CES MYSTÉRIEUSES ONDES SCALAIRES

par | J Fév, 2016 | Mon Carré De Sable, MONDE, Sciences – Techniques -Technologie | 2 commentaires

AUPARAVANT DÉNOMMÉES ONDES GRAVITATIONNELLES, LES ONDES SCALAIRES N’ONT PAS ENCORE FINI DE FAIRE PARLER D’ELLES ! 

http://moncarredesable.blogspot.fr/2016/01/theorie-de-lunivers-connecte-nassim.html
Les ondes scalaires ont été découvertes et expliquées par Tesla
 Médecine du futur Le cinquième congrès de Quantique Planète, les 16 et 17 novembre 2013 à Reims, a mis en évidence la convergence entre physique classique, physique quantique, biologie et médecine. Les ondes dites scalaires sont l’un des jalons de cette convergence : sorte de chaînon manquant entre le niveau quantique et le niveau classique permettant de dépasser les blocages de la théorie relativiste, elles ouvrent des perspectives inattendues en biologie. En particulier sur le plan thérapeutique. Ondes scalaires, clés du vivant ?
Par Alexandre Rougé

UNE GRANDE ABSENTE 

Quasi absentes de la littérature scientifique, les ondes scalaires paraissent en revanche parées de toutes les vertus sur de nombreux sites Internet. Ignorées d’un côté par les physiciens – parce qu’elles ne répondent pas aux critères de mesure des ondes hertziennes –, elles sont citées d’un autre côté comme vectrices d’une énergie illimitée, quasi gratuite et transmissible à distance, comme source de guérison, ou au contraire comme source de destruction via le système – HAARP – voire de contrôle mental à distance. 
D’aucuns expliquent aussi les crop circles par des impulsions d’ondes scalaires.
Un mélange des genres familier au Pr Konstantin Meyl, de l’université de Stuttgart. Ingénieur et physicien des champs, spécialiste de la physique des vortex et disciple revendiqué de Nikola Tesla, il contribue à lever l’«omerta scientifique» qui règne encore sur les ondes scalaires, avec notamment la publication de ses travaux sur les monopôles magnétiques (Magnetic monopoles detected in a real magnet) publiés en 2009 par le Centre Helmholtz de Berlin (Helmholtz- Zentrum Berlin für Materialien und Energie). Le Dr Hervé Janecek, de son côté, médecin vétérinaire à l’origine, devenu depuis vingt ans biologiste et nutritionniste, travaille depuis deux ans avec Konstantin Meyl sur les applications thérapeutiques des ondes scalaires. Présents tous les deux à Reims, ils en ont dévoilé certains aspects théoriques et pratiques.

CARACTÉRISTIQUES DES ONDES SCALAIRES 

Les ondes scalaires se déplacent de manière longitudinale et non transversale : elles sont, écrit le géobiophysicien Raymond Hert, « orientées longitudinalement par rapport à leur champ d’action (comme un projectile), contrairement aux ondes hertziennes, qui sont transversales (comme les ronds dans l’eau). Cette particularité fait qu’on peut techniquement mesurer les secondes, mais pas les premières… alors que les systèmes biologiques (le vivant) ne réagiraient en fait qu’aux longitudinales ! »
Autre spécificité des ondes scalaires : elles sont hélicoïdales (et non sinusoïdales) – formant une spirale ou un vortex (et non des vagues). De plus, leur vitesse de propagation peut être inférieure, égale ou supérieure à celle de la lumière. Enfin, à vitesse superluminique appelle l’effet tunnel) : contrairement aux ondes hertziennes, elles peuvent franchir une cage de Faraday. La conscience humaine peut aussi émettre des ondes dotées de telles propriétés : on le sait depuis les expériences du Pr Jacobo Grinberg-Zylberbaum, neurophysiologiste à l’université de Mexico. Dans les années 1990, il a placé deux sujets en méditation ou relaxation (état cérébral alpha) dans deux cages de Faraday séparées, envoyant des stimulations électriques ou sonores au premier sujet à l’insu du second. À plusieurs reprises, les stimulations ont également été reçues par le second sujet, en temps réel. Ainsi, comme le note Hervé Janecek, « les ondes mentales, c’est-à-dire émises et reçues par le cerveau, ont les caractéristiques des ondes scalaires ».

L’« énergie du vide » viendrait des neutrinos

Les ondes scalaires assurent un transfert permanent d’information entre tous les objets de l’Univers3. Elles constituent une sorte de « bruit de fond » énergétique et informationnel : une ambiance, imperceptible et subtile, dans laquelle baigne tout l’Univers, qui imprègne tous les corps et les place tous en interaction. Et cette interaction peut même s’avérer non locale et simultanée. Autre particularité soulignée par Konstantin Meyl : la faculté des ondes scalaires à changer de caractéristiques. Une onde scalaire a autant besoin d’une source émettrice que d’une destination réceptrice pour exister en tant que telle. Émise en forme de vortex ou de spirale, l’onde scalaire se désenroulera et s’éparpillera dans l’environnement si elle n’a pas de récepteur. (De ce point de vue, le « bruit de fond » qui emplit l’atmosphère est principalement constitué d’ondes scalaires qui, ne trouvant pas preneur ou récepteur, finissent par s’amortir en dégageant de la chaleur.) Mais si un récepteur harmonique se manifeste, l’onde s’enroulera autour de lui de nouveau pour y répondre et atteindra alors son destinataire. Ainsi, la même onde peut passer indifféremment d’une forme hélicoïdale (scalaire) à une forme sinusoïdale (électromagnétique) et d’une propagation longitudinale à une propagation transversale (voir figure page 67). S’il y a bien une dualité longitudinale-transversale pour toute onde électromagnétique, une onde peut être à la fois longitudinale et transversale. Cette dualité en fait est relative – soumise à variation dans le temps et l’espace.

L’ORIGINE DU MOT « SCALAIRE » 

Le mot « scalaire », quant à lui, désigne justement le nombre qui sert à décrire une onde aux valeurs variables, par contraste avec une onde hertzienne, dite vectorielle. Ce qui revient à dire qu’on ne reconnaît pas de vecteur ou de support aux ondes scalaires. C’est pourquoi certains chercheurs, emboîtant le pas à Nikola Tesla, sollicitent l’éther, le fameux élément primordial dont procèdent les quatre autres (air, feu, eau et terre), pour expliquer les propriétés non conventionnelles des ondes scalaires (et l’énergie d’origine inconnue qu’elles peuvent mobiliser). Ce qui explique aussi l’embarras des physiciens, puisque l’éther, en partie à cause d’Einstein, a été rejeté par la science officielle, à la suite des expériences de Michelson et Morley, qui, bien qu’étant parfois considérées comme insuffisantes voire incohérentes, ont été retenues parmi les fondements de la physique et de l’électromagnétisme modernes. Les équations de James Clerk Maxwell (1873), autre fondement de l’électromagnétisme moderne, seraient, elles aussi, insuffisantes. Elles ne décrivent, explique Meyl, que les ondes transversales, et non les ondes longitudinales. Il rejoint ici Thomas Bearden, le spécialiste américain de Tesla et des ondes scalaires, qui pointe les modifications infligées aux équations de Maxwell « afin de décrire exclusivement cette partie du flux d’énergie que les circuits physiques étaient conçus pour capter et utiliser », éliminant ainsi « l’énergie qui pouvait être extraite à partir du vide». C’est pourquoi les ondes scalaires ont été aussi peu étudiées jusqu’à présent.

Expérimentées par Tesla

Nikola Tesla (1856-1943) fut le premier expérimentateur des ondes scalaires : ses bobines à induction (les fameuses non prévues par les équations canoniques de Maxwell. « Dès 1896, rapporte le chercheur indépendant Jean-Marc Roeder, Tesla avait observé des pertes de masse et d’inertie d’objets de son laboratoire soumis aux ondes scalaires en phase (ou en résonance synchrone, si vous préférez) à très basse fréquence (6 Hz) émises par ses bobines Tesla.» C’est pourquoi ces ondes ont aussi parfois été nommées « gravitationnelles ». « Pendant fort longtemps, précisait le scientifique du MIT Eugene Mallove, d’efficaces expérimentateurs sont restés interloqués face au fonctionnement des bobines de Tesla », parce qu’elles mettent en évidence cette forme d’énergie « non acceptée par la science conventionnelle» : une force issue de nulle part, propagée sous forme d’ondes hélicoïdales et longitudinales, et susceptible d’être transmise à distance, comme Tesla l’a démontré. Tesla, et maintenant Konstantin Meyl, qui a réussi, lui aussi, à allumer une ampoule sans fil par induction d’ondes scalaires. Des neutrinos à l’ADN Meyl, auteur d’un pavé de 650 pages sur le neutrino (Neutrinopower), attribue à ce dernier l’existence des ondes scalaires. Ce quantum de masse et de charge variables se comporterait lui-même comme un vortex. Plus rapides que les photons (les quanta de la lumière), les neutrinos, rappelle Janecek, seraient « 60 ou 65 milliards à traverser chaque centimètre carré de notre peau par seconde. […] Ils sont ensuite métabolisés dans les cellules, par les mitochondries.» « Les ondes scalaires sont la base de la communication cellulaire, avance Janecek, en particulier entre les molécules d’ADN, qui sont des antennes de forme… hélicoïdale. La nature des ondes qui parcourent le système nerveux et les nerfs périphériques est également scalaire : elles s’appuient sur l’isolant qu’est la gaine de Schwann et sa longueur d’onde est le double de l’espacement entre deux noeuds de Ranvier. » Toute la communication cellulaire – dans les cellules et entre elles – se ferait par voie scalaire. Ce n’est pas démontré : on ne dispose pour l’heure que d’indices convergents. Pour Janecek, cela relève avant tout de la simple déduction, basée sur le constat que dans le vivant, « les antennes complexes que sont l’ADN et les protéines ont une structure manifestement adaptée à l’émission et la réception d’ondes scalaires » : une structure spiralée ou hélicoïdale. C’est « quand les protéines sont enroulées sur elles-mêmes – les structures ternaire et quaternaire d’une protéine –, comme des pelotes», que leur activité, c’est-à-dire le métabolisme biochimique de base au niveau de la cellule, est la plus intense. Ce qui n’est pas le cas quand elles sont dépliées. « Cette structure ternaire et quaternaire est déterminante pour leur efficacité.» En d’autres termes, tout se passe comme si les microstructures biologiques étaient faites pour fonctionner ainsi. Et du reste, « les bobines Tesla, elles aussi, sont un enroulement ».

Concerts de vortex 

« Les ondes scalaires forment un bruit de fond permanent, qui est vital pour toute forme vivante, poursuit Janecek : les plantes, les animaux et les humains captent ces ondes par résonance en fonction de leur taille, de leur métabolisme. » Alors que jusqu’à présent, rappelle Raymond Hert, « le “bruit de fond” était considéré comme un épiphénomène, ne contenant pas d’informations significatives. Erreur funeste… ! » En effet, reprend Janecek, « en fonction de la forme et de la récurrence de formation des vortex que nous produisons chaque seconde (dans nos vaisseaux, nos bronches, nos méridiens), nous captons celles de ces ondes scalaires extérieures qui sont en harmoniques avec les nôtres ». C’est un peu comme une symphonie : prises séparément, les notes ne veulent pas dire grand chose, alors que prises ensemble, elles forment un message cohérent, un programme que l’auditeur (le récepteur) peut prendre en compte. 

2 Commentaires

  1. François Pincemin

    Lors de mes études de physique on m’a dit que les ondes électromagnétiques longitudinales ne pouvaient exister car elle violerait le principe de la limite de la vitesse de la lumière: la variation de l’amplitude dans la direction de propagation irait plus vite que la vitesse de la lumière. Je ne sais pas la valeur de cette assertion mais elle expliquerait pourquoi on les a écarté.
    Des expériences avec les neutrinos ont semblé (pas assez précise mais perturbantes quand même) violer les principes de la relativité restreinte. Les neutrino semble effectivement être au milieu de gué de la manifestation (entre le manifesté et le non-manifesté). Ils semblent que cette énergie soit lié au monde angélique. Il est possible que les neutrinos de basse énergie soit les ondes scalaires de Konstantin Weyl.

    Réponse
    • CDS-Mon Carré De Sable-Michel Mougenot

      La physique quantique remet en doute quelques diktats de la physique traditionnelle et même la vitesse de la lumière semble une limite de moins en moins infranchissable avec les neutrinos effectivement, ou les électrons dans les célèbres études de déplacement de ces particules qui sembleraient pouvoir se trouver à des endroits différents en même temps….

      Réponse

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