SABLE ? VOUS AVEZ DIT SABLE ? : MON CARRÉ DE SABLE EST MAINTENANT SUR LA PAGE ENSOLEILLÉE, COQUILLAGES ET CRUSTACÉS…
La décision se préparait lentement depuis le mois de mars, je tiens à remercier vraiment chaleureusement toutes celles et ceux qui ont participé à la naissance de ce petit bout de sable sur la plage qui se trouve maintenant en un lieu désert, à l’ombre d’un cocotier majestueux…
Le sable ! Jamais il n’a été pour moi une métaphore de la vie aussi évidente ! Je trouve maintenant tellement significatif que le premier article qui a vu le jour était consacré au Désert !
Je peux dire que je l’ai traversé ce désert avant de parvenir à une oasis pour m’y ressourcer…
Je ne me plains pas, j’y ai aperçu le Petit Prince et j’y ai revécu une formidable expérience intérieure, le VITRIOL des ignorants qui voudraient chercher à savoir sont au bon endroit dans ce lieu aride, et, quand on peut assister au spectacle de la pluie qui s’abat sur Atacama et qu’une explosion de fleurs et de vie venues de nulle part survient sans crier gare, nous avons une immense leçon de vie à retenir !
Un merci particulier à deux personnes qui se reconnaîtront : sans pourtant me faire totalement désespérer de « l’infinité inimaginable de la connerie humaine » comme le pensait Einstein, de l’hypocrisie et de la roublardise de bas étage, merci dis-je, de m’avoir permis de constater à quel point on peut déblatérer des belles paroles de paix, d’amour, de tolérance – donnant des poignées de main en même temps qu’on plante un poignard dans le dos d’un ami, merci de m’avoir fait prendre conscience que cela AUSSI existe…
J’ai décidé de ne regarder que les montagnes de sable, voire les pyramides, qui sont les ancêtres des dunes majestueuses, je ne me tournerai donc plus vers les fils et les filles de butes.
Bien trop négligeables et même méprisables. Mais je ne suis pas au bord de l’amer, je l’ai dit : au contraire je ressens de la reconnaissance d’avoir vécu ces moments de grincements, là ou un grain de sable reste pris dans l’engrenage ; nous apprenons tellement mieux de nos échecs que, comme l’a dit Woody Allen : »Je compte bien en reproduire encore un bon nombre » c’est une expérience enrichissante !
Pour apprécier la vague irrésolue qui vient lécher nos pieds, il faut s’être brûlé la peau et l’âme et avoir craint de s’être perdu, ou encore de ne jamais trouver cette oasis sur son chemin.
Peut être que comme l’Alchimiste il faut partir loin – ou profond – avant de se retrouver soi-même !?
Ici, la symbolique du sable et de l’eau se rejoignent dans la fluidité des errances de l’âme
L’âme de fond dont la vague vient mourir en se mêlant au sable, fin, doux, blond, chaud
VOUS POUVEZ DONC RETROUVER MAINTENANT « MON CARRÉ DE SABLE » aux adresses suivantes, pendant quelques jours les deux formules cohabiterons en bonne entente avant de laisser partir moncaredesable.com et moncarredesable.fr vers leur destin
Vint un temps où demeurer à l’étroit dans un bourgeon
était plus douloureux que d’éclore. » Anaïs Nin
La connaissance dépend du temps passé à regarder.
Rûmi
Toujours des mots très justes Mari !
C’est vrai ; et la traversée du désert est la même métaphore que l’oeuf (oef) le bourgeon ou la chrysalide !