillement.
Nos comportements sont des habitudes, une métaphore : le pot et ses substances
«Imaginez un pot en verre. Il semble fort et solide en apparence, et pourtant, certaines conditions peuvent le mener à tomber et se casser : soit par négligence, soit intentionnellement.
Pendant plusieurs années, ce pot a occupé une place importante dans le salon d’une maison. Il a quelque chose de spécial. Une fois la confiture qu’il contenait initialement terminée, on lui a remis son couvercle et on a y a collé une étiquette sur laquelle on pouvait lire «pot à tout».
Avec cette apparence et cette fonction, au fil du temps, les habitants de la maison, les enfants qui y jouaient, voire même les invités y ont versé diverses substances ainsi que placé divers objets.
Ce pot a donc contenu des pièces de monnaie, des allumettes des souvenirs de mariage, des clous, des épingles, de l’encens, a été utilisé pour «chasser les cafards», a été lavé avec de l’eau de Javel, et si on l’oubliait pendant trop longtemps, il pouvait alors crouler sous la saleté et la poussière.
Mais le pot est resté là, sur l’étagère. Si vous étiez dans cette maison et qu’on vous demandait ce que vous voyez quand vous le regardez… Que répondriez-vous ? Sûrement diriez-vous sans hésiter que c’est un pot en verre.»
Comment cette histoire peut-elle nous permettre de nous sentir mieux, de gérer plus facilement les choses négatives qui ont pu nous arriver, ainsi que les choses positives qui l’ont été à leur moment mais qui ne le sont plus ou qui ont cessé de l’être ? Il nous faut comprendre qu’il ne s’agit pas simplement de l’histoire d’un pot en verre, mais qu’en réalité, c’est une métaphore de la vie.
Nos comportements sont des habitudes, ce sont eux qui nous font exister en tant qu’individu !
Je suis passé par bien des choses, mais quelque chose reste constant : MOI-MÊME
Comme ce pot en verre, nous avons nous aussi une essence immuable et inhérente. Nous aurons vécu des déceptions, l’abandon, nous aurons souffert de l’indifférence, de la trahison, et subi de dégâts causés par des personnes malintentionnées. Nombre de ces dégâts sont toujours là, en nous, c’est pourquoi nous sommes devenu une personne plus méfiante, voire même plus farouche.
Des choses très négatives peuvent nous arriver de nouveau, bien sûr, mais cette fois, personne ne les dépose dans le pot, si ce n’est nous-même : en effet, nous y déposons de la peur, de la perte d’intérêt, des souvenirs douloureux et des larmes infinies. Si nous continuons à surcharger ce pot en verre, il se peut qu’il casse pour de bon, alors arrêtons de le surcharger de choses négatives et durables…
Nos comportements sont des habitudes, pourquoi ne pas nous habituer au changements réguliers ?
Revenons à notre essence et à notre moi véritable, soyons conscient du fait que quoi qu’il puisse arriver, si nous restons en vie, nous serons de nouveau amené à vivre des choses bonnes et des choses mauvaises, mais nous resterons là, et le monde nous reconnaîtra.
Prenons le contrôle de ce qui est arrivé dans notre vie pour redevenir nous-même
Savoir que nous sommes le seul responsable du chemin que nous choisissons d’emprunter dans la vie, c’est quelque chose qui relève d’une extrême responsabilité, mais de cette responsabilité qui connaît la liberté.
Enfant, nous ne savions pas ce qui pouvait nous arriver, mais nous savions en revanche bien ce que nous voulions être. Sûrement ne nous imaginions-nous pas mort de peur ni incapable de pardonner, que ce soit auprès de nous-même ou bien des autres.
«Je ne crois pas au hasard ni au besoin ; ma volonté, c’est le destin.»
-John Milton-
Utilisons alors tout notre vécu pour apprendre et tirer des leçons de vie basées seulement sur nos expériences. Oublions en certaines, transformons-en d’autres, prenons notre revanche sur celles-ci, et rions de celles-là. Se renouveler ou mourir.
Nos comportements sont des habitudes : habituons-nous à rechercher le renouveau
Se renouveler pour redevenir le moi qui reçoit diverses expériences qui ne transforment pas ce que je suis si je ne le permets pas. Ou octroyons-nous le luxe de nous fondre dans tout ce qui nous arrive pour que notre essence se nourrisse du positif et que nous puissions nous rapprocher un peu plus de l’état auquel nous voulons arriver. Chasser ce à quoi il ne vaut pas la peine de penser continuellement, puisque ça n’a rien à voir avec nous même si c’est à nous que c’est arrivé.
La sagesse, c’est donc ça, mais c’est aussi savoir se réaffirmer face au monde, dire ouvertement ce qui se passe au-delà des jugements, des stigmatisations et des commentaires de compassion, et c’est redevenir nous-même, en retrouvant notre essence. Car nous avons appris que nous ne sommes pas les expériences que nous vivons, mais l’essence qui les reçoit et qui les laisse partir également.
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