À Findhorn en Écosse, l’utopie écolo est devenue réalité

À Findhorn en Écosse, l’utopie écolo est devenue réalité

Depuis plus de soixante ans, un village écossais de cinq cents habitants fait figure de modèle : autosuffisant en alimentation, sans pesticides, avec éoliennes peintes et panneaux solaires… Prochaine étape : la neutralité carbone.

Findhorn (Écosse), reportage

Lorsqu’en 1962, le couple d’Anglais Eileen et Peter Caddy, leurs trois enfants, ainsi que leur amie canadienne Dorothy Maclean, s’installèrent dans une caravane située sur un terrain vague de la côte nord-est de l’Écosse, ils n’avaient pas en tête de fonder une communauté. À l’époque, les trois comparses, tout juste licenciés de l’hôtel de Cluny Hill tout proche, se retrouvaient sans logement. Vivant de maigres allocations sociales, le trio décida de démarrer un potager pour subvenir à ses besoins. Sans rien connaître du jardinage mais connectée avec les esprits de la nature, assure-t-elle, la petite troupe réussit à faire pousser quantité de légumes sur cette terre réputée infertile. La légende du projet Findhorn était née.

Le

Soixante ans plus tard, l’hôtel de Cluny Hill, immense bâtisse victorienne, a été racheté par la communauté et accueille désormais les touristes. Le terrain vague originel est devenu un écovillage New-Age, sorte d’écrin vert hors du temps, où de charmantes allées serpentent autour de maisons en bois et de sanctuaires de méditation ressemblant à des logis pour Hobbits. À quelques centaines de mètres au Nord se trouve le village originel de Findhorn, où l’on peut venir déguster son poisson frais en terrasse. Malgré ce cadre idyllique, le changement climatique menace, comme partout. La communauté, qui a toujours associé spiritualité et respect de l’environnement, s’est donné comme objectif d’atteindre la neutralité carbone en 2030. Un pari ambitieux mais que l’écovillage, surnommé « Le Parc », pourrait bien remporter. De nombreux projets portés depuis quarante ans par la Fondation Findhorn permettent déjà aux 450 habitants du lieu de réduire drastiquement leur consommation d’énergie.

Un excellent article paru sur le site « Reporter.net » sur l’écovillage de Findhorn

Le "Findhorn Ecovillage", situé dans la baie de Findhorn, au nord de l’Écosse est le lieu où les idées de l'association sont mises en applicatio par une communauté spirituelle internationale

Ainsi, à l’ouest de l’écovillage, les jardins maraîchers de la Fondation, composés de trois immenses serres, abritent une trentaine de variétés de légumes cultivés tout au long de l’année selon les principes de la permaculture. C’est Jewels Kinnair, une quinquagénaire aux yeux rieurs, qui est en charge de leur supervision. Originaire de Liverpool (Angleterre), cette professeure de yoga a rejoint la communauté de Findhorn il y a neuf ans, après des années passées au sein du mouvement antinucléaire. Aujourd’hui, son militantisme s’incarne dans le soin qu’elle apporte à ses potagers : « En ce moment, nous plantons des tomates et nous allons y ajouter du basilic et des œillets d’Inde. Quand tout est mûr, c’est absolument magnifique. En ouvrant la porte le matin, on a envie de tout mettre en bouteille ! »

Jewels explique avec fierté qu’aucun pesticide n’est utilisé et que le compost récupéré chez les habitants sert d’engrais. Les récoltes servent principalement à nourrir les résidents et les quelques milliers de visiteurs, principalement végétariens, qui viennent chaque année pour méditer, apprendre à cuisiner avec des produits locaux et s’occuper d’un potager. En raison de la pandémie de Covid, les touristes ont disparu et les repas de groupes ont été interdits. Les membres de la communauté se sont contentés de venir deux fois par semaine chercher leur panier de légumes.

Le "Findhorn Ecovillage", situé dans la baie de Findhorn, au nord de l’Écosse est le lieu où les idées de l'association sont mises en applicatio par une communauté spirituelle internationale

« Les gens étaient dans des états de détresse mentale, parfois ils venaient juste pour discuter un peu », raconte Jewels. En avril dernier, alors que la vie de l’écovillage s’apprêtait à reprendre son cours normal, un homme a d’ailleurs mis le feu à deux bâtiments symboliques, le sanctuaire principal et le centre communautaire, où se prenaient les repas. « C’est encore très dur d’y penser », soupire Jewels. Depuis la fin du confinement en Écosse, les lieux de sociabilité de l’écovillage ont rouvert, comme le Phoenix Café et ses tables en bois arrondies. Les clients peuvent y payer leurs consommations avec des billets à l’effigie des trois fondateurs. Depuis 2002, la communauté dispose en effet de sa propre monnaie locale, l’Eko (un eko = une livre sterling). De nombreux projets communautaires ont pu voir le jour grâce aux prêts à faible taux d’intérêt de la « banque » de la communauté, Ekopia.

Le "Findhorn Ecovillage", situé dans la baie de Findhorn, au nord de l’Écosse est le lieu où les idées de l'association sont mises en applicatio par une communauté spirituelle internationale

Outre l’autonomie alimentaire, la communauté est aussi autonome pour ce qui concerne le traitement des eaux usés : elle a construit, en 1995, ce qu’elle appelle la « machine vivante ». À l’intérieur d’une serre, deux longues rangées de bassins hébergent des plantes vertes flottantes. Leurs longues racines permettent le développement de micro-organismes qui, à leur tour, se nourrissent des agents polluants et purifient l’eau. Le tout sans produits chimiques. Des économies d’énergie importantes sont par ailleurs réalisées puisque l’ensemble est construit de façon à ce que l’eau transite naturellement d’un bassin à l’autre, sans pompage. Les ventilateurs, qui envoient de l’oxygène dans les bassins pour accélérer le processus, fonctionnent quant à eux avec l’électricité produite localement. La « machine vivante » peut traiter 72 mètres cubes d’eau par jour, soit l’équivalent du volume produit par environ 400 personnes. Lorsque les touristes arrivent, l’écovillage peut accueillir jusqu’à 150 personnes supplémentaires, ce qui occasionne un surplus de travail pour les plantes. « Les systèmes naturels, de par leur conception, sont robustes. Ils peuvent supporter des surcharges à court terme », dit à Reporterre Michael Shaw, membre de la communauté depuis presque cinquante ans et ingénieur créateur de la « machine vivante ». Une fois traitée, l’eau peut retourner dans la nappe phréatique locale… ou alimenter les pompes à chaleur du Parc.

Le "Findhorn Ecovillage", situé dans la baie de Findhorn, au nord de l’Écosse est le lieu où les idées de l'association sont mises en applicatio par une communauté spirituelle internationale

Les constructions les plus récentes sont en effet équipées de cette technologie. Le reste des bâtiments est chauffé par une chaudière à bois centrale ainsi que par des chaudières à gaz et à bois individuelles. Les maisons les plus modernes disposent également d’un double voire d’un triple vitrage. Et sont souvent orientées plein Sud, de façon à faire le plein de lumière et de chaleur naturelle. Par ailleurs, bon nombre de toits sont aujourd’hui recouverts de panneaux solaires. Les habitants de l’écovillage ont également à cœur de construire des maisons avec des matériaux locaux et ce depuis toujours. Roger Doudna, 78 ans, en sait quelque chose. Cet Américain venu du Kansas, séduit par la communauté de Findhorn au milieu des années 1970, a construit la première maison permanente du Parc en 1986 en… fûts de whisky. « Il y avait des chutes dans la tonnellerie à côté et les gens qui travaillaient là-bas m’ont proposé de les acheter, ils ne savaient pas quoi en faire. Après un temps de réflexion, j’ai fini par accepter et j’ai construit ma maison en un an avec l’aide des gens de la communauté, visiteurs compris. »

« J’ai construit ma maison en fûts de whisky. »

Certes, tout n’est pas parfait : les habitants des caravanes de la première heure se chauffent toujours avec des bouteilles de propane. L’objectif est de les équiper de pompes à chaleur dans un avenir proche, explique Roger Doudna, qui est aujourd’hui chargé de la réduction de l’empreinte carbone. Ce qui devrait cependant conduire à d’autres problèmes logistiques : le village devra alors se doter de nouveaux câbles souterrains et produire plus d’électricité.

Le "Findhorn Ecovillage", situé dans la baie de Findhorn, au nord de l’Écosse est le lieu où les idées de l'association sont mises en applicatio par une communauté spirituelle internationale

Pour le moment, la Fondation Findhorn dispose de trois éoliennes plantées en bordure de l’écovillage. Leur puissance totale est de 625 kilowatts. Ces dernières, avec l’équipement photovoltaïque présent sur le site, assurent 100 % des besoins en électricité de la communauté. Lorsque le vent ne souffle pas assez fort, l’écovillage achète l’électricité au réseau national et la revend lorsque trop d’énergie est produite et ne peut être consommée sur place.

Achetées en 2006, les éoliennes richement décorées par les habitants devraient se maintenir jusqu’en 2035. Le village ne prévoit pas d’en installer de nouvelles. « À l’époque, nous voulions de l’électricité verte mais c’était compliqué d’en trouver, le mieux était donc de la produire nous-même. Aujourd’hui, il est beaucoup plus simple d’avoir de l’énergie renouvelable depuis le réseau national donc ce n’est plus vraiment justifié », explique Duncan Easter, manager au Findhorn Wind Park. Le démantèlement de ces moulins à vent modernes risque cependant de signer la fin d’une époque pour la communauté. « J’espère qu’elles vont nous tenir encore quelques années. Avec un peu de chance, je prendrai ma retraite en même temps qu’elles », sourit Duncan. Ces éoliennes servent également à alimenter les cinq voitures électriques des habitants de la communauté. « Nous essayons toujours de remplir les voitures afin de maximiser les trajets », souligne María Ancochea, qui gère le Sunflower, un Bed & Breakfast cossu situé au cœur de l’écovillage.

Le "Findhorn Ecovillage", situé dans la baie de Findhorn, au nord de l’Écosse est le lieu où les idées de l'association sont mises en applicatio par une communauté spirituelle internationale

Juste avant que le Covid frappe en mars 2020, l’empreinte carbone de la communauté s’élevait à environ 7,4 tonnes équivalent CO2 par an par habitant, peut-on lire dans le rapport annuel 2019 du Park Ecovillage Trust. L’Accord de Paris recommande deux tonnes d’équivalent CO2 par personne d’ici 2050. Comment expliquer un niveau aussi élevé avec autant d’initiatives écolos ? « 60 % de notre empreinte carbone tient aux trajets en avion effectués par les touristes et les membres de la communauté », explique Roger Doudna. L’écovillage est en effet un lieu spirituel très populaire dans le monde entier.

Près de 4 000 visiteurs de cinquante nationalités différentes s’y rendent chaque année pour vivre au rythme de la communauté. Les stages représentent d’ailleurs la principale source de revenus du village, raison pour laquelle la Fondation peut difficilement y renoncer. « Nous voulons proposer plus d’activités en ligne et nous financer davantage via des levées de fonds. Par ailleurs, de plus en plus de gens viennent en train ou en bus », plaide Roger Doudna. Pas sûr, cependant, que les hordes de touristes renoncent à prendre l’avion d’ici à la fin de la décennie.

Catharsis

Catharsis

Catharsis

J’ai réalisé un vieux rêve que j’entretenais depuis plusieurs années !

J’ai eu un véritable coup de cœur pour Carl Gustav Jung il y a des années ; cela fait longtemps que je m’intéresse à la psychologie, très jeune je me suis documenté sur les début de la psychanalyse et l’incontournable apport de Sigmund Freud à cette discipline.
Malgré mon très jeune âge au début, des notions dans les théories freudiennes me dérangeaient toutefois profondément ; quand j’ai découvert les travaux de Jung, je me suis senti tout de suite très proche et totalement en phase avec le monde jungien.

Étant intimement persuadé que tous, nous les êtres humains, sommes profondément enracinés dans un univers onirique qui bien que son influence sur nos comportements soit très sensible et léger, n’en est pas moins déterminant quand à notre comportement sur la totalité de notre expérience qui va de notre naissance à notre mort.

Le climax de l’œuvre de Jung selon moi est son « journal intime » sur lequel il aura planché des années et qui n’avait pas encore été publié à sa mort. Il s’agit de son fameux « Livre rouge » qui, dans son édition de luxe est richement illustré de magnifique œuvres picturales que Jung a lui-même élaborées, on ressent ici toute l’influence sur ce psychiatre de la philosophie orientale !

Je ne peux pas m’empêcher de considérer Jung comme un précurseur qui n’aura pas hésité à voguer à contre-courant des tendances d’alors qui plaçaient les réalités tangibles dans le camps des vérités indiscutables.

Le Livre rouge de Carl Gustav Jung

Cet été, me trouvant dans des circonstances particulières, j’ai décidé de me faire ce cadeau inestimable de m’offrir ce fameux Livre rouge, objet de ma convoitise depuis si longtemps = tout cadeau n’en est que plus précieux à partir du moment où on a placé temps et patience avant de l’obtenir !

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Cette illustration représente Philémon, figure majeure pour Jung. Le texte en grec dans l’illustration se lit ainsi : « Père des prophètes, Philémon digne d’amour ».

Se confronter à notre conscient et à notre inconscient avec l’approche de Jung est une véritable expérience spirituelle, ça dépasse bien sûr largement

l’aspect de la simple analyse psychanalytique, malgré son impact pourtant majeur pour beaucoup de patients qui ont choisi cette thérapie, ici, nous approchons des frontières de la spiritualité, de l’expérimentation du contact divin, cette corde d’argent qui relie l’expérimentation tangible de la matière avec cette atmosphère éthérée que nous nous représentons des mondes dits subtils.

Pourquoi ce titre de « Catharsis » ?

De là à faire allusion à la catharsis il n’y a qu’un pas que je franchis allègrement tant cette expérience de lecture de Mon Livre rouge revêt une démarche quasi-sacrée, cela me fait comprendre la déférence dont peuvent faire preuve les croyants de tous bords, avec ce soupçon de nuance toutefois : à aucun moment je n’accepte ce qui écrit dans ce recueil comme étant une Vérité dont on ne peut remettre la véracité en cause. Je crois que c’est ce qui doit faire la différence entre recevoir ce que l’on peu lire dans quelque livre que ce soit comme étant une vérité incontestable, c’est placer ses convictions dans bien peu de choses que d’agir ainsi …

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Catharsis, le début du chemin ?


Quoi qu’il en soit, cet article, Catharsis, ne représente qu’un introduction à la démarche que j’ai entamée depuis maintenant quelques mois, qui se soldent maintenant par des périodes très troublées, aussi bien au niveau sanitaire, que dans les convictions religieuses des gens qui s’expriment au point d’atteindre des extrêmes qui n’ont plus rien à voir avec les profondes croyances qu’on puisse avoir en une religion et qui se soldent, au besoin, en exterminant sans aucun remord et même avec un esprit de haine qui n’a plus rien à voir avec la spiritualité qui, elle, se préoccupe de fraternité, d’amour et d’harmonie.

Le chemin de l’éveil et de la recherche de sagesse – si jamais elle existe dans ce bas monde – est un parcours vertueux, qui se fait dans le silence de notre âme et sans ostentation, sinon, cela indique que nous sommes envahi par l’orgueil, ce qui est incompatible avec cette quête…
Comme l’a fredonné Monsieur Jean Gabin, c’est tout ce que je sais, mais ça je le sais !

Pour conclure (provisoirement !)  cet article je veux attirer votre attention avec le lien qu’il possède avec celui que j’ai écrit la veille sur ce texte stupéfiant que vous pouvez aller rempli en ligne, totalement gratuit et dont les résultats sont totalement hallucinant pour la plupart des personnes qui se sont donné la peine de le faire ! Je vous engage à lire l’article dans un premier temps et ensuite de vous rendre sur le lien qui se trouve à la fin de cet article si je vous ai convaincu suffisamment que ça en valait vraiment la peine !!! cliquez sur ce lien et vous retrouverez l’article que j’ai consacré à ce test !

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test des 16 Personnalités : c’est totalement incroyable

test des 16 Personnalités : c’est totalement incroyable

test des 16 Personnalités : c’est totalement incroyable

Connaissez-vous ce test à faire en ligne qui s’appelle le « test des 16Personalities » ? 


si vous répondez par la négative je vous engage alors à aller sur ce site et à procéder immédiatement à votre évaluation en répondant au questionnaire en ligne, prévoyez de prendre votre temps car ce n’est pas un banal questionnaire test de magazine de loisirs, c’est au contraire une véritable étude de personnalité très élaborées et remarquablement précise, personnellement j’avoue avoir été totalement bluffé par la justesse des explications immédiatement consultable en ligne dès que vous avez terminé de répondre.


Tout est clair et net, pas le style du site qui vous propose de vous envoyer les résultats par courriel contre échange d’espèces sonnantes et trébuchantes.

« Nos lecteurs disent que le test de 16Personalities est si exact qu’ « il fait un peu peur ! »

Obtenez une description concrète et exacte de qui vous êtes et de la raison pour laquelle vous faites les choses de la façon dont vous les faites. »

Qui a élaboré cette technique ?

J’ai pris le temps de me renseigner sur ce site et sur l’origine de ce test, Wikipédia nous informe que « Le Myers Briggs Type Indicator (MBTI) est un outil d’évaluation psychologique déterminant le type psychologique d’un sujet suivant une méthode proposée en 1962 par Isabel Briggs Myers et Katherine Cook Briggs.

Il sert comme outil dans les identifications des dominantes psychologiques des personnes dans des cadres liés au management ou aux problèmes dans le cadre des relations interpersonnelles. »

Ce qui a éveillé mon attention à propos de ce test, c’est qu’il se fonde sur la théorie élaborée par Carl Gustav Jung, un psychologue, psychiatre et analyste suisse pour qui j’éprouve une grande admiration.

Dans le cadre de la Psychologie analytique, Carl Gustav Jung (1875-1961), a amené des éléments théoriques dont l’existence des « types psychologiques ». Cette invention a été publiée en 1921 en allemand, dans l’ouvrage du même nom.

À partir de son invention de ces types psychologiques, des chercheurs ont développé des approches théoriques, dont la socionique en Union soviétique et le MBTI aux États-Unis, développé par Isabel Briggs Myers (1897-1980) et sa mère, Katherine Cook Briggs. Pendant 40 ans elles ont travaillé sur ces aspects de la théorie pour aboutir à la création du MBTI2.

Sans attendre plus longuement, je vous donne le lien du site sur lequel vous pourrez faire votre test, en répondant au questionnaire et en consultant ensuite les résultats immédiatement après :

TEST DE PERSONNALITÉ « 16PERSONALITIES »

Le site est très bien fait, clair et ergonomique, en haut de page vous avez un sélecteur de langues, en cliquant sur l’icône de la terre il s’ouvre tout un choix de langues très complet. Je vous souhaite un bon exercice et vous allez voir, c’est stupéfiant de justesse.

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Reïki : retour critique sur 12 ans de pratique

Reïki : retour critique sur 12 ans de pratique

Reïki : retour critique sur 12 ans de pratique

Un bilan ponctuel de ma rencontre avec le Reïki

Je me décide à exposer l’expérience que j’ai vécue en rapport avec la découverte de la pratique du Reiki. Cela remonte à quelques années, tout d’abord par hasard, j’ai suivi un atelier de présentation puis des sessions d’initiation jusqu’à la maîtrise de la méthode Reiki Usui, du nom de son fondateur, un moine bouddhiste du nom de Mikao USUI (1865 – 1926) qui a fondé le « Reiki » en 1922.

J’ai eu l’occasion de faire de l’auto pratique, de tester la méthode sur des plantes, des animaux et j’ai également eu de très bons résultats auprès de connaissances proches et amis qui m’ont demandé de l’aide.
J’ai eu une première alerte au tout début de ma pratique, par manque d’expérience sans doute je ne me suis pas écouté, en y repensant maintenant, je me dis que j’avais déjà eu une excellente intuition.
C’est une connaissance qui m’a proposé ma toute première rencontre avec le Reiki au Québec,
il prenait des cours et m’a proposé de l’accompagner après que je lui eus fait part de mon intérêt pour cette technique.

Reiki image mon carre de sable

Le premier contact avec le Reiki Usui


Je découvre donc cette pratique de soin, nous sommes plusieurs participants, nous commençons par une séance de méditation puis des exercices suivent, nous expérimentons alternativement sur nos collègues de stage.
Mon tour vient de faire des passes sur plusieurs personnes, je sens très bien les mouvements d’énergie des participants que je « scanne » jusqu’à arriver à la personne qui m’a suggéré de venir et là, gros malaise !
Une sensation très désagréable s’empare de moi au point que j’arrête immédiatement le « traitement », trop malsain…
C’est une personne qui semblait très bien,
nous avions sympathisé avec lui et son épouse ma femme et moi, des gens fort agréables, mais depuis cette séance, une sensation de méfiance ne m ‘avait plus quitté.
Quelques mois plus tard, un scandale est intervenu, il a été confronté à des accusations d’inceste aggravée sur une de ses filles, il a dû quitter la maison familiale avec stricte interdiction de communiquer avec ses filles.

J’ai perdu ma naïveté ce jour-là de penser que les pratiquants de Reïki sont des personnes hors de tous soupçons.
J’ai malgré tout continué dans la voie de l’apprentissage de cette technique, en y découvrant de très bons résultats et des expériences sympas et gratifiantes.
J’ai développé et peaufiné une sensibilité intuitive et même quelques facultés stupéfiantes telle que réussir à voir clairement une entité = l’expérience la plus amusante s’est déroulée chez un couple d’amis dans les Laurentides où nous étions deux sur quatre à la voir …

Mes premiers soupçons à propos du Reïki

Mes réserves ont commencées à apparaître quand je me suis questionné sur le protocole et sur le mode de fonctionnement du Reiki ; en gros, on sait de manière approximative comment ça marche (ou pas), ce qui m’a inquiété a été le fait que le praticien fait appel à une énergie un peu vague qu’il canalise et redirige vers le patient, pour son bien…
Ce point est venu me travailler jusqu’à finir par tarauder mon esprit : comment utiliser une « force » qui a démontré des résultats, c’est vrai, sans toutefois connaître son origine ?

Ensuite, des expériences avec certaines personnes m’ont interpellées, normalement une séance de Reïki sert à nettoyer un corps de ses pépins physiques et psychiques, certaines étaient transparentes mais d’autres m’apparaissaient très lourdes, chargées, encombrées…

J’ai fini par me consacrer uniquement sur des soins physiques, telle qu’une cheville foulée par exemple sans avoir recours à une énergie « hiérarchique » que je canaliserais ensuite. Je me suis senti nettement mieux après ce virage, ce qui m’a convaincu que jouer avec des énergies subtiles et inconnues est hautement risqué autant pour une personne traitée que pour un praticien.

L’autre point qui me fait beaucoup me questionner est la stagnation quasi générale que je constate chez les praticiens Reïki alors que si cette technique était réellement aussi géniale, elle devrait contribuer à l’excellence de ces personnes, au minimum et mieux encore à l’évolution spirituelle de ceux qui l’utilisent régulièrement, or c’est souvent le contraire que je ressens, la plupart d’entre eux exhalent des vibrations souvent basses , des problèmes physiques généralement permanents ou difficiles à résorber et sont souvent engagés dans des situations conflictuelles avec leur entourage, tout un cocktail pas très incitatif à devenir praticien Reiki.
J’ai assisté récemment à un colloque et mes contacts m’ont fait prendre conscience d’une chose (la fréquence de ce que j’ai pu observer dépasse
la statistique, ce qui me fait penser que le problème est sérieux et fréquent) la plupart des praticiens Reiki semblent « aspergés » d’une couche étrange qui ne semble pas leur appartenir en propre, c’était mon ressenti.
J’ai donc fait des recherches et soudain je suis tombé sur des témoignages qui coïncidaient totalement avec ce que j’éprouvais : un intervenant à même identifié ce phénomène d’une bien meilleure manière que moi en le qualifiant d’occupation tel un goa’uld (célèbre dans la série Stargate-SG1) qui est très parlant comme exemple !

Le dernier clou dans le cercueil du Reiki

J’ai eu la chance de connaître une des personnes les plus spirituelle qu’il m’ait été donné de rencontrer dans ma vie, elle se reconnaîtra aisément, elle m’a fait découvrir un monde extraordinaire, au moyen de séance de relaxation et d’exploration – d’introspection au point que j’ai vécu des moments de prise de conscience fabuleux, elle m’a suggéré depuis longtemps que j’avais une voie à explorer dans ce domaine, mais l’ampleur de la tâche surhumaine (c’est le mot juste!) m’a jusqu’à présent foutu une trouille immense tellement cela me suggère de changer totalement de vie !
Et puis, me voilà à un moment précis de cette vie où de grands changements personnels se préparent, le contexte extérieur est également en pleine modification, des bouleversements sont même annoncés en l’espace de quelques mois, sans doute moins d’un an, le temps s’accélère de plus en plus frénétiquement, les hyper-sensibles le ressentent maintenant distinctement.
Ma décision s’est imposée tout naturellement, je ne souhaite vraiment plus faire appel à des techniques qui s’appuient sur des bases inconnues, qui jouent avec des énergies non identifiées d’autant plus que notre connaissance de tous ces mécanismes est très sommaire ; c’est jouer avec le feu, mes recherches m’ont même amené à des hypothèses que des entités « inamicales » pouvaient fort bien emprunter les canaux que nous leur ouvrons spontanément, sans intention de mal faire pour la plupart, mais souvent par ignorance totale ou partielle du phénomène.
Je considère que c’est une question de responsabilité raisonnable que d’abandonner cette pratique, pour ma part, l’enjeu n’en vaut vraiment pas la chandelle

Ou le cierge

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De l’inéluctabilité d’une révolution historique

De l’inéluctabilité d’une révolution historique

L’impact prépondérant de l’activité humaine sur son environnement

Nous vivons dans une société qui se trouve à un moment charnière de l’évolution, sans aucun doute à l’aube d’un épisode critique dans la progression d’une civilisation ; de son développement et de ses choix stratégiques multiples, la détermination du sort de toute l’humanité est intimement intriquée et dépendante et sa survie même est dorénavant engagée tant ces impacts décisionnels seront prégnants sur la destinée de non seulement l’ensemble des civilisations humaines, mais également de toutes les espèces, faune flore et même sur l’impact planétaire dans son ensemble.

Méconnaissance des impacts révolutionnaires dans la destinée humaine

Un grand nombre de personnes pensent que les révolutions n’ont conduit à rien dans le processus de notre évolution, à mon humble avis c’est loin d’être la réalité : il faudrait pour cela avoir une définition claire de ce qu’est une révolution est de quels sont ses résultats dans le temps – et dans l’Histoire – pour en déterminer les bienfaits et par extension affirmer qui sont des bénéfices ou des inconvénients ceux qui ont permis de décider si telle révolution a été un fiasco ou une victoire…
Bien évidemment, on peut se douter que le résultat de cette investigation est aléatoire et sujet à controverse.

Faire une exploration pragmatique et neutre des mouvement révolutionnaires

Il ne faut bien sûr pas faire l’erreur fréquente de figer un épisode précis dans le temps et dans l’histoire pour en émettre un jugement partiel (et surtout a posteriori), en plus que d’avoir une vision trop partielle du déroulement des événements, des forces en présence et de la chronologie de l’ensemble dans son contexte historique.

Des exemples concrets :

Sujet assimilé : La révolution néolithique

Sans doute une des première révolution des civilisations humaines documentée. C’est la période qui a entraîné le passage du nomadisme et de l’itinérance des tribus de chasseurs cueilleurs vers une organisation sédentaire notamment avec la découverte de l’agriculture et de la domestication: ce changement de paradigme a entraîné un bouleversement de la société en imposant des spécialisations tels que des cultivateurs, des soldats, des bâtisseurs, etc.
Ces bouleversements sont communément acceptés comme représentant un bond civilisationnel de l’humanité, ce qui fait que cette révolution n’a pratiquement aucun détracteur tellement ses effets font partie intégrante de notre façon de fonctionner et est encore la manière basique de vivre à notre époque.

sujet typique de discorde : la Révolution française

La révolution française est un exemple de ce relativisme qui permet autant aux défenseurs de ses acquis de mettre en valeur par exemple la disparition de la Royauté absolue au profit d’une monarchie « affaiblie » chapeautée par une Assemblée constitutionnelle, de la suppression des avantages indécents de la classe constituée par la noblesse. Les détracteurs avanceront par contre que ce bouleversement aura permis à terme d’instaurer une nouvelle société dans laquelle la bourgeoisie finira par prendre l’ascendant et remplacer les nobles ayant été écartés de force : la nature ayant horreur du vide.
Selon la période de référence choisie, on assiste à un jugement différent selon qu’il est choisi l’époque de la Terreur, de Napoléon, de la restauration, du Premier empire, de la Commune, …
À mon sens, un élément déclencheur important a été la confrontation entre les Girondins et les Jacobins, à notre époque encore (et sans doute plus que jamais) c’est la conception centralisée de l’organisation de l’État qui est le modèle incontournable de fonctionnement de nos institutions.
En résumé, on peut toutefois en conclure que cette révolution a permis d’édicter la fameuse Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen que beaucoup de démocraties nous ont emprunté par la suite, il est également important de mentionner que ce XVIII° siècle est un véritable creuset de révolutions, en tout cas d’un mouvement de réformes sociétales qui ont profondément bouleversé nos sociétés.
À ce titre, « l’atmosphère révolutionnaire » a constitué un ferment – un chélateur – prépondérant pour l’évolution des mentalités des sociétés humaines.

Il est évident que la révolution française reflète le noyau idéologique de ce qui constitue l’inconscient collectif de la citoyenneté française, mais il existe d’autres révolutions qui ont affecté d’autres franges de notre humanité.


Sujet assumé La révolution industrielle

C’est une révolution sociale qui a vu des bouleversements majeurs dans l’organisation du travail en instaurant l’automatisation des moyens de fabrication et de production, la généralisation du statut de salarié et à terme l’apparition de stratégies d’automatisation comme le taylorisme et le développement de théories sociologiques réactionnaires pilotées par Marx et Engels…

Un des élément déclencheur a été l’invention de l’imprimerie qui a « délivré » l’homme de l’artisanat : en automatisant un processus de fabrication, on permettait de reproduire un artefact en série.
Les conditions de vies souvent sordides des travailleurs à la fin du XIX° décrite en Angleterre ou dans les roman de Zola on fait douter un grand nombre de penseurs qu’encore une fois cette révolution n’a pas délivré les trésors qu’elle avait suggéré à son origine qui était de libérer les hommes du fardeau du travail harassant, l’ère des lendemains qui chantent étaient vantés partout dans les pays en voie d’industrialisation, avec les excès qu’on a connus.

 

Sujet vécu comme une épopée, ou une fatalité : La révolution technologique

Je fais partie d’une génération qui est née avant l’arrivée d’Internet, des téléphones intelligents, celle des disques vinyles et des cassettes audios…
J’ai vu naître les balbutiements de l’informatique avec les premiers jeux de ping-pong électronique, les premiers Pac Man, son envol hallucinant et toute l ‘émergence des technologies ces dernières années !

L’Intelligence artificielle arrive elle aussi à des frontières hallucinantes, les ordinateurs battent maintenant les maîtres aux échecs, au jeu de go ; dernièrement deux ordinateurs ont communiqué entre eux dans une langue que les ingénieurs n’ont pas pu décrypter …
Les progrès fulgurants réalisés dans tous ces domaines devraient nous faire jubiler si cela n’éveillait toutefois une certaine crainte diffuse dans l’esprit de certains, des réserves souvent avancées par des philosophes soutenant que les découvertes en médecine, informatique, technologie , …, devraient être supervisées par des penseurs, des conseils de sages, un peu sur le même mode de fonctionnement des civilisations primitives tels que les guerriers consultaient les anciens avant de prendre des décisions.
Je pense que les révolutions ont toutes apporté leurs lots d’évolutions qui répondaient toutes à un irritant au moment ou elles se sont exprimées. Une fois le problème réglé temporairement, les changements de paradigme ont entraîné de nouveaux changements jugés nécessaires. Les comportements humains et les divers intérêts individuels font toujours en sorte que des pressions immenses s’appliquent sur tous les paliers de fonctionnement des sociétés et ce avec plus de rapidité que nos sociétés se complexifient.
Nous en sommes arrivé à un point ou notre organisation et son administration est devenue si complexe que plus aucun citoyen n’est capable d’en maîtriser toutes les arcanes ; ce qui entraîne une vaste distanciation sociale qui s’illustre souvent par une implication totalement désintéressée, d’autant plus que l’individualisme est de plus en plus omniprésent chez les individus.
Dès lors, il est probable que la déliquescence des valeurs républicaines à laquelle nous assistons actuellement ne correspond qu’à un début et il est fort à parier que cela pourrait s’accentuer.
Les risques de révolution s’éloignent inexorablement à moins que des événements exceptionnels et se développant internationalement avec suffisamment de colère et d’indignation ne viennent créer un mouvement dont les conséquences risquent de s’avérer extrêmement graves

Les impacts des révolutions ne doivent pas – ne peuvent pas – être négligées, les différences de lecture de leurs impacts sont directement reliées à notre façon de considérer leurs réalisations et donc, d’une manière en grande partie subjective.
Les grandes révolutions bolivariennes (ou idéologiques telles que les russes et chinoises par exemple) sont interprétées parfois à l’opposé selon la sensibilité politique de celui qui les examine, nous sommes donc en présence d’une situation où l’objectivité, à un moment donné reste à la porte de toute narration.

Quelle sera la prochaine révolution de l’humanité ?

« Le XXIe siècle sera spirituel ou ne sera pas. »

André MALRAUX (1901-1976), La Légende du siècle (1972)

Il sera à nous de décider de ce que nous souhaitons pour nos enfants, mais il apparaît déjà que la tâche sera lourde.
Nous devons faire face à une démobilisation générale de la population, aggravé par un individualisme latent et également par une stratégie générale de communication qui se mondialise de plus en plus