L’exception sanitaire et culturelle de la communauté amish
Les gens en dehors de la mouvance de santé alternative sont souvent confondus par l’absence de l’autisme chez les Amish !
Les amis de mon Amish sont mes Amishs |
Pour la communauté Amish, pas d’auto – pas d’autisme !
On savait pratiquement tous que les Amish n‘utilisaient pas d’automobiles, ni ne possédaient de télévision ou de téléphones intelligents, ce qu’on sait moins par exemple, c’est qu’ils ne connaissent pas l’autisme, ou la plupart des autres troubles d’apprentissage qui affligent notre société technologique !
Hygiène de vie
Leur régime alimentaire se compose de nourriture bio –évidemment aucune graine ni culture OGM, des produits frais cultivés localement, et bien sûr, ils ne suivent pas les routines de vaccination établies, au grand dam des grands médias et de l’establishment médical, mais ce qui est extraordinaire, c’est que les études révèlent que la généralité de cette catégorie de population est plus en santé que la population en général, elle est surtout exempte de toutes nos maladies et affections chroniques :
Cette évidence qui révèle une incongruité sanitaire et médicale –les Amish n’ont pas recours et surtout évitent scrupuleusement le système – est devenue une réelle source d’embarras pour certaines personnes qui ne jurent que par la surpuissance et la totale efficacité de nos moyens médicaux…
Il y a eu 3 (oui trois) cas confirmés d‘autisme chez les Amish, et deux de ces enfants étaient vaccinés, alors qu’aucune information était disponible pour le troisième enfant.
Dieu serait-il Amish par hasard ?
La forte corrélation entre les vaccinations et l’autisme devient indéniable. Les partisans du statu quo avancent l’hypothèse que les Amish doivent avoir un gène qui les immunisent de l’autisme. Ils soutiendraient donc pratiquement que l’autisme doit être un certain type de défaillance génétique qui attaque le cerveau basé sur les appartenances religieuses ? Les promoteurs de vaccins sont prêts à défendre des explications ridicules, du moment que ça leur permet d’éviter d’incriminer leur industrie comme étant l’origine probable des maladies chroniques. En raison de cette aide généreuse, les enfants des États-Unis ont 2% de risques de développer l’autisme, et ce pourcentage est en croissance très rapide, ce qui n’est pas concevable avec une incidence génétique mais plutôt à des conséquences de dégradations environnementales.
Les Amish sont pourtant constamment harcelés par les autorités sanitaires, qui tentent de les convaincre de faire vacciner leurs enfants. Alors que la plupart des Amish refusent toujours de faire vacciner leurs enfants, une petite minorité commencent à succomber aux tactiques de peur. Cela continue en dépit du fait que les autorités sanitaires n’ont en fait pas le droit de faire des visites à domicile dans le but de les inciter à se « médicamenter ».
Beaucoup de vaccination sont prodiguées de nos jours contre des virus qui ne sont plus en circulation. Cependant, les parents étant craintifs font tout de même vacciner leurs enfants contre ces virus. Pour la polyo par exemple le Dr. Sherri Tenpenny rapporte que le cas le plus récent vu dans l’hémisphère occidental était au Pérou, en 1991. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a déclaré l’hémisphère occidental libre de poliomyélite en 1994. Ces chiffres proviennent de l’American Medical Association.
Le 14 Octobre 2005, les médias tombaient dans l’hystérie après que la souche vaccinale du virus de la poliomyélite a été retrouvé dans les selles de quatre enfants Amish. Les médias ont d’abord refusé de mentionner qu’il s’agissait de la version chimiquement inactivé, qui se trouve seulement à l’intérieur du vaccin administré par voie orale . Cela signifie que la source en était le vaccin lui-même. La situation a été opportunément exploitée par les médias et les autorités vaccinales pour terroriser les parents qui avait évité les vaccinations.
Les horreurs de la polio ont été grandement aggravée par la « mode » de l’ablation des amygdales, qui est le seul organe qui produit des anticorps contre la polio. Vers la même époque, la F.D.A. (Food & Drug Administration), nouvellement créé a interdit l’utilisation de l’argent coloïdal dans les médicaments, qui était la seule substance non toxique et digestible reconnue pour tuer les virus (comme la polio). Enfin, « la solution » que l’industrie a imposé, à savoir un vaccin, a été libéré au moment où l’épidémie a été naturellement éradiquée, mais il fallait bien écouler les stocks d’invendus !
Tout cela a été orchestré pour manipuler les masses dans l’achat de vaccins, la consommation de radiothérapie et de produits chimiques dommageables pour la santé.
«Au cours des épidémies de polio, il a été constaté que les personnes qui avaient leurs amygdales enlevées étaient 3 – 5 fois plus susceptibles de développer la paralysie … Il y avait beaucoup de spécialistes à l’époque, qui ont suggéré que la polio était une maladie iatrogène [causée par intoxication extérieure au corps] … Ce qui a abouti effectivement à des milliers de cas de paralysie.
– Dr Mark Donohoe
Ces démarches ne trouvent pas l’écho immédiat qu’elles devraient engendré automatiquement vu la gravité des ces informations.
Inutile d’épiloguer sur les raisons de ce qui provoque ce traînement de pieds des autorités, monopolisons-nous seulement sur le but à atteindre, à commencer par la première étape, solution de sagesse élémentaire qui est de demander un moratoire immédiat pour la raison évidente du respect du principe de précaution ; c’est un minimum, un vaccin contre un risque de pandémie mondiale en quelques sorte, le temps de démontrer clairement leur innocuité d’une manière transparente.
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